Première constatation sur cette deuxième saison d'opération : les tour-opérateurs ne se précipitent pas pour affréter chez Transavia. Il est vrai que l’hiver n’est pas non plus propice à ce genre d’exercice.
Hélène Abraham, la directrice commerciale promet d'ailleurs un portefeuille charter plus conséquent au printemps prochain. En attendant, les tour-opérateurs choisissent plutôt les bloc-sièges sur les vols réguliers de la compagnie et ont représenté 23 % des ventes l’été dernier.
Le programme hiver reprend les best sellers de l’été : Porto en bi-quotidien, Gérone pourtant lent au démarrage à raison d’un vol quotidien, Agadir et Oujda d’une part, Djerba et Monastir de l’autre, à raison de trois vols par semaine. La Sicile en trois vols par semaine, aura davantage valeur de test, même si la ligne a connu des coefficients de remplissage dépassant les 80% l’été dernier.
Au chapitre des nouveautés, Transavia va lancer Fès et Ouazazate, ces deux destinations marocaines étant desservies par deux vols semaines. Essaouira complètera l’offre avec trois vols semaines à partir du 1er décembre. Les cinq destinations seront combinables.
Sur la Tunisie, la nouveauté de l’hiver sera Tozeur et le sud tunisien avec deux liaisons par semaine.
Hélène Abraham, la directrice commerciale promet d'ailleurs un portefeuille charter plus conséquent au printemps prochain. En attendant, les tour-opérateurs choisissent plutôt les bloc-sièges sur les vols réguliers de la compagnie et ont représenté 23 % des ventes l’été dernier.
Le programme hiver reprend les best sellers de l’été : Porto en bi-quotidien, Gérone pourtant lent au démarrage à raison d’un vol quotidien, Agadir et Oujda d’une part, Djerba et Monastir de l’autre, à raison de trois vols par semaine. La Sicile en trois vols par semaine, aura davantage valeur de test, même si la ligne a connu des coefficients de remplissage dépassant les 80% l’été dernier.
Au chapitre des nouveautés, Transavia va lancer Fès et Ouazazate, ces deux destinations marocaines étant desservies par deux vols semaines. Essaouira complètera l’offre avec trois vols semaines à partir du 1er décembre. Les cinq destinations seront combinables.
Sur la Tunisie, la nouveauté de l’hiver sera Tozeur et le sud tunisien avec deux liaisons par semaine.
Arrivée de 3 appareils supplémentaires au printemps prochain
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Lionel Guérin, le PDG de Transavia.com
Transavia renforce sa présence en Espagne avec la programmation de Grenade en trois vols par semaine. Une destination sur laquelle Transavia compte drainer les étudiants des programmes Erasmus et bien sûr, les touristes.
Nouveauté aussi, la desserte de l’Egypte avec un vol hebdomadaire sur Louxor et deux sur Hurghada. Enfin, inattendu dans le paysage, la desserte de Cracovie que la low cost Sky Europe vient d’abandonner. La ville polonaise n’étant pas desservie par Air France, Transavia pouvait donc s’y aventurer.
Parallèlement à l’effort commercial, la compagnie s’apprête à recruter et à former quinze équipages supplémentaires en préparation de l’arrivée de trois appareils supplémentaires au printemps prochain.
Et à faire des économies de coûts de façon à arriver à un coût au kilomètre transporté de 5,7 centimes actuellement à 4,8 centimes, plus en rapport avec la norme des low cost.
Sur un chiffre d’affaires estimé à 60 millions d’euros pour le premier exercice, le déficit s’élèvera à 20 millions. Il faudra attendre le troisième exercice avec 180 millions d’euros pour atteindre l’équilibre.
La compagnie disposera alors de huit avions pour transporter deux millions de passagers, exclusivement au départ d’Orly. Transavia utilise les slots d’Air France et continuera à le faire. « Le succès du TGV Est pourrait en libérer d’autres », prévoit Lionel Guérin, le PDG de Transavia.
Nouveauté aussi, la desserte de l’Egypte avec un vol hebdomadaire sur Louxor et deux sur Hurghada. Enfin, inattendu dans le paysage, la desserte de Cracovie que la low cost Sky Europe vient d’abandonner. La ville polonaise n’étant pas desservie par Air France, Transavia pouvait donc s’y aventurer.
Parallèlement à l’effort commercial, la compagnie s’apprête à recruter et à former quinze équipages supplémentaires en préparation de l’arrivée de trois appareils supplémentaires au printemps prochain.
Et à faire des économies de coûts de façon à arriver à un coût au kilomètre transporté de 5,7 centimes actuellement à 4,8 centimes, plus en rapport avec la norme des low cost.
Sur un chiffre d’affaires estimé à 60 millions d’euros pour le premier exercice, le déficit s’élèvera à 20 millions. Il faudra attendre le troisième exercice avec 180 millions d’euros pour atteindre l’équilibre.
La compagnie disposera alors de huit avions pour transporter deux millions de passagers, exclusivement au départ d’Orly. Transavia utilise les slots d’Air France et continuera à le faire. « Le succès du TGV Est pourrait en libérer d’autres », prévoit Lionel Guérin, le PDG de Transavia.