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Félix Jimenez, ministre du Tourisme de la République Dominicaine, enthousiaste quant au développement de l'île
Que de chemin parcouru depuis trente ans, et l’époque où la République Dominicaine ne comptait encore qu’un millier de chambres. Désormais, le tourisme est devenu véritablement l’enjeu national. Les investissements sont vertigineux, et les recettes tout autant : 14 millions de dollars dans les années 70, contre plus de 3,5 milliards de dollars en 2005.
Sur les sept premiers mois de 2006, la fréquentation a crû de 9,6 %, et devrait dépasser allègrement les 4 millions enregistrés en 2005. Illustration du phénomène d’engouement avec les touristes français, qui n’étaient que 18000 à passer leurs vacances ici il y a dix ans, et qui sont actuellement plus de 300 000. La France se place ainsi au deuxième rang des pays visiteurs, loin derrière les Etats-Unis, mais en tête des nations européennes.
Créer de l’offre
Tous ces chiffres donnent des ailes à l’Hispanola d’hier. Soutenu par un gouvernement qui ne fut pas toujours acquis à sa cause, mais qui a enfin pris conscience de l’importance du secteur pour le développement économique du territoire, le ministre Felix Jimenez multiplie avec enthousiasme les annonces de chantiers.
« Le tourisme, véritablement, se structure », se félicite-t-il. L’île construit de nouvelles routes, autoroutes, accroît sa capacité d’hébergement, et entend proposer des séjours multi-budgets. « Nous marchons sur la voie que nous nous sommes tracée. De la classe moyenne au haut de gamme, l’offre se diversifie. »
Côtes de luxe
Exemples d’investissement dans le nord-Est. Haut lieu de rassemblement de baleines, terre à la nature préservée, la presqu’îe de Samana est propice aux projets. Tout y est mis en œuvre pour attirer une clientèle exigeante, à fort pouvoir d’achat. Activités sportives ou de loisirs select, une marina flambant neuve pour les bateaux de croisières, et une série d’hôtels de luxe vont voir le jour. Samana, ainsi, disposera dès novembre d’une capacité hôtelière de 3500 chambres, avec quatre nouveaux établissements 5* gérés par la chaîne Bahia Principe.
Plus au Sud, Punta Cana, l’un des fleurons de l’île, accueillera elle aussi de nouveaux cinq étoiles, cinq dès décembre, mais surtout plusieurs centaines de résidences et villas de luxe et plusieurs parcours de golf top niveau, signés de Jack Niklaus, légende de la discipline.
Communication accrue
Coup d’œil global ensuite sur les plages, du nord au sud. « Les travaux de réhabilitation ont été une de nos préoccupations principales ces dernières années », commente fièrement le Félix Jimenez. « 19 millions de dollars ont été investis le long de Puerto Plata, Playa Dorada, ou encore de Long Beach, qui disposeront d’ici 2010 d’une offre d’hébergement de 20 000 lits. »
S’il on en croît le ministre, aucune région ne sera oubliée par ces aménagements. Des efforts seront entrepris encore pour faire découvrir aux touristes les contrées les moins connues, campagne de communication « interrégionale » à l’appui. Objectif de fond : que « tout le peuple dominicain puisse augmenter son niveau de vie grâce au tourisme. »
Business leader
Tourisme de vacances mais également accélération du tourisme business. La République Dominicaine voudrait en effet devenir « la meilleure destination incentive au cœur des Caraïbes. » Un palais de congrès de plus de trois mille places sera construit à Saint-Domingue, ancienne capitale du Nouveau Monde où les efforts s’annoncent soutenus en terme de rénovation architecturale.
Désireux de témoigner aux entreprises européennes de son potentiel d’accueil, le ministère a crée récemment un Département Congrès et Incentives. C’est dans ce cadre qu’il éditera dans les prochaines semaines un guide multilingues à l’attention de la clientèle affaires. Avant cela, l’Office du tourisme de République Dominicaine en France organisera son 2e Workshop Incentive. Rendez-vous est pris au premier étage de la Tour Eiffel, mardi 19 septembre.
www.godominicanrepublic.com
Sur les sept premiers mois de 2006, la fréquentation a crû de 9,6 %, et devrait dépasser allègrement les 4 millions enregistrés en 2005. Illustration du phénomène d’engouement avec les touristes français, qui n’étaient que 18000 à passer leurs vacances ici il y a dix ans, et qui sont actuellement plus de 300 000. La France se place ainsi au deuxième rang des pays visiteurs, loin derrière les Etats-Unis, mais en tête des nations européennes.
Créer de l’offre
Tous ces chiffres donnent des ailes à l’Hispanola d’hier. Soutenu par un gouvernement qui ne fut pas toujours acquis à sa cause, mais qui a enfin pris conscience de l’importance du secteur pour le développement économique du territoire, le ministre Felix Jimenez multiplie avec enthousiasme les annonces de chantiers.
« Le tourisme, véritablement, se structure », se félicite-t-il. L’île construit de nouvelles routes, autoroutes, accroît sa capacité d’hébergement, et entend proposer des séjours multi-budgets. « Nous marchons sur la voie que nous nous sommes tracée. De la classe moyenne au haut de gamme, l’offre se diversifie. »
Côtes de luxe
Exemples d’investissement dans le nord-Est. Haut lieu de rassemblement de baleines, terre à la nature préservée, la presqu’îe de Samana est propice aux projets. Tout y est mis en œuvre pour attirer une clientèle exigeante, à fort pouvoir d’achat. Activités sportives ou de loisirs select, une marina flambant neuve pour les bateaux de croisières, et une série d’hôtels de luxe vont voir le jour. Samana, ainsi, disposera dès novembre d’une capacité hôtelière de 3500 chambres, avec quatre nouveaux établissements 5* gérés par la chaîne Bahia Principe.
Plus au Sud, Punta Cana, l’un des fleurons de l’île, accueillera elle aussi de nouveaux cinq étoiles, cinq dès décembre, mais surtout plusieurs centaines de résidences et villas de luxe et plusieurs parcours de golf top niveau, signés de Jack Niklaus, légende de la discipline.
Communication accrue
Coup d’œil global ensuite sur les plages, du nord au sud. « Les travaux de réhabilitation ont été une de nos préoccupations principales ces dernières années », commente fièrement le Félix Jimenez. « 19 millions de dollars ont été investis le long de Puerto Plata, Playa Dorada, ou encore de Long Beach, qui disposeront d’ici 2010 d’une offre d’hébergement de 20 000 lits. »
S’il on en croît le ministre, aucune région ne sera oubliée par ces aménagements. Des efforts seront entrepris encore pour faire découvrir aux touristes les contrées les moins connues, campagne de communication « interrégionale » à l’appui. Objectif de fond : que « tout le peuple dominicain puisse augmenter son niveau de vie grâce au tourisme. »
Business leader
Tourisme de vacances mais également accélération du tourisme business. La République Dominicaine voudrait en effet devenir « la meilleure destination incentive au cœur des Caraïbes. » Un palais de congrès de plus de trois mille places sera construit à Saint-Domingue, ancienne capitale du Nouveau Monde où les efforts s’annoncent soutenus en terme de rénovation architecturale.
Désireux de témoigner aux entreprises européennes de son potentiel d’accueil, le ministère a crée récemment un Département Congrès et Incentives. C’est dans ce cadre qu’il éditera dans les prochaines semaines un guide multilingues à l’attention de la clientèle affaires. Avant cela, l’Office du tourisme de République Dominicaine en France organisera son 2e Workshop Incentive. Rendez-vous est pris au premier étage de la Tour Eiffel, mardi 19 septembre.
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