Le matin au réveil, dans la rue, la journée au bureau, le dimanche après-midi sur le canapé…
Ils nous accompagnent partout ou presque. Les écrans ont en quelques années envahi la planète Terre et les foyers des Français. Chiffres à l'appui!
Selon une étude SIMM-TGI Youth, 84% des 11-24 ans possèdent un téléphone portable.
Toute personne qui côtoie un adolescent aujourd’hui pourra le confirmer. Ces consommateurs de demain pianotent à longueur de journée, décrivant leur vie sur les réseaux sociaux.
Très gros utilisateurs de SMS, ils sont très fréquemment connectés à l’internet mobile, regardant constamment s’ils ont un message.
La contagion est aussi forte chez les 30-60 ans qui sont en quelque sorte « multi-addicts » : ils passent de l’ordinateur, au mobile, à la tablette en une journée.
Ils nous accompagnent partout ou presque. Les écrans ont en quelques années envahi la planète Terre et les foyers des Français. Chiffres à l'appui!
Selon une étude SIMM-TGI Youth, 84% des 11-24 ans possèdent un téléphone portable.
Toute personne qui côtoie un adolescent aujourd’hui pourra le confirmer. Ces consommateurs de demain pianotent à longueur de journée, décrivant leur vie sur les réseaux sociaux.
Très gros utilisateurs de SMS, ils sont très fréquemment connectés à l’internet mobile, regardant constamment s’ils ont un message.
La contagion est aussi forte chez les 30-60 ans qui sont en quelque sorte « multi-addicts » : ils passent de l’ordinateur, au mobile, à la tablette en une journée.
La France, un des pays les plus équipés en tablettes
Autres articles
-
Le mobile est le grand gagnant de la crise sanitaire
-
Territoire : les données mobiles au cœur des stratégies de marketing touristique
-
E-commerce : achats sur mobile, taille du marché, profil acheteur ... la Fevad fait le bilan
-
Iberia va tester un embarquement par reconnaissance faciale via... une application
-
Fevad : l'e-commerce pourrait franchir la barre des 100 milliards
On dénombre désormais plus de 24,1 millions de possesseurs de smartphones, soit 44,4% de la population française (11 ans et plus), selon le baromètre trimestriel réalisé par la Mobile Marketing Association France, en partenariat avec comScore, GFK et Médiamétrie.
Le taux de pénétration des tablettes explose: de 2,2 millions de foyers munis en tablettes l'an passé, nous sommes ainsi passés à 5,1 millions de foyers cette année.
Une croissance qui place l'Hexagone parmi les pays les plus équipés au monde avec les États-Unis, l'Australie ou encore les Pays-Bas.
Et 8,8 millions de foyers, soit près d'un tiers des foyers français, ont au moins deux ordinateurs.
Serions-nous tous devenus accros?
Le taux de pénétration des tablettes explose: de 2,2 millions de foyers munis en tablettes l'an passé, nous sommes ainsi passés à 5,1 millions de foyers cette année.
Une croissance qui place l'Hexagone parmi les pays les plus équipés au monde avec les États-Unis, l'Australie ou encore les Pays-Bas.
Et 8,8 millions de foyers, soit près d'un tiers des foyers français, ont au moins deux ordinateurs.
Serions-nous tous devenus accros?
30% des Européens veulent se déconnecter en vacances
Alors que près de 60% des Français se connectent quotidiennement à internet et que 41% des internautes français déclarent ne pas pouvoir se passer d’internet plus de 3 jours, ils sont paradoxalement 62% à vouloir se déconnecter volontairement.
Simple envie passagère ou syndrome plus profond, l’homme aurait donc besoin de se détacher de ses écrans.
Un sondage Opodo confirme le constat : 30 % des Européens déclarent vouloir se déconnecter en vacances mais aussi au quotidien.
Un besoin encore plus prégnant du côté des voyageurs d’affaires qui ont quasiment leur bureau à portée de main.
Car 89% des professionnels considèrent que la mobilité est un facteur de performance pour leur entreprise.
Mais cette avancée technologique peut aussi devenir une charge. Et 1 personne sur 5 se détache de son téléphone dès ses premières heures de vacances.
Simple envie passagère ou syndrome plus profond, l’homme aurait donc besoin de se détacher de ses écrans.
Un sondage Opodo confirme le constat : 30 % des Européens déclarent vouloir se déconnecter en vacances mais aussi au quotidien.
Un besoin encore plus prégnant du côté des voyageurs d’affaires qui ont quasiment leur bureau à portée de main.
Car 89% des professionnels considèrent que la mobilité est un facteur de performance pour leur entreprise.
Mais cette avancée technologique peut aussi devenir une charge. Et 1 personne sur 5 se détache de son téléphone dès ses premières heures de vacances.
Une nouvelle tendance, la « digital detox »
Pour répondre à ce nouveau désir de déconnexion, un concept est né, tout droit venu des Etats-Unis, de la Silicon Valley plus exactement.
Il s’agit de la « digital detox ».
Lassés ou drogués d’internet, les "digital detox", anticonformistes revendiqués, redécouvrent les plaisirs de la vie “réelle” : cuisiner, lire…
D’après une analyse de l’agence Dagobert, seul 18,3% de la population française est déconnectée.
