l’aérien est un milieu ouvert à tous, quel que soit son parcours. Crédit : depositphoto.Photography33
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Le Salon des formations et métiers aéronautiques (SFMA), rendez-vous annuel incontournable des acteurs de la formation et du recrutement dans les secteurs de l’aéronautique, du spatial et de la défense, revient pour une nouvelle édition du 31 janvier au 2 février 2025 au musée de l’Air et de l’Espace, aéroport de Paris-Le Bourget.
Cette année encore, les allées devraient être très fréquentées, confirmant l’essor post Covid des métiers de l’aérien.
Le réseau LinkedIn, qui le 7 janvier dernier a publié son classement des métiers en croissance pour 2025, fait apparaître que l’industrie et le tourisme restent de puissants moteurs de recrutement, et le secteur des métiers de l’aérien y contribue largement.
Ainsi, on découvre que dans le top 10 des métiers, celui de Steward – hôtesse de l’air occupe la cinquième place et à la dixième place celui de Mécanicien aéronautique.
Le salon des métiers aéronautiques dédié à la formation et au recrutement
Cette année encore le salon des formations fera le plein de visiteurs. Photo : C.Hardin
Et c’est tout un éventail de métiers, techniques ou commerciaux dont le secteur aéronautique a besoin tout au long de l’année.
Parallèlement à ces besoins permanents, le transport aérien connaît des pics d'activité saisonniers qui nécessitent des recrutements supplémentaires.
Le SFMA, offre une opportunité idéale pour anticiper ces recrutements saisonniers en permettant aux entreprises de rencontrer et de recruter les candidats en préparation de la saison estivale 2025.
Un espace sera dédié aux entreprises qui embauchent : les visiteurs pourront y rencontrer directement les recruteurs, déposer leurs candidatures et même participer à des entretiens sur place.
Les recrutements s’adressent tant aux jeunes sortis d’école qu’aux personnes en recherche d’un emploi qualifié ou celles souhaitant se reconvertir professionnellement : l’aérien est un milieu ouvert à tous, quel que soit son parcours, avec également beaucoup de formations en interne qui permettent de progresser dans sa carrière.
En complément des stands des exposants, le SFMA 2025 proposera un programme de conférences animées par des professionnels du secteur.
Ces sessions traiteront des thématiques par métiers (pilote, avion, pilote, hélicoptère, contrôleur aérien, assistance aéroportuaire, etc.) qui aborderont les tendances du marché de l'emploi aéronautique et préciseront les compétences recherchées, les parcours de formation, et les conseils pour réussir son insertion professionnelle.
Des besoins en France et ailleurs
Hors hexagone, les emplois dans l’aérien ont également le vent en poupe.
En Allemagne le secteur vient au secours de l’économie, très pénalisée par un secteur automobile, jadis en pleine forme, mais en difficulté aujourd’hui.
Lufthansa qui avait dû supprimer 30 000 postes suite au Covid continue de réembaucher avec un objectif en 2025 de recruter 2000 hôtesses et stewards, 800 pilotes, 1400 collaborateurs au sol, 1300 experts techniques, et 1200 employés administratifs.
En France, la compagnie Emirates multiplie ses journées de recrutement Open Day dans toutes les grandes villes de France pour recruter des personnels navigants commerciaux.
La compagnie vient également de se lancer dans une vaste chasse aux pilotes en France (commandants de bord et copilotes) en promettant « des salaires plus élevés et des critères d’éligibilité revisités ».
Trois cessions de recrutement sont prévues à Paris les 3 et 4 février et Emirates sera également présent au salon des formations aéronautiques du Bourget.
Selon le GIFAS : « La filière devrait poursuivre ses embauches en volume important en 2025 et créer de nouveaux milliers d’emplois grâce à la dynamique du transport aérien et ses perspectives de demande croissante et avec des carnets de commandes dépassant 10 ans pour la plupart des grands groupes. »
De la petite compagnie Chalair, à Air France en passant par French bee, les compagnies multiplient les offres d’emploi de personnel navigant et de mécaniciens qualifiés.
