Que les pilotes se comportent en irresponsable, ce n'est pas très nouveau. Mais que, sous le regard goguenard des partenaires hollandais, l'on fasse des actionnaires américains et chinois, minoritaires, les arbitres de ce ratage, cela me laisse pantois... - DR Air France
Après Philippe Capron, c'est au tour de Bernard Attali, président honoraire d'Air France de pousser un coup de gueule.
Dans les Echos il signe une tribune dans laquelle "la colère le saisit", faisant référence au dossier de la succession de Jean-Marc Janaillac, ancien PDG d'Air France-KLM.
"Voila deux mois que son président a signé la capitulation (...) Depuis... du bruit, beaucoup de bruit mais aucune décision ! C'est inadmissible" lance t-il.
"Que les pilotes se comportent en irresponsable, ce n'est pas très nouveau. Mais que, sous le regard goguenard des partenaires hollandais, l'on fasse des actionnaires américains et chinois, minoritaires, les arbitres de ce ratage, cela me laisse pantois... Comme s'ils n'étaient pas aussi concurrents qu'alliés !" poursuit-il.
Dans les Echos il signe une tribune dans laquelle "la colère le saisit", faisant référence au dossier de la succession de Jean-Marc Janaillac, ancien PDG d'Air France-KLM.
"Voila deux mois que son président a signé la capitulation (...) Depuis... du bruit, beaucoup de bruit mais aucune décision ! C'est inadmissible" lance t-il.
"Que les pilotes se comportent en irresponsable, ce n'est pas très nouveau. Mais que, sous le regard goguenard des partenaires hollandais, l'on fasse des actionnaires américains et chinois, minoritaires, les arbitres de ce ratage, cela me laisse pantois... Comme s'ils n'étaient pas aussi concurrents qu'alliés !" poursuit-il.
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Il se demande dans ce contexte ce que fait l'Etat et le conseil d'administration de la compagnie. "Quelle crédibilité garde ce conseil" s'interroge t-il.
Pour lui, la seule solution serait que ces membres démissionnent pour laisser la place à des administrateurs "plus compétents" ou "plus courageux".
Pour lui, la seule solution serait que ces membres démissionnent pour laisser la place à des administrateurs "plus compétents" ou "plus courageux".