Ça bosse !
Sur ce point, le DITEX fait l’unanimité et n’a plus rien à prouver ; la preuve, c’est qu’on se renseignait déjà sur la qualité des hôtels, pour mieux choisir celui de l’an prochain...
Vendredi dernier, au soir, pendant ce moment toujours un peu froid, où tout le monde refait ses cartons, il était d’ailleurs bien difficile de trouver un sceptique de base, ou au moins le ronchon de service, parmi les 90 exposants et les quelques 1 100 visiteurs individuels qui avaient fréquenté deux jours durant les allées du salon avignonnais.
Des affaires, du contact prometteur entre décideurs : pour ça y allait fort. Tous étaient d’accord.
Donatello, Accovia, La Française des Circuits, qui n’a pas désemplit durant 48 heures, Sulema et ses deux tirages au sort, le tir groupé du stand TMS Contact, BEST Tours by Kuoni, qui soulignait au passage le rapport qualité prix très avantageux de la manifestation…
La liste serait longue à faire de ceux qui n’avaient pas la moindre raison de regretter le déplacement provençal. Les plus enthousiastes étant parfois les nouveaux venus, comme Revamerica Tours.
Et il faut croire que le message passait à haute voix puisse que Jean-François Alexandre, le sourire radieux, annonçait dès vendredi soir avoir été sollicité par la SNCF, qui aimerait bien faire quelques chose avec son salon.
Il confiait également avoir été approché par le Groupe Kerzner International, qui trouvait décidément la formule du DITEX intéressante et prenait rendez-vous pour l’an prochain.
Sur ce point, le DITEX fait l’unanimité et n’a plus rien à prouver ; la preuve, c’est qu’on se renseignait déjà sur la qualité des hôtels, pour mieux choisir celui de l’an prochain...
Vendredi dernier, au soir, pendant ce moment toujours un peu froid, où tout le monde refait ses cartons, il était d’ailleurs bien difficile de trouver un sceptique de base, ou au moins le ronchon de service, parmi les 90 exposants et les quelques 1 100 visiteurs individuels qui avaient fréquenté deux jours durant les allées du salon avignonnais.
Des affaires, du contact prometteur entre décideurs : pour ça y allait fort. Tous étaient d’accord.
Donatello, Accovia, La Française des Circuits, qui n’a pas désemplit durant 48 heures, Sulema et ses deux tirages au sort, le tir groupé du stand TMS Contact, BEST Tours by Kuoni, qui soulignait au passage le rapport qualité prix très avantageux de la manifestation…
La liste serait longue à faire de ceux qui n’avaient pas la moindre raison de regretter le déplacement provençal. Les plus enthousiastes étant parfois les nouveaux venus, comme Revamerica Tours.
Et il faut croire que le message passait à haute voix puisse que Jean-François Alexandre, le sourire radieux, annonçait dès vendredi soir avoir été sollicité par la SNCF, qui aimerait bien faire quelques chose avec son salon.
Il confiait également avoir été approché par le Groupe Kerzner International, qui trouvait décidément la formule du DITEX intéressante et prenait rendez-vous pour l’an prochain.
Un DITEX du Nord ? À Deauville évidemment !
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Ça bosse ! Ok ; normal après tout. Mais c’est également convivial.
Et là aussi, les commentaires étaient dithyrambiques. D’Amadeus International jusqu’à Lagrange, on se félicitait de pouvoir travailler ainsi, « sans se la jouer », aussi confortablement.
Un détail cependant, sur lequel il faut insister, les « gens heureux » ne parlaient pas du Off, qui d’ailleurs s’est très bien porté aussi, cette année, avec Challenge tourisme, FRAM, Best tours, Sabre ou TMS Contact.
Ils parlaient bien du travail dans les stands, de l’atmosphère qui régnait dans les contacts et dans les discussions.
Partout, des gens accessibles, du plus petit au plus grand, des gens vraiment intéressés par leurs confrères, pas seulement par l’utilité à court terme des uns ou des autres… bref une vraie solidarité professionnelle.
Et, presque inévitablement, c’était Deauville qui hantait les esprits, à mille lieux de la morosité qui assommait tout le monde, il y a seulement un mois.
« Je ne vois pas ce qui pourrait obscurcir l’horizon, confiait Jean-François Alexandre, après le salon, conscient qu’il y a toujours des améliorations à apporter.
« L’an prochain, les toilettes seront à l’extérieur, ce qui fera des stands en plus, et la restauration ne répètera plus deux fois le même menu… »
Pourtant, l’homme pense déjà à demain « Lorsque tout le monde se sera approprié le site, s’enflamme-t-il quand on lui parle des prochaines éditions, Ce sera fabuleux. La ville a un tel potentiel, notamment pour le Off…»
D’autres vont bien plus loin que lui. Parmi les visiteurs, certains suggéraient un DITEX du Nord ; on voit bien où… À Deauville évidemment !
D’autres prédisaient un avenir haut de gamme au salon.
Ils y voyaient la Rolls des manifestations BtoB, stable et qualitatif, tandis que la concurrence aurait à gérer les fluctuations de plus en plus rapides du marché, tantôt sous le coup d’un crise sanitaire, tantôt sous l’effet d’un choc politique ou naturel…
Prudent, Jean-François Alexandre sourit. Il en rêve sans doute, mais il préfère avancer pas à pas :
« Je ne suis pas focalisé sur le chiffre d’affaires, je veux juste faire un bon salon. »
Et là aussi, les commentaires étaient dithyrambiques. D’Amadeus International jusqu’à Lagrange, on se félicitait de pouvoir travailler ainsi, « sans se la jouer », aussi confortablement.
Un détail cependant, sur lequel il faut insister, les « gens heureux » ne parlaient pas du Off, qui d’ailleurs s’est très bien porté aussi, cette année, avec Challenge tourisme, FRAM, Best tours, Sabre ou TMS Contact.
Ils parlaient bien du travail dans les stands, de l’atmosphère qui régnait dans les contacts et dans les discussions.
Partout, des gens accessibles, du plus petit au plus grand, des gens vraiment intéressés par leurs confrères, pas seulement par l’utilité à court terme des uns ou des autres… bref une vraie solidarité professionnelle.
Et, presque inévitablement, c’était Deauville qui hantait les esprits, à mille lieux de la morosité qui assommait tout le monde, il y a seulement un mois.
« Je ne vois pas ce qui pourrait obscurcir l’horizon, confiait Jean-François Alexandre, après le salon, conscient qu’il y a toujours des améliorations à apporter.
« L’an prochain, les toilettes seront à l’extérieur, ce qui fera des stands en plus, et la restauration ne répètera plus deux fois le même menu… »
Pourtant, l’homme pense déjà à demain « Lorsque tout le monde se sera approprié le site, s’enflamme-t-il quand on lui parle des prochaines éditions, Ce sera fabuleux. La ville a un tel potentiel, notamment pour le Off…»
D’autres vont bien plus loin que lui. Parmi les visiteurs, certains suggéraient un DITEX du Nord ; on voit bien où… À Deauville évidemment !
D’autres prédisaient un avenir haut de gamme au salon.
Ils y voyaient la Rolls des manifestations BtoB, stable et qualitatif, tandis que la concurrence aurait à gérer les fluctuations de plus en plus rapides du marché, tantôt sous le coup d’un crise sanitaire, tantôt sous l’effet d’un choc politique ou naturel…
Prudent, Jean-François Alexandre sourit. Il en rêve sans doute, mais il préfère avancer pas à pas :
« Je ne suis pas focalisé sur le chiffre d’affaires, je veux juste faire un bon salon. »