Les kinésithérapeutes sont désormais autorisés à pratiquer les tests PCR, exigés notamment par les Compagnies aériennes et les pays de destination. /crédit DepositPhoto
Les kinésithérapeutes sont désormais autorisés à pratiquer les tests PCR, exigés notamment par les Compagnies aériennes et les pays de destination.
L’annonce en a été faite ce matin par Olivier Véran, ministre de la Santé.
Une nouvelle donne qui devrait aider à la résorption des millions de personnes qui chaque semaine se présentent dans un laboratoire ou un hôpital pour un examen de ce type.
Les candidats au voyage doivent présenter à l’embarquement des résultats négatifs datant de moins de 72 ou de 48h. Quand on sait que le délai moyen pour obtenir les résultats oscille entre 4 et 9 jours dans les grandes villes type d’examen, on comprend le stress des voyageurs.
L’annonce en a été faite ce matin par Olivier Véran, ministre de la Santé.
Une nouvelle donne qui devrait aider à la résorption des millions de personnes qui chaque semaine se présentent dans un laboratoire ou un hôpital pour un examen de ce type.
Les candidats au voyage doivent présenter à l’embarquement des résultats négatifs datant de moins de 72 ou de 48h. Quand on sait que le délai moyen pour obtenir les résultats oscille entre 4 et 9 jours dans les grandes villes type d’examen, on comprend le stress des voyageurs.
L'arrivée à la rescousse des kinés ne suffira pas...
Certaines compagnies comme Air France permettent de différer le départ sans frais sur le prochain vol mais cela ne change pas la donne : il faudra encore repasser par la case départ et refaire en priant pour que les résultats arrivent dans les délais impartis.
Ce problème empoisonne un peu plus la situation déjà particulièrement catastrophique des professionnels du tourisme.
Il va engendrer inévitablement des questions de nature contractuelle dans un environnement juridique et assurantiel flous : qui est responsable si je rate mon vol ou si je dois me mettre en quarantaine à destination si mon test redevient positif ?
L’arrivée à la rescousse des kinés est une bonne chose mais cela ne suffira pas. Il va falloir rapidement trouver une solution garantissant aux passagers qu’ils pourront prendre leur avion sans crainte de rater leur vol et/ou leurs vacances.
Sinon, le peu de candidats au voyage souhaitant partir cet automne vont, eux-aussi jouer les filles de l'air...
Ce problème empoisonne un peu plus la situation déjà particulièrement catastrophique des professionnels du tourisme.
Il va engendrer inévitablement des questions de nature contractuelle dans un environnement juridique et assurantiel flous : qui est responsable si je rate mon vol ou si je dois me mettre en quarantaine à destination si mon test redevient positif ?
L’arrivée à la rescousse des kinés est une bonne chose mais cela ne suffira pas. Il va falloir rapidement trouver une solution garantissant aux passagers qu’ils pourront prendre leur avion sans crainte de rater leur vol et/ou leurs vacances.
Sinon, le peu de candidats au voyage souhaitant partir cet automne vont, eux-aussi jouer les filles de l'air...