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Les nuisances sonores sur la ville se sont avérées supérieures à la précédente procédure.
Le représentant régional de la DGAC, Bernard Chaffange, a confirmé l'abandon de la trajectoire et annonçait la mise en place d'une autre procédure dès novembre et donc avant le délai de test qui était fixé à mars 2009.
La décision satisfait également Christian Estrosi député-maire qui est depuis août coactionnaire au nom de l’agglomération de la nouvelle société aéroportuaire qui remplace la CCI.
La trajectoire mise en cause était destinée à améliorer la répartition du trafic entre les avions et les hélicoptères.
La distance entre les deux était de 300 m et impliquaient pour les avions de réaliser une boucle plus large sur la ville. La nouvelle procédure permettra de réduire les nuisances en attendant la mise en place d’un VPE ou volume de protection environnementale.
Un espace à l’intérieur duquel le survol de la côte est interdit sous peine de lourdes amendes. Cette procédure sera une première à Nice.
Le représentant régional de la DGAC, Bernard Chaffange, a confirmé l'abandon de la trajectoire et annonçait la mise en place d'une autre procédure dès novembre et donc avant le délai de test qui était fixé à mars 2009.
La décision satisfait également Christian Estrosi député-maire qui est depuis août coactionnaire au nom de l’agglomération de la nouvelle société aéroportuaire qui remplace la CCI.
La trajectoire mise en cause était destinée à améliorer la répartition du trafic entre les avions et les hélicoptères.
La distance entre les deux était de 300 m et impliquaient pour les avions de réaliser une boucle plus large sur la ville. La nouvelle procédure permettra de réduire les nuisances en attendant la mise en place d’un VPE ou volume de protection environnementale.
Un espace à l’intérieur duquel le survol de la côte est interdit sous peine de lourdes amendes. Cette procédure sera une première à Nice.