La 1ère aérogare à services simplifiés en construction neuve en France, prend forme à Bordeaux.
Avec une surface de 4.000 m2, la mise en service du nouveau bâtiment est prévue en mai 2010. Lors d’une visite sur le chantier organisée pour la presse, l’aéroport a présenté aujourd’hui le projet et son concept.
La promotion de la future aérogare auprès des compagnies aériennes, en préambule d’une campagne grand public à partir du printemps 2010, s’appuie sur un nom et une identité visuelle. Il fallait une formule courte, mémorisable, attribuable à Bordeaux, compréhensible tant en France qu’à l’étranger, un nom cohérent dans le territoire global de communication du transport low cost.
Ainsi est né billi, contraction de la signature Bordeaux illico. Au début des années 1990, les compagnies à bas coûts ont utilisé des lieux de type Beauvais qui avaient l’avantage d’être très peu chers : première génération de sites low cost.
Avec une surface de 4.000 m2, la mise en service du nouveau bâtiment est prévue en mai 2010. Lors d’une visite sur le chantier organisée pour la presse, l’aéroport a présenté aujourd’hui le projet et son concept.
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Ainsi est né billi, contraction de la signature Bordeaux illico. Au début des années 1990, les compagnies à bas coûts ont utilisé des lieux de type Beauvais qui avaient l’avantage d’être très peu chers : première génération de sites low cost.
Capacité nominale 2 millions de passagers an
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Durant les années 2000, elles ont bénéficié d’infrastructures adaptées à partir de la rénovation d’anciens bâtiments (Marseille, Lyon) : la deuxième génération.
Restait à inventer l’aérogare à services simplifiés de troisième génération, construite ab nihilo et dédiée au low cost : billi est ainsi la 1ère aérogare à services simplifiés en construction neuve en France, pour un investissement limité à 5,5 millions d’euros.
Côté compagnies aériennes, premier client de l’aéroport, le Terminal billi offrira, avec une redevance de l’ordre de 30% inférieure à celle des halls A et B, une réponse tarifaire en adéquation avec le modèle économique low cost.
La facilité et la rapidité d’exploitation, la flexibilité de l’infrastructure ont été au coeur de la réflexion sur le projet : le nouveau bâtiment permettra une durée d’escale de 25 minutes maximum, grâce notamment à la création d’espaces de pré-embarquement modulables et une coursive extérieure de gestion optimisée des flux de passagers à l’arrivée.
La capacité nominale de 2 millions de passagers par an –quatre avions et 600 passagers traités simultanément pourra être étendue à terme de 50%, sans travaux d’adaptation lourds.
Côté passagers, si le projet billi ne fait aucune concession à la sûreté, la sécurité, l’accessibilité pour les
personnes handicapées, le niveau de service se résume à « bénéficier de services plus simples pour voyager moins cher ».
Après s’être enregistré, le passager transporte lui-même ses bagages de soute jusqu’au contrôle. Le trajet de l’aérogare à l’avion est exclusivement piéton, sur le tarmac : pas de passerelle, pas de bus.
Restait à inventer l’aérogare à services simplifiés de troisième génération, construite ab nihilo et dédiée au low cost : billi est ainsi la 1ère aérogare à services simplifiés en construction neuve en France, pour un investissement limité à 5,5 millions d’euros.
Côté compagnies aériennes, premier client de l’aéroport, le Terminal billi offrira, avec une redevance de l’ordre de 30% inférieure à celle des halls A et B, une réponse tarifaire en adéquation avec le modèle économique low cost.
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La capacité nominale de 2 millions de passagers par an –quatre avions et 600 passagers traités simultanément pourra être étendue à terme de 50%, sans travaux d’adaptation lourds.
Côté passagers, si le projet billi ne fait aucune concession à la sûreté, la sécurité, l’accessibilité pour les
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Après s’être enregistré, le passager transporte lui-même ses bagages de soute jusqu’au contrôle. Le trajet de l’aérogare à l’avion est exclusivement piéton, sur le tarmac : pas de passerelle, pas de bus.
Ryanair annonçait le 29 octobre, l’ouverture de liaisons reliant Bordeaux à Bruxelles-Charleroi en décembre, Bologne, Porto et Edimbourg en mars 2010.
Une annonce qui renforce un réseau qui, en 2009, compte déjà Liverpool, Londres Luton, Bristol, Genève, Bâle Mulhouse, Lyon (Easyjet), Manchester (Bmibaby), Southampton (Flybe), Dublin (Aer Lingus), Oslo, Stockholm (Norwegian), Marrakech (Atlas Blue).
De 119.000 en 2003, le nombre de passagers low cost à Bordeaux est passé à près de 500.000 en 2008, et devrait atteindre plus de 660.000 en 2010, environ 1,2 million à l’horizon 2015. Il représente aujourd’hui 15% environ du trafic total de Bordeaux (3,5 millions de passagers / an). Les projections portent le segment low cost à 40% en 2017.
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De 119.000 en 2003, le nombre de passagers low cost à Bordeaux est passé à près de 500.000 en 2008, et devrait atteindre plus de 660.000 en 2010, environ 1,2 million à l’horizon 2015. Il représente aujourd’hui 15% environ du trafic total de Bordeaux (3,5 millions de passagers / an). Les projections portent le segment low cost à 40% en 2017.