Les sous-traitant aussi. Récemment le NAE, le réseau normand des acteurs du domaine aéronautique tablait sur 2000 recrutements en 2025 et 2 200 de 2026 à 2030.
La décarbonation devrait elle aussi favoriser l’embauche. Toujours en Normandie, l’énergéticien Verso Energy prévoit d’installer une unité de production de carburant d’aviation durable qui génèrera 250 emplois.
En Allemagne le secteur vient au secours de l’économie, très pénalisée par un secteur automobile, jadis en pleine forme, mais en difficulté aujourd’hui.
Lufthansa qui avait dû supprimer 30 000 postes suite au Covid continue de réembaucher avec un objectif en 2025 de recruter 2000 hôtesses et stewards, 800 pilotes, 1400 collaborateurs au sol, 1300 experts techniques, et 1200 employés administratifs.
En France, la compagnie Emirates multiplie ses journées de recrutement Open Day dans toutes les grandes villes de France pour recruter des personnels navigants commerciaux.
La compagnie vient également de se lancer dans une vaste chasse aux pilotes en France (commandants de bord et copilotes) en promettant « des salaires plus élevés et des critères d’éligibilité revisités ».
Trois cessions de recrutement sont prévues à Paris les 3 et 4 février et Emirates sera également présent au salon des formations aéronautiques du Bourget.
Selon le GIFAS : « La filière devrait poursuivre ses embauches en volume important en 2025 et créer de nouveaux milliers d’emplois grâce à la dynamique du transport aérien et ses perspectives de demande croissante et avec des carnets de commandes dépassant 10 ans pour la plupart des grands groupes. »
De la petite compagnie Chalair, à Air France en passant par French bee, les compagnies multiplient les offres d’emploi de personnel navigant et de mécaniciens qualifiés.
Les sous-traitant aussi. Récemment le NAE, le réseau normand des acteurs du domaine aéronautique tablait sur 2000 recrutements en 2025 et 2 200 de 2026 à 2030.
La décarbonation devrait elle aussi favoriser l’embauche. Toujours en Normandie, l’énergéticien Verso Energy prévoit d’installer une unité de production de carburant d’aviation durable qui génèrera 250 emplois.
Les centres de formation font le plein
« Les dispositifs d’alternance pour le métier de PNC tournent à plein régime et tous les feux sont au vert ». Farid Khouar, directeur du centre des Guyards.Photo: C.Hardin
Au centre Interline des Guyards, situé non loin des pistes de l’aéroport d’Orly et qui propose des formations au C.C.A (Cabin Crew Attestation) la licence permettant d’exercer la profession d’hôtesses de l’air/ Stewards, les formations tournent à plein régime.
Avec des moyens pédagogiques de qualité, le centre affiche d’excellents taux de réussite à 87%.
Le centre forme de très nombreux jeunes embauchés dans le cadre des dispositifs d’alternance proposés par la plupart des compagnies aériennes françaises ou celles avec des bases françaises.
« Les dispositifs d’alternance pour le métier de PNC tournent à plein régime et tous les feux sont au vert », nous a confié Farid Khouar]urlblank:https://www.linkedin.com/in/farid-khouar-12b44238/?originalSubdomain=fr le directeur du centre.
« Après le Covid en 2023 à la reprise des embauches dans le transport aérien, nous avions formé environ 280 alternants, ils seront probablement 800 l’année prochaine. » a t il ajouté.
Des formations financées et permettant à de nombreux jeunes d’accéder au métier. En dehors de ces dispositifs, le Centre des Guyards propose aussi aux particuliers de se former. « Nos cessions sont complètes jusqu’à la fin du mois de février » nous a-t-il précisé.
Chez Air France, on confirme cette vivacité. Les projections reflètent une bonne dynamique même si elles devront se confirmer en fonction de la situation économique et des différents besoins de l’entreprise.
À ce stade, la compagnie prévoit d’embaucher 350 pilotes, 450 Mécaniciens, ingénieurs aéronautiques, secteur logistique (supply chain) et 80 Cadres IT & Data en CDI.