Certains le sont par défaut (manque de moyens), d’autres par prévention (crainte de laisser des traces) et d’autres pour « guérir » (contrôle de leur connexion).
Guérir d'un syndrome propre à notre société : si vous vérifiez votre boîte mail ou consultez votre timeline Facebook et Twitter toutes les cinq minutes, de peur de rater quelque chose… la « FOMO », (Fear Of Missing Out) vous guette !
Il serait donc temps de penser à un sevrage d’écrans et de connectivité pendant la trêve de Noël.
Il s’agit de la « digital detox ».
Lassés ou drogués d’internet, les "digital detox", anticonformistes revendiqués, redécouvrent les plaisirs de la vie “réelle” : cuisiner, lire…
D’après une analyse de l’agence Dagobert, seul 18,3% de la population française est déconnectée.
Certains le sont par défaut (manque de moyens), d’autres par prévention (crainte de laisser des traces) et d’autres pour « guérir » (contrôle de leur connexion).
Guérir d'un syndrome propre à notre société : si vous vérifiez votre boîte mail ou consultez votre timeline Facebook et Twitter toutes les cinq minutes, de peur de rater quelque chose… la « FOMO », (Fear Of Missing Out) vous guette !
Il serait donc temps de penser à un sevrage d’écrans et de connectivité pendant la trêve de Noël.
Un marché porteur ?
Pas de quoi affoler les entreprises qui peuvent y trouver leur compte.
Bien que cette tendance soit encore émergente, la « digital detox » peut être un axe de communication et certaines sociétés s’y sont déjà mises.
Burger King, par exemple, offre un Whopper tous les 10 contacts Facebook supprimés, ou encore, Kit Kat met en place des zones gratuites « sans Wifi » pour faire un break.
Car, qui dit « digital detox », ne doit pas pour autant dire arrêt des campagnes marketing.
Ces blasés du web seront appelés, à terme, à se reconnecter en consommant internet de façon plus responsable.
Un argumentaire de vente qui s’adapte totalement au secteur du tourisme.
Bien que cette tendance soit encore émergente, la « digital detox » peut être un axe de communication et certaines sociétés s’y sont déjà mises.
Burger King, par exemple, offre un Whopper tous les 10 contacts Facebook supprimés, ou encore, Kit Kat met en place des zones gratuites « sans Wifi » pour faire un break.
Car, qui dit « digital detox », ne doit pas pour autant dire arrêt des campagnes marketing.
Ces blasés du web seront appelés, à terme, à se reconnecter en consommant internet de façon plus responsable.
Un argumentaire de vente qui s’adapte totalement au secteur du tourisme.
Une déconnexion "free-tech"
Pour Marion Roman-Hauduroy, responsable du marketing de Out Of Nowhere Geolodges, pouvoir déconnecter dans un monde hyperconnecté va devenir un luxe.
Implantée en Mongolie, au milieu des steppes verdoyantes, la marque hôtelière Out of NowHere surfe sur cette tendance pour assurer son développement auprès d'une clientèle désireuse de se retrouver seule, entre amis, ou en famille, dans des espaces où la coupure est assurée.
"Nous sommes de plus en plus connectés et plus disponibles, c’est particulièrement le cas des cadres dirigeants dont le mobile est un outil de travail.
Les gens vont de plus en plus avoir besoin de se retrouver.
Cette nouvelle approche et l'ensemble des services que nous avons développés intéressent de plus en plus d'hôtels indépendants en Australie, au Maroc ou en Asie Centrale.
Dans un futur proche, nous avons l'intention de franchiser la marque", explique-t-elle.
Si vous souhaitez une déconnexion encore plus radicale, totalement "free-tech", vous avez aussi la possibilité de partir en vacances avec les geeks de la Silicon Valley sous la houlette de Digital Detox, une société dont le leitmotive est le "slow-down" face à la tyrannie du 100% connecté, 100% disponible.
Alors en attendant de réfléchir à un séjour « en totale déconnexion », testez vous-même le concept pendant les fêtes.
En vous souhaitant de très bonnes fêtes de fin d’année et une bonne cure de "deconnectivité".
Implantée en Mongolie, au milieu des steppes verdoyantes, la marque hôtelière Out of NowHere surfe sur cette tendance pour assurer son développement auprès d'une clientèle désireuse de se retrouver seule, entre amis, ou en famille, dans des espaces où la coupure est assurée.
"Nous sommes de plus en plus connectés et plus disponibles, c’est particulièrement le cas des cadres dirigeants dont le mobile est un outil de travail.
Les gens vont de plus en plus avoir besoin de se retrouver.
Cette nouvelle approche et l'ensemble des services que nous avons développés intéressent de plus en plus d'hôtels indépendants en Australie, au Maroc ou en Asie Centrale.
Dans un futur proche, nous avons l'intention de franchiser la marque", explique-t-elle.
Si vous souhaitez une déconnexion encore plus radicale, totalement "free-tech", vous avez aussi la possibilité de partir en vacances avec les geeks de la Silicon Valley sous la houlette de Digital Detox, une société dont le leitmotive est le "slow-down" face à la tyrannie du 100% connecté, 100% disponible.
Alors en attendant de réfléchir à un séjour « en totale déconnexion », testez vous-même le concept pendant les fêtes.
En vous souhaitant de très bonnes fêtes de fin d’année et une bonne cure de "deconnectivité".