TourMaG.com. Pourquoi ce choix de Beyrouth et combien de participants réunissez-vous ?
Michelle Laget-Herbaut. Dans un moment de crise nous allons dans un pays qui a l'habitude de sortir des crises. Le Liban cette année comme Israël l'année dernière sont des pays qui nous donne des leçons de volonté et de détermination.
Malgré les guerres, les crises, ils ne sombrent pas, ils savent rebondir, reconstruire. J'ai beaucoup d'admiration pour ces pays. A Beyrouth nous serons 115 dont 20 accompagnants c'est à dire moins nombreux qu'à Jérusalem.
Le départ du réseau Selectour se fait sentir. Je voudrais que cette convention qui réunit moins de monde soit moins formelle et plus propice aux échanges entre confrères qui connaissent les mêmes problématiques.
T.M.com. Quel sera le fil rouge de votre convention ?
M.L-H. La crise est bien là. Elle touche nos professions. La plupart des sociétés font des appels d'offres pour réduire leurs frais généraux. De notre côté nous nous battons sur les marges, nous réduisons les coûts. Faut-il rester sans bouger ?
Michelle Laget-Herbaut. Dans un moment de crise nous allons dans un pays qui a l'habitude de sortir des crises. Le Liban cette année comme Israël l'année dernière sont des pays qui nous donne des leçons de volonté et de détermination.
Malgré les guerres, les crises, ils ne sombrent pas, ils savent rebondir, reconstruire. J'ai beaucoup d'admiration pour ces pays. A Beyrouth nous serons 115 dont 20 accompagnants c'est à dire moins nombreux qu'à Jérusalem.
Le départ du réseau Selectour se fait sentir. Je voudrais que cette convention qui réunit moins de monde soit moins formelle et plus propice aux échanges entre confrères qui connaissent les mêmes problématiques.
T.M.com. Quel sera le fil rouge de votre convention ?
M.L-H. La crise est bien là. Elle touche nos professions. La plupart des sociétés font des appels d'offres pour réduire leurs frais généraux. De notre côté nous nous battons sur les marges, nous réduisons les coûts. Faut-il rester sans bouger ?
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Comment combattre et sortir de cette crise, comment garder nos clients et faire en sorte de ne pas fermer boutique ? Comment parler à nos banquiers, comment motiver nos personnels... Ce sont autant de sujets d'actualité qui seront traités par des spécialistes.
Chaque thème sera suivi par 15 à 20 minutes de dialogue sous forme de questions-réponses avec la salle. Considérons la crise comme une opportunité qui nous permet de poser des jalons, de nous préparer à une nouvelle mutation de nos métiers et de faire un peu de prospective.
T.M.com. Comment réagissez-vous aux coupes budgétaires que demande le SNAV national aux 16 régions afin de boucler son budget 2009. Toutes ces convention régionales sont-elles vraiment utiles et ne font-elles pas double emploi avec celle qu'organise le SNAV national puisqu'on y traite le plus souvent les mêmes sujets ?
M.L-H. Quel que soit son avenir financier le SNAV a besoin de représentations régionales qui représentent un lieu de proximité et d'échange auquel les adhérents sont très attachés. Nous avons fait plusieurs sondages.
Il en ressort que les adhérents aiment se retrouver en petits comités. Ils ont en effet besoin de se rencontrer et de dialoguer avec des gens qui sont sur le terrain et qui font le même métier qu'eux. Ces conventions sont organisées à leur demande et aussi, en ce qui concerne l'Ile-de-France, à celle des partenaires et des sponsors.
Ceux qui viennent aux manifestations régionales ne sont pas les mêmes que ceux qui vont aux nationales. Les comités régionaux sont aussi les courroies de transmission indispensables entre le SNAV national qui reste une institution et la base.
La baisse de budget est comprise et acceptée. Elle se traduira par une réduction des manifestations et des ateliers techniques mais il est évident que le SNAV Ile-de-France qui représente 45 % des adhérents a besoin d'un collaborateur permanent.
Chaque thème sera suivi par 15 à 20 minutes de dialogue sous forme de questions-réponses avec la salle. Considérons la crise comme une opportunité qui nous permet de poser des jalons, de nous préparer à une nouvelle mutation de nos métiers et de faire un peu de prospective.
T.M.com. Comment réagissez-vous aux coupes budgétaires que demande le SNAV national aux 16 régions afin de boucler son budget 2009. Toutes ces convention régionales sont-elles vraiment utiles et ne font-elles pas double emploi avec celle qu'organise le SNAV national puisqu'on y traite le plus souvent les mêmes sujets ?
M.L-H. Quel que soit son avenir financier le SNAV a besoin de représentations régionales qui représentent un lieu de proximité et d'échange auquel les adhérents sont très attachés. Nous avons fait plusieurs sondages.
Il en ressort que les adhérents aiment se retrouver en petits comités. Ils ont en effet besoin de se rencontrer et de dialoguer avec des gens qui sont sur le terrain et qui font le même métier qu'eux. Ces conventions sont organisées à leur demande et aussi, en ce qui concerne l'Ile-de-France, à celle des partenaires et des sponsors.
Ceux qui viennent aux manifestations régionales ne sont pas les mêmes que ceux qui vont aux nationales. Les comités régionaux sont aussi les courroies de transmission indispensables entre le SNAV national qui reste une institution et la base.
La baisse de budget est comprise et acceptée. Elle se traduira par une réduction des manifestations et des ateliers techniques mais il est évident que le SNAV Ile-de-France qui représente 45 % des adhérents a besoin d'un collaborateur permanent.