Pour la prochaine saison d’été, 150 agents des services commerciaux et près de 600 personnels navigants commerciaux en CDD. Des contrats en alternance également avec environ 1000 embauches (400 mécaniciens, 450 alternants PNC, 250 sur autres métiers).
À l’AFMAE, l’association pour la formation aux métiers de l’aérien implanté en bordure des pistes de l’aéroport du Bourget, la rentrée 2024/2025 a connu une dynamique très positive avec une hausse globale du nombre d’apprenants par rapport à l’année dernière.
521 apprenants en filières d’apprentissage, incluant 122 CSAT (Certificat de spécialisation Accueil dans les Transports), ce qui représente 80 % des effectifs en filières techniques et 20 % en filières tertiaires.
Une forte augmentation dans les Certificats de Qualification professionnelle (CQP) pour les Personnels Navigants Commerciaux (PNC) et les CQPM en mécanique aéronautique.
« Ces filières, axées sur la reconversion professionnelle, bénéficient de l’attractivité du secteur aérien et de la demande croissante des entreprises, confrontées à des tensions sur ces métiers. » selon Magali Jobert, Déléguée générale de l’AFMAÉ.
« Agents d’escale et mécaniciens aéronautiques sont particulièrement demandés par les entreprises, en raison des difficultés à recruter ces profils spécifiques.
Les métiers plébiscités par les jeunes ne sont pas toujours en corrélation avec ces besoins. Les métiers de pilote et de personnel navigant commercial restent les plus populaires, car mieux connus du grand public.
Pour combler ce décalage, l’AFMAÉ s’efforce de mettre en lumière ces métiers en tension, en soulignant leur forte employabilité et les opportunités qu’ils offrent. Ces actions visent à encourager davantage de jeunes à se tourner vers ces carrières, cruciales pour répondre aux besoins des entreprises. » nous a-t-elle précisé.
Au sein d’Air France, et pour faire face aux besoins particulièrement sur ces métiers en tension, Ethel Trolong, responsable recrutement explique : « Nous avons diversifié nos canaux de sourcing et élargi nos critères de recrutement. Nous étudions désormais des profils avec des compétences transférables issues d'autres secteurs comme l’automobile par exemple, ce qui nous permet d’élargir notre vivier.
Également nous sommes en train de mettre en place une méthode de recrutement « par simulation » nous permettant d’évaluer les candidats avec des mises en situation qui reproduisent les conditions réelles du travail.
Cela permet d’évaluer par exemple la dextérité manuelle, la précision du geste technique, le respect des consignes. »
C’est une méthode que nous mettons en place avec le concours de France Travail et qui va nous permettre d’aller vraiment chercher ce que nous appelons « des talents atypiques. On va se concentrer sur le potentiel, sur les aptitudes, plus que sur un parcours, sur un diplôme. »
« Nous serons bien sûr présents au prochain salon des formations avec notamment la tenue d’une table ronde le samedi 1er février à 10h00 ou les personnes désireuses d’intégrer une compagnie aérienne pourront venir à notre rencontre pour nous poser des questions sur les différentes opportunités qui sont les nôtres. »
Avec des moyens pédagogiques de qualité, le centre affiche d’excellents taux de réussite à 87%.
Le centre forme de très nombreux jeunes embauchés dans le cadre des dispositifs d’alternance proposés par la plupart des compagnies aériennes françaises ou celles avec des bases françaises.
« Les dispositifs d’alternance pour le métier de PNC tournent à plein régime et tous les feux sont au vert », nous a confié Farid Khouar]urlblank:https://www.linkedin.com/in/farid-khouar-12b44238/?originalSubdomain=fr le directeur du centre.
« Après le Covid en 2023 à la reprise des embauches dans le transport aérien, nous avions formé environ 280 alternants, ils seront probablement 800 l’année prochaine. » a t il ajouté.
Des formations financées et permettant à de nombreux jeunes d’accéder au métier. En dehors de ces dispositifs, le Centre des Guyards propose aussi aux particuliers de se former. « Nos cessions sont complètes jusqu’à la fin du mois de février » nous a-t-il précisé.
Chez Air France, on confirme cette vivacité. Les projections reflètent une bonne dynamique même si elles devront se confirmer en fonction de la situation économique et des différents besoins de l’entreprise.
