La vente online du tourisme accueille désormais un nouvel acteur, Captainetrain.com, un site marchand exclusivement dédié au ferroviaire.
Opérationnel depuis le 28 mars dernier, cette agence de voyage on line est immatriculée auprès d’Atout France et dispose de l’agrément nécessaire pour vendre tous les produits SNCF, Eurostar, Lyria, Thalys, et bientôt IDTGV.
En revanche, elle n’a pas l’intention de distribuer du package, de la location de voiture ou du transport aérien. Elle ne souhaite pas non plus encombrer ses pages avec des bandeaux publicitaires, et moins encore revendre ses fichiers clients.
Son modèle économique est uniquement basé sur la commission normale de la SNCF et sur une qualité de service qui autorise un véritable « achat-minute ».
Une politique de volume, pour laquelle Capitainetrain.com se donne du temps en misant surtout sur le bouche-à-oreilles.
Opérationnel depuis le 28 mars dernier, cette agence de voyage on line est immatriculée auprès d’Atout France et dispose de l’agrément nécessaire pour vendre tous les produits SNCF, Eurostar, Lyria, Thalys, et bientôt IDTGV.
En revanche, elle n’a pas l’intention de distribuer du package, de la location de voiture ou du transport aérien. Elle ne souhaite pas non plus encombrer ses pages avec des bandeaux publicitaires, et moins encore revendre ses fichiers clients.
Son modèle économique est uniquement basé sur la commission normale de la SNCF et sur une qualité de service qui autorise un véritable « achat-minute ».
Une politique de volume, pour laquelle Capitainetrain.com se donne du temps en misant surtout sur le bouche-à-oreilles.
Simplifier la vente pour réduire au maximum le nombre de clics
« L’idée, c’est de simplifier la vente pour réduire au maximum le nombre de clics, » explique Valentin Surrel, l’un des trois fondateurs de Capitaine Train, avec Jean Daniel Guyot et Martin Ottenwaelter, « Car nos clients savent où ils vont et n’ont pas de temps à perdre devant un écran pour acheter leur billet. »
Le secret de la performance n’est pas bien compliqué.
« Nous ne venons pas du tourisme, mais de la technique, » précise Valentin Surrel, qui, comme tous ses complices, sort d’une école d’ingénieurs, « Et notre vision de la vente en ligne est très différente ; c’est une approche très web pour la clientèle web. »
Le secret de la performance n’est pas bien compliqué.
« Nous ne venons pas du tourisme, mais de la technique, » précise Valentin Surrel, qui, comme tous ses complices, sort d’une école d’ingénieurs, « Et notre vision de la vente en ligne est très différente ; c’est une approche très web pour la clientèle web. »
Les gens font souvent le même trajet
Un coup d’œil sur la page d’accueil, avec trois options au choix : « trouver votre train », « payer », « récupérer son billet », et l’on comprend vite à quel point la clientèle dont il parle recherche avant tout la rapidité et la simplicité des transactions.
La première visite est un peu longue, bien sûr, car le client doit renseigner les champs classiques pour chacun des passagers : nom et prénom, date de naissance, gare de départ et d’arrivée…
Mais, au fur et à mesure, ses achats enrichissent un fichier personnalisé qui permettra de réduire progressivement le nombre d’opérations nécessaires.
Ainsi, grâce à ce « CRM » automatique, le client pourra, dès sa seconde visite, régler son achat en une minute, montre en main.
« Nous nous sommes aperçus que les gens faisaient très souvent le même trajet, » précise Valentin Surrel, « En optimisant les interfaces du site, on peut alors automatiser tout le processus pour que le passager n’ait plus qu’à choisir l’heure de son train. »
La première visite est un peu longue, bien sûr, car le client doit renseigner les champs classiques pour chacun des passagers : nom et prénom, date de naissance, gare de départ et d’arrivée…
Mais, au fur et à mesure, ses achats enrichissent un fichier personnalisé qui permettra de réduire progressivement le nombre d’opérations nécessaires.
Ainsi, grâce à ce « CRM » automatique, le client pourra, dès sa seconde visite, régler son achat en une minute, montre en main.
« Nous nous sommes aperçus que les gens faisaient très souvent le même trajet, » précise Valentin Surrel, « En optimisant les interfaces du site, on peut alors automatiser tout le processus pour que le passager n’ait plus qu’à choisir l’heure de son train. »
Devenir un véritable acteur indépendant
Encouragés par les retours satisfaits de leurs premiers clients, essentiellement des grands consommateurs de train, Valentin Surrel et les 5 personnes de la petite équipe de Capitainetrain.com songent bien sûr à l’ouverture prochaine du train à la concurrence européenne.
Mais, s’ils veulent devenir un véritable acteur de la vente ferroviaire, ils veulent aussi maîtriser leur croissance et préfèrent se concentrer d’abord sur les améliorations potentielles du site.
Ce travail est non seulement dans leurs cordes d’ingénieurs, mais il leur permet aussi de réduire les coûts informatiques en réalisant eux-mêmes tous les développements.
« C’est le seul moyen de rester indépendant, » explique Valentin Surrel, en soulignant au passage que Capitainetrain.com respecte parfaitement son plan de marche « Et pourtant, il n’y a encore que deux façons d’ouvrir un compte, soit par la liste d’attente, soit par le parrainage d’un client. »
En attendant l’ouverture plus large des vannes, l’agence provoque déjà un sacré « buzz » sur FaceBook et sur Twitter…
Visiblement, Voyages-sncf.com a du souci à se faire.
Mais, s’ils veulent devenir un véritable acteur de la vente ferroviaire, ils veulent aussi maîtriser leur croissance et préfèrent se concentrer d’abord sur les améliorations potentielles du site.
Ce travail est non seulement dans leurs cordes d’ingénieurs, mais il leur permet aussi de réduire les coûts informatiques en réalisant eux-mêmes tous les développements.
« C’est le seul moyen de rester indépendant, » explique Valentin Surrel, en soulignant au passage que Capitainetrain.com respecte parfaitement son plan de marche « Et pourtant, il n’y a encore que deux façons d’ouvrir un compte, soit par la liste d’attente, soit par le parrainage d’un client. »
En attendant l’ouverture plus large des vannes, l’agence provoque déjà un sacré « buzz » sur FaceBook et sur Twitter…
Visiblement, Voyages-sncf.com a du souci à se faire.