Michel Monvoisin est le nouvel homme fort du tourisme polynésien.
A peine deux mois après avoir repris les rênes d'Air Tahiti Nui, il vient d'être nommé à la tête du GIE Tahiti Tourisme.
Et devrait dans les prochaines semaines entrer au tour de table de la compagnie régionale Air Tahiti.
De quoi lui donner les mains libres pour mettre en œuvre une politique de développement volontariste sur le territoire polynésien.
"Relancer le tourisme est ma priorité. Grâce à ma présence au GIE, nous allons pouvoir coordonner les actions et les budgets afin de promouvoir efficacement notre destination" assure le nouveau PDG.
Air Tahiti Nui compte investir 3% de son chiffre d'affaires en communication et promotion, avec 35% des actions menées en partenariat avec le GIE Tahiti tourisme.
A peine deux mois après avoir repris les rênes d'Air Tahiti Nui, il vient d'être nommé à la tête du GIE Tahiti Tourisme.
Et devrait dans les prochaines semaines entrer au tour de table de la compagnie régionale Air Tahiti.
De quoi lui donner les mains libres pour mettre en œuvre une politique de développement volontariste sur le territoire polynésien.
"Relancer le tourisme est ma priorité. Grâce à ma présence au GIE, nous allons pouvoir coordonner les actions et les budgets afin de promouvoir efficacement notre destination" assure le nouveau PDG.
Air Tahiti Nui compte investir 3% de son chiffre d'affaires en communication et promotion, avec 35% des actions menées en partenariat avec le GIE Tahiti tourisme.
Un retour à l'équilibre grâce au plan de restructuration
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Grâce au travail mené par les précédents présidents notamment Cédric Pastour, Air Tahiti Nui a retrouvé l'équilibre depuis 2012, avec un chiffre d'affaires de 251 M€ et un résultat de +1,935 M€.
L'exercice 2013 s'annonce également sous de bons auspices, avec 422 900 passagers transportés, contre 419 500 l'an passé, pour un coefficient moyen de remplissage de presque 74%.
Le chiffre d'affaires prévisionnel s'établit à 260 millions d'euros pour un résultat prévisionnel à + 10 M€.
Michel Monvoisin, qui vient du monde de la banque, est donc ravi de prendre la tête d'une compagnie à la situation financière assainie. "Nous venons de fêter nos 15 ans sous d'excellents auspices, avec de fortes perceptives de croissance".
Sur le marché français, la compagnie prévoit d'augmenter son programme de vol de 5% avec l'ajout d'une fréquence supplémentaire en basse saison. "Air France a besoin d'une seconde desserte quotidienne sur le Transatlantique " assure Mathieu Bechonnet, le nouveau directeur général.
Mais elle attend surtout l'acceptation par les autorités américaines de la joint-venture avec Air France, entre Paris et Los Angeles. Rappelons que le marché européen représente 30% de son activité.
Michel Monvoisin espère également mettre en place pour le prochain programme d'hiver de IATA un partage de code avec la compagnie régionale Air Tahiti, afin de vendre des billets uniques de bout en bout et de faciliter le transit des clients.
L'exercice 2013 s'annonce également sous de bons auspices, avec 422 900 passagers transportés, contre 419 500 l'an passé, pour un coefficient moyen de remplissage de presque 74%.
Le chiffre d'affaires prévisionnel s'établit à 260 millions d'euros pour un résultat prévisionnel à + 10 M€.
Michel Monvoisin, qui vient du monde de la banque, est donc ravi de prendre la tête d'une compagnie à la situation financière assainie. "Nous venons de fêter nos 15 ans sous d'excellents auspices, avec de fortes perceptives de croissance".
Sur le marché français, la compagnie prévoit d'augmenter son programme de vol de 5% avec l'ajout d'une fréquence supplémentaire en basse saison. "Air France a besoin d'une seconde desserte quotidienne sur le Transatlantique " assure Mathieu Bechonnet, le nouveau directeur général.
Mais elle attend surtout l'acceptation par les autorités américaines de la joint-venture avec Air France, entre Paris et Los Angeles. Rappelons que le marché européen représente 30% de son activité.
Michel Monvoisin espère également mettre en place pour le prochain programme d'hiver de IATA un partage de code avec la compagnie régionale Air Tahiti, afin de vendre des billets uniques de bout en bout et de faciliter le transit des clients.
Un développement ambitieux à l'international
Mais la compagnie ne compte pas uniquement sur l'Europe pour accélérer sa croissance.
Depuis la mise en place du partage de code avec American Airlines en 2012, son trafic sur l'Amérique du Nord a progressé de 35%, grâce à l'ouverture de 17 villes en correspondance. "Nous avons quasiment plus de passagers sur New York que lorsque nous étions en vol direct" s'étonne Michel Monvoisin.
Elle développe également son trafic en Nouvelle-Zélande, avec une hausse de 35% sur Auckland grâce à une fréquence hebdomadaire supplémentaire.
Enfin, Michel Monvoisin lorgne également sur le marché chinois, où il sera en tournée à la fin du mois. "J'ai déjà d'excellentes relations avec des partenaires locaux. Mais nous ne pourrons pas nous y développer seuls, il nous faudra un partenaire sur lequel s'appuyer ".
Pour autant, aucune négociation sur les droits de trafic n'a pour l'instant été engagée.
En revanche, les pourparlers avec Korean Air semblent bien entamés. Il est également question de développement au Brésil et au Canada grâce à American Airlines, ainsi qu'en Russie en partenariat avec Aéroflot.
Reste à savoir s'il les capacités hôtelières seront suffisantes pour accueillir tous les clients qu'Air Tahiti Nui compte séduire.
Depuis la mise en place du partage de code avec American Airlines en 2012, son trafic sur l'Amérique du Nord a progressé de 35%, grâce à l'ouverture de 17 villes en correspondance. "Nous avons quasiment plus de passagers sur New York que lorsque nous étions en vol direct" s'étonne Michel Monvoisin.
Elle développe également son trafic en Nouvelle-Zélande, avec une hausse de 35% sur Auckland grâce à une fréquence hebdomadaire supplémentaire.
Enfin, Michel Monvoisin lorgne également sur le marché chinois, où il sera en tournée à la fin du mois. "J'ai déjà d'excellentes relations avec des partenaires locaux. Mais nous ne pourrons pas nous y développer seuls, il nous faudra un partenaire sur lequel s'appuyer ".
Pour autant, aucune négociation sur les droits de trafic n'a pour l'instant été engagée.
En revanche, les pourparlers avec Korean Air semblent bien entamés. Il est également question de développement au Brésil et au Canada grâce à American Airlines, ainsi qu'en Russie en partenariat avec Aéroflot.
Reste à savoir s'il les capacités hôtelières seront suffisantes pour accueillir tous les clients qu'Air Tahiti Nui compte séduire.