À ce stade, la compagnie prévoit d’embaucher 350 pilotes, 450 Mécaniciens, ingénieurs aéronautiques, secteur logistique (supply chain) et 80 Cadres IT & Data en CDI.
Pour la prochaine saison d’été, 150 agents des services commerciaux et près de 600 personnels navigants commerciaux en CDD. Des contrats en alternance également avec environ 1000 embauches (400 mécaniciens, 450 alternants PNC, 250 sur autres métiers).
À l’AFMAE, l’association pour la formation aux métiers de l’aérien implanté en bordure des pistes de l’aéroport du Bourget, la rentrée 2024/2025 a connu une dynamique très positive avec une hausse globale du nombre d’apprenants par rapport à l’année dernière.
521 apprenants en filières d’apprentissage, incluant 122 CSAT (Certificat de spécialisation Accueil dans les Transports), ce qui représente 80 % des effectifs en filières techniques et 20 % en filières tertiaires.
Une forte augmentation dans les Certificats de Qualification professionnelle (CQP) pour les Personnels Navigants Commerciaux (PNC) et les CQPM en mécanique aéronautique.
« Ces filières, axées sur la reconversion professionnelle, bénéficient de l’attractivité du secteur aérien et de la demande croissante des entreprises, confrontées à des tensions sur ces métiers. » selon Magali Jobert, Déléguée générale de l’AFMAÉ.
« Agents d’escale et mécaniciens aéronautiques sont particulièrement demandés par les entreprises, en raison des difficultés à recruter ces profils spécifiques.
Les métiers plébiscités par les jeunes ne sont pas toujours en corrélation avec ces besoins. Les métiers de pilote et de personnel navigant commercial restent les plus populaires, car mieux connus du grand public.
Pour combler ce décalage, l’AFMAÉ s’efforce de mettre en lumière ces métiers en tension, en soulignant leur forte employabilité et les opportunités qu’ils offrent. Ces actions visent à encourager davantage de jeunes à se tourner vers ces carrières, cruciales pour répondre aux besoins des entreprises. » nous a-t-elle précisé.
Au sein d’Air France, et pour faire face aux besoins particulièrement sur ces métiers en tension, Ethel Trolong, responsable recrutement explique : « Nous avons diversifié nos canaux de sourcing et élargi nos critères de recrutement. Nous étudions désormais des profils avec des compétences transférables issues d'autres secteurs comme l’automobile par exemple, ce qui nous permet d’élargir notre vivier.
Également nous sommes en train de mettre en place une méthode de recrutement « par simulation » nous permettant d’évaluer les candidats avec des mises en situation qui reproduisent les conditions réelles du travail.
Cela permet d’évaluer par exemple la dextérité manuelle, la précision du geste technique, le respect des consignes. »
C’est une méthode que nous mettons en place avec le concours de France Travail et qui va nous permettre d’aller vraiment chercher ce que nous appelons « des talents atypiques. On va se concentrer sur le potentiel, sur les aptitudes, plus que sur un parcours, sur un diplôme. »
« Nous serons bien sûr présents au prochain salon des formations avec notamment la tenue d’une table ronde le samedi 1er février à 10h00 ou les personnes désireuses d’intégrer une compagnie aérienne pourront venir à notre rencontre pour nous poser des questions sur les différentes opportunités qui sont les nôtres. »
Un lieu d’opportunités
Avec le SFMA, le Bourget sera donc pendant quelques jours un lieu d’opportunités qui réunira plus de 100 exposants, dont des compagnies aériennes, des constructeurs, des équipementiers et des organismes de formation.
Ces organisations proposeront des formations et de nombreuses offres d'emploi couvrant une large gamme de métiers civils et militaires : ingénieurs, techniciens supérieurs, pilotes, personnels navigants, commerciaux, personnels au sol, instructeurs, mécaniciens, etc.
