Les 181 passagers de l''A321 d'Air Méditerranée, tous indemnes, ont eu chaud ce vendredi 29 mars 2013 au moment de l'atterrissage raté sur l'aéroport de Lyon Saint-Exupéry.
On ignore encore les raisons pour lesquelles l'appareil en provenance de Dakar (Sénégal) et qui avait refuelé à Agadir (Maroc) a achevé son roulage dans l'herbe.
La gendarmerie et le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA), enquêtent et entendent les membres de l'équipage. Le trafic paralysé ce vendredi soir est revenu à la normale.
Selon le témoignage d'un passager à bord, rapporté par "20 Minutes" «Personne n'a été blessé. On était juste très stressés. On n'a eu aucune info de l'équipage ou du pilote pendant 30 minutes.
J'ai dû appeler l'aéroport pour savoir ce qu'il se passait. Les pompiers nous ont aidés à sortir un par un car le champ était gorgé d'eau. Un bus nous a emmenés au terminal mais nos bagages sont toujours dans l'avion», précise-t-il.
Selon lui, l'avion «avait l'air vieux, l'équipage grec parlait à peine français et très mal anglais». Il lui semble «peu probable» qu'un contrôle technique ait eu lieu lors de l'escale à Agadir, malgré un premier atterrissage jugé agité par les passagers.
On ignore encore les raisons pour lesquelles l'appareil en provenance de Dakar (Sénégal) et qui avait refuelé à Agadir (Maroc) a achevé son roulage dans l'herbe.
La gendarmerie et le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA), enquêtent et entendent les membres de l'équipage. Le trafic paralysé ce vendredi soir est revenu à la normale.
Selon le témoignage d'un passager à bord, rapporté par "20 Minutes" «Personne n'a été blessé. On était juste très stressés. On n'a eu aucune info de l'équipage ou du pilote pendant 30 minutes.
J'ai dû appeler l'aéroport pour savoir ce qu'il se passait. Les pompiers nous ont aidés à sortir un par un car le champ était gorgé d'eau. Un bus nous a emmenés au terminal mais nos bagages sont toujours dans l'avion», précise-t-il.
Selon lui, l'avion «avait l'air vieux, l'équipage grec parlait à peine français et très mal anglais». Il lui semble «peu probable» qu'un contrôle technique ait eu lieu lors de l'escale à Agadir, malgré un premier atterrissage jugé agité par les passagers.
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