Les entreprises ne sont pas bénéficiaires des primes
Mais il y a plus grave pour l’avenir des FFP, c’est l’attitude que les entreprises, payeurs des billets, ont vis-à-vis de ce système qui consiste à attribuer une prime déguisée aux salariés consommateurs d’avion.
Car les gestionnaires financiers ont finalement constaté que, non seulement l’entreprise n’était pas bénéficiaire des primes qui sont utilisées par les salariés à titre personnel, mais qu’en plus le système les conduisait à payer beaucoup plus cher des déplacements sans qu’il y ait pour les collaborateurs une réelle différence dans le confort du voyage.
Il est fort probable, que, la crise aidant, les dirigeants des sociétés de donnent des consignes beaucoup plus contraignantes à leurs personnels et qu’à partir de ce moment le seul outil marketing à la disposition des compagnies aériennes, ne serve plus à rien.
Alors, se pose une autre question : comment les « legacy airlines » vont-elles empêcher le glissement de leurs clients haute contribution vers les transporteurs « low costs » sauf a proposer une tarification identique ?
Mais alors qui va payer pour l’écart des charges entre les compagnies traditionnelles et les « low cost carriers » ?
Voilà un sujet qui méritera examen.
Car les gestionnaires financiers ont finalement constaté que, non seulement l’entreprise n’était pas bénéficiaire des primes qui sont utilisées par les salariés à titre personnel, mais qu’en plus le système les conduisait à payer beaucoup plus cher des déplacements sans qu’il y ait pour les collaborateurs une réelle différence dans le confort du voyage.
Il est fort probable, que, la crise aidant, les dirigeants des sociétés de donnent des consignes beaucoup plus contraignantes à leurs personnels et qu’à partir de ce moment le seul outil marketing à la disposition des compagnies aériennes, ne serve plus à rien.
Alors, se pose une autre question : comment les « legacy airlines » vont-elles empêcher le glissement de leurs clients haute contribution vers les transporteurs « low costs » sauf a proposer une tarification identique ?
Mais alors qui va payer pour l’écart des charges entre les compagnies traditionnelles et les « low cost carriers » ?
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Jean-Louis Baroux, est l'ancien président d'APG (Air Promotion Group) et le créateur du CAF (Cannes Airlines Forum) devenu le World Air Forum.
Grand spécialiste de l'aérien, vient de signer aux éditions L'Archipel ''Compagnies Aériennes : la faillite du modèle'', un ouvrage que tous les professionnels du tourisme devraient avoir lu.
Les droits d'auteur de l'ouvrage seront reversés à une association caritative. On peut l'acquérir à cette adresse : www.editionsarchipel.com
Grand spécialiste de l'aérien, vient de signer aux éditions L'Archipel ''Compagnies Aériennes : la faillite du modèle'', un ouvrage que tous les professionnels du tourisme devraient avoir lu.
Les droits d'auteur de l'ouvrage seront reversés à une association caritative. On peut l'acquérir à cette adresse : www.editionsarchipel.com