Cette année encore, Airemploi sera partenaire du salon. Cette association créée par Air France, le GIFAS (Groupement des Industries françaises Aéronautiques et Spatiales) et la FNAM (Fédération Nationale de l'Aviation Marchande) en partenariat avec Aéroports de Paris et l'Armée de l'Air a pour vocation de promouvoir les métiers et les formations des secteurs de l’industrie aéronautique et spatiale et du transport aérien (nommés également les 3A pour aéronautique, aérien, aéroportuaire).
Créée il y a 25 ans, l’association va changer de nom pour mieux refléter son action qui porte sur l’information et l’orientation et non l’emploi en lui-même.
Le nouveau nom d’Airemploi sera lancé auprès du grand public du SFMA 2025, mais TourMag peut déjà vous révéler que le nom retenu est « Aérométiers » avec une devise : informer, orienter, inspirer.
Ces organisations proposeront des formations et de nombreuses offres d'emploi couvrant une large gamme de métiers civils et militaires : ingénieurs, techniciens supérieurs, pilotes, personnels navigants, commerciaux, personnels au sol, instructeurs, mécaniciens, etc.
Cette année encore, Airemploi sera partenaire du salon. Cette association créée par Air France, le GIFAS (Groupement des Industries françaises Aéronautiques et Spatiales) et la FNAM (Fédération Nationale de l'Aviation Marchande) en partenariat avec Aéroports de Paris et l'Armée de l'Air a pour vocation de promouvoir les métiers et les formations des secteurs de l’industrie aéronautique et spatiale et du transport aérien (nommés également les 3A pour aéronautique, aérien, aéroportuaire).
Créée il y a 25 ans, l’association va changer de nom pour mieux refléter son action qui porte sur l’information et l’orientation et non l’emploi en lui-même.
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Pour s'informer
Cette année les conférences du SMA porteront sur les thèmes suivants
- Les métiers du pilotage : avion et hélicoptère
- Les métiers des essais
- Découverte des métiers dans le cadre du Parcours Avenir (classes de 6e à 3e)
- Le télépilote de drone civil
- Les métiers du contrôle aérien
- Les membres d’équipage de cabine (hôtesse & steward)
- Les métiers du transport aérien et de l’assistance aéroportuaire
- Les parcours et formations dans la construction et maintenance aéronautique
- Focus sur les métiers de la maintenance
- L’anglais aéronautique
- Les métiers de l’Aéronautique navale
- Les métiers de l’armée de Terre
Et une nouvelle thématique pour cette édition 2025 :
- La contribution de l’intelligence artificielle aux métiers aéronautiques
Ainsi que deux tables rondes :
- Féminisons les métiers de l’aérien
- Les besoins en recrutement des compagnies aériennes
L’AFMAE organise prochainement des journées « portes ouverte » au sujet de ses formations :
- Journée « portes ouvertes » spéciale pour le métier d'agent d'escale le 8 février 2025 sur son site de Bonneuil en France.
- Journées « portes ouvertes toutes formations confondues le 15 mars 2025 sur son site de Bonneuil en France et le 5 avril 2025 sur son site de Toussus Le Noble.
- Les métiers du pilotage : avion et hélicoptère
- Les métiers des essais
- Découverte des métiers dans le cadre du Parcours Avenir (classes de 6e à 3e)
- Le télépilote de drone civil
- Les métiers du contrôle aérien
- Les membres d’équipage de cabine (hôtesse & steward)
- Les métiers du transport aérien et de l’assistance aéroportuaire
- Les parcours et formations dans la construction et maintenance aéronautique
- Focus sur les métiers de la maintenance
- L’anglais aéronautique
- Les métiers de l’Aéronautique navale
- Les métiers de l’armée de Terre
Et une nouvelle thématique pour cette édition 2025 :
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Ainsi que deux tables rondes :
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L’AFMAE organise prochainement des journées « portes ouverte » au sujet de ses formations :
- Journée « portes ouvertes » spéciale pour le métier d'agent d'escale le 8 février 2025 sur son site de Bonneuil en France.
- Journées « portes ouvertes toutes formations confondues le 15 mars 2025 sur son site de Bonneuil en France et le 5 avril 2025 sur son site de Toussus Le Noble.
Publié par Christophe Hardin Journaliste AirMaG - TourMaG.com Voir tous les articles de Christophe Hardin
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