Le Pérou avait été obligé de fermer le Machu Picchu en raison des troubles politiques et sociaux qui secouent le pays, depuis décembre dernier et ont fait au moins 48 morts.
Depuis mercredi 15 février, l'antique l'antique cité inca, joyau du tourisme péruvien, est de nouveau ouverte aux visiteurs, a annoncé le ministère de la Culture du Pérou.
Ceci "dans les mêmes conditions, horaires et circuits établis", précise le communiqué du ministère.
Et après que "les institutions qui composent l'Unité de Gestion du Machupicchu (UGM), les autorités municipales du Machupicchu et d’Ollantaytambo, les directeurs de la Chambre de Commerce et les dirigeants des organisations sociales (aient pris l'engagement) de garantir la sécurité
du monument, et les services de transport".
A n'en pas douter, la reprise du tourisme au Machu Picchu et à Cuzco, l'ancienne capitale inca voisine, est un enjeu crucial pour le Pérou en raison du des revenus et des emplois généré en temps normal par le flux important de visiteurs.
Depuis mercredi 15 février, l'antique l'antique cité inca, joyau du tourisme péruvien, est de nouveau ouverte aux visiteurs, a annoncé le ministère de la Culture du Pérou.
Ceci "dans les mêmes conditions, horaires et circuits établis", précise le communiqué du ministère.
Et après que "les institutions qui composent l'Unité de Gestion du Machupicchu (UGM), les autorités municipales du Machupicchu et d’Ollantaytambo, les directeurs de la Chambre de Commerce et les dirigeants des organisations sociales (aient pris l'engagement) de garantir la sécurité
du monument, et les services de transport".
A n'en pas douter, la reprise du tourisme au Machu Picchu et à Cuzco, l'ancienne capitale inca voisine, est un enjeu crucial pour le Pérou en raison du des revenus et des emplois généré en temps normal par le flux important de visiteurs.
Pérou : Les voyages toujours "déconseillés" par la France
Cependant, la situation semble bien loin d'être stabilisée.
Dimanche 5 février, le gouvernement du Pérou a étendu et prolongé l'Etat d'urgence face à la révolte contre la présidente Dina Boluarte.
A lire : Le Pérou veut se défaire de sa dépendance au Machu Picchu
Sept régions du sud du Pérou (Madre de Dios, Cusco, Puno, Apurimac, Arequipa, Moquegua et Tacna) sont concernées par la mesure, qui soit s'applique pendant 60 jours, selon le journal officiel.
De son côté, le ministère français des Affaires étrangères reste circonspect.
Dans ses conseils aux voyageurs actualisés jeudi matin 16 février, il souligne que " les abords et voies d’accès (au Machu-Picchu restent soumis aux risques de manifestations, blocages routiers et ferroviaires et, pour l’aéroport de Cusco, d'éventuelles perturbations du trafic aérien".
D'une manière générale, en raison de l’instabilité et de nombreux blocages, le ministère "déconseille, sauf raisons impératives" les voyages dans le Sud du Pérou.
Dimanche 5 février, le gouvernement du Pérou a étendu et prolongé l'Etat d'urgence face à la révolte contre la présidente Dina Boluarte.
A lire : Le Pérou veut se défaire de sa dépendance au Machu Picchu
Sept régions du sud du Pérou (Madre de Dios, Cusco, Puno, Apurimac, Arequipa, Moquegua et Tacna) sont concernées par la mesure, qui soit s'applique pendant 60 jours, selon le journal officiel.
De son côté, le ministère français des Affaires étrangères reste circonspect.
Dans ses conseils aux voyageurs actualisés jeudi matin 16 février, il souligne que " les abords et voies d’accès (au Machu-Picchu restent soumis aux risques de manifestations, blocages routiers et ferroviaires et, pour l’aéroport de Cusco, d'éventuelles perturbations du trafic aérien".
D'une manière générale, en raison de l’instabilité et de nombreux blocages, le ministère "déconseille, sauf raisons impératives" les voyages dans le Sud du Pérou.
Pérou : les déplacements sont possibles à Lima
En revanche, le ministère français estime qu'à Lima, "les déplacements sont possibles dans des conditions de sécurité acceptables".
Cependant, des manifestations se tenant régulièrement dans la capitale, il recommande "d’observer la plus grande prudence, en particulier dans le centre historique, lieu de manifestations parfois violentes, de se tenir éloigné de tout rassemblement sur la voie publique, de strictement respecter les consignes des autorités locales et de se tenir informé régulièrement de l’évolution de la situation sécuritaire".
En cas de déplacements dans le pays "raisons impératives", le ministère français conseille "de privilégier l’avion".
Et d'ajouter ce conseil pour ceux qui voyageront néanmoins par la route : vérifier au préalable l’état du trafic auprès de l’Office du tourisme péruvien iPerú, joignable par téléphone ((01) 574-800), WhatsApp (+51 944 492 314) ou courrier électronique (protecciónalturista@mincetur.gob.pe et iperu@promperu.gob.pe).
Les informations sur l’état du trafic routier sont également disponibles sur le site web du ministère des Transports péruvien.
Cependant, des manifestations se tenant régulièrement dans la capitale, il recommande "d’observer la plus grande prudence, en particulier dans le centre historique, lieu de manifestations parfois violentes, de se tenir éloigné de tout rassemblement sur la voie publique, de strictement respecter les consignes des autorités locales et de se tenir informé régulièrement de l’évolution de la situation sécuritaire".
En cas de déplacements dans le pays "raisons impératives", le ministère français conseille "de privilégier l’avion".
Et d'ajouter ce conseil pour ceux qui voyageront néanmoins par la route : vérifier au préalable l’état du trafic auprès de l’Office du tourisme péruvien iPerú, joignable par téléphone ((01) 574-800), WhatsApp (+51 944 492 314) ou courrier électronique (protecciónalturista@mincetur.gob.pe et iperu@promperu.gob.pe).
Les informations sur l’état du trafic routier sont également disponibles sur le site web du ministère des Transports péruvien.