Selon le baromètre de Paris-Ile-de-France, l’activité touristique du mois de mars à Paris Île-de-France a été fortement touchée par les effets de la crise économique mais la baisse de la fréquentation est également liée au calendrier des vacances de Pâques (en avril cette année), souligne un communiqué de presse.
Il ressort que près de 8 professionnels franciliens sur 10 estiment que leur activité du mois passé est en baisse (79%).
"Tous les départements franciliens et toutes les catégories d’hôtels ont connu une diminution de leur fréquentation touristique. Le repli de la fréquentation concerne aussi bien la clientèle française que la clientèle étrangère et cela en proportion quasi équivalente."
Les Britanniques demeurent la première clientèle internationale de la destination. Viennent ensuite les Allemands, les Italiens, les Espagnols et les Américains.
La fréquentation de certaines clientèles de proximité (notamment espagnole, italienne) a été plus fortement touchée, le décalage des vacances de Pâques en avril cette année, en est certainement une des raisons.
Quant aux prévisions, l’état des réservations est jugé « moyen » par 48% des professionnels interrogés, « bon » voire « très bon » par 39% et « mauvais » voire « très mauvais » par 13%. 42% prévoient une amélioration de l’activité, 35% une stabilisation et 23% une dégradation.
Les chiffres présentés sont des tendances réalisées à partir d’un échantillon, représentatif de 300 professionnels du tourisme de la région, interrogés chaque mois.
Il ressort que près de 8 professionnels franciliens sur 10 estiment que leur activité du mois passé est en baisse (79%).
"Tous les départements franciliens et toutes les catégories d’hôtels ont connu une diminution de leur fréquentation touristique. Le repli de la fréquentation concerne aussi bien la clientèle française que la clientèle étrangère et cela en proportion quasi équivalente."
Les Britanniques demeurent la première clientèle internationale de la destination. Viennent ensuite les Allemands, les Italiens, les Espagnols et les Américains.
La fréquentation de certaines clientèles de proximité (notamment espagnole, italienne) a été plus fortement touchée, le décalage des vacances de Pâques en avril cette année, en est certainement une des raisons.
Quant aux prévisions, l’état des réservations est jugé « moyen » par 48% des professionnels interrogés, « bon » voire « très bon » par 39% et « mauvais » voire « très mauvais » par 13%. 42% prévoient une amélioration de l’activité, 35% une stabilisation et 23% une dégradation.
Les chiffres présentés sont des tendances réalisées à partir d’un échantillon, représentatif de 300 professionnels du tourisme de la région, interrogés chaque mois.