L'escale à Damas, en Syrie, de l'appareil d'Air France qui devait atterrir à Beyrouth au Liban, mercredi 15 août 2012, n'est pas du goût de Laurent Fabius.
"Se poser à Damas, c'était exposer la sécurité des gens qui étaient à l'intérieur de l'avion (…) notamment des personnes du Liban qui étaient recherchées par le régime syrien", a déclaré le ministre français des Affaires Étrangères sur RTL.
Le vol de la compagnie française, parti dans la soirée de Paris, contenait 174 passagers. Il a été dérouté pour des raisons de sécurité suite à des violences qui ont éclaté dans la capitale libanaise. Mais il a dû se poser quelques minutes dans la capitale syrienne pour se ravitailler en kérosène avant de repartir vers Chypre.
"Vous conviendrez avec moi que ce n'était pas la décision la plus pertinente, et je suis diplomate", ajoute M. Fabius.
Finalement, l'avion s'est posé à Beyrouth jeudi 16 août 2012 dans l'après-midi.
"Se poser à Damas, c'était exposer la sécurité des gens qui étaient à l'intérieur de l'avion (…) notamment des personnes du Liban qui étaient recherchées par le régime syrien", a déclaré le ministre français des Affaires Étrangères sur RTL.
Le vol de la compagnie française, parti dans la soirée de Paris, contenait 174 passagers. Il a été dérouté pour des raisons de sécurité suite à des violences qui ont éclaté dans la capitale libanaise. Mais il a dû se poser quelques minutes dans la capitale syrienne pour se ravitailler en kérosène avant de repartir vers Chypre.
"Vous conviendrez avec moi que ce n'était pas la décision la plus pertinente, et je suis diplomate", ajoute M. Fabius.
Finalement, l'avion s'est posé à Beyrouth jeudi 16 août 2012 dans l'après-midi.
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