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C’est donc Delta Airlines, la première, qui a annoncé hier un plan de réduction des effectifs de 3 000 postes et la possibilité de réduire l’activité de 30 000 employés sur un total de 55 000 employés que compte la compagnie.
Delta veut gagner encore 150 millions de dollars de plus sur le plan d’économie mis en place en décembre dernier, soit 550 millions au total. Tout ceci pour contrebalancer une facture annuelle du pétrole qui devrait s’alourdir de 900 millions de dollars.
La suppression des 3000 premiers emplois concernera le PNC et les agents au sol pour 1300 postes et des employés administratifs pour 700 postes. Le reste sera composé de départs volontaires ou de départs anticipés à la retraite. Mais la compagnie ne cache pas qu’elle pourrait tout simplement licencier dans le pire des cas.
Pour l’instant, les pilotes ne sont pas concernés mais la décision de réduire les opérations domestiques et certaines lignes du réseau international ne manquera pas de les toucher.
La compagnie compte en effet supprimer à nouveau 10% son réseau domestique, ce qui immobilisera une partie de sa flotte : au total 20 appareils gros et moyens porteurs ainsi que 25 jets régionaux.
Mauvaise semaine, donc, pour Delta dont les syndicats de pilotes n’ont pas réussi à trouver un terrain d’entente avec ceux de Northwest Airlines. Cet accord était un préalable au projet de rapprochement des deux compagnies qui aurait donné lieu à la création de la plus grande compagnie américaine. Le projet semble aujourd’hui reporté à des jours meilleurs.
Delta veut gagner encore 150 millions de dollars de plus sur le plan d’économie mis en place en décembre dernier, soit 550 millions au total. Tout ceci pour contrebalancer une facture annuelle du pétrole qui devrait s’alourdir de 900 millions de dollars.
La suppression des 3000 premiers emplois concernera le PNC et les agents au sol pour 1300 postes et des employés administratifs pour 700 postes. Le reste sera composé de départs volontaires ou de départs anticipés à la retraite. Mais la compagnie ne cache pas qu’elle pourrait tout simplement licencier dans le pire des cas.
Pour l’instant, les pilotes ne sont pas concernés mais la décision de réduire les opérations domestiques et certaines lignes du réseau international ne manquera pas de les toucher.
La compagnie compte en effet supprimer à nouveau 10% son réseau domestique, ce qui immobilisera une partie de sa flotte : au total 20 appareils gros et moyens porteurs ainsi que 25 jets régionaux.
Mauvaise semaine, donc, pour Delta dont les syndicats de pilotes n’ont pas réussi à trouver un terrain d’entente avec ceux de Northwest Airlines. Cet accord était un préalable au projet de rapprochement des deux compagnies qui aurait donné lieu à la création de la plus grande compagnie américaine. Le projet semble aujourd’hui reporté à des jours meilleurs.