Dans une interview à la chaîne LCI, Alexandre de Juniac, patron du Groupe Air France-KLM a rompu le silence.
Tous les observateurs suivaient avec attention ce qui apparaissait comme la chronique d'une mort annoncée pour la Compagnie italienne.
Le silence assourdissant d'AF-KLM concernant sa position dans la recapitalisation d'Alitalia augurait mal de la suite des évènements.
Désormais, les choses sont claires. Air France-KLM veut pouvoir contrôler Alitalia dans le cadre du plan de restructuration en cours.
Mais pour Alexandre de Juniac Alitalia a besoin de rejoindre un pôle de transport aérien de plus grande envergure.
Tous les observateurs suivaient avec attention ce qui apparaissait comme la chronique d'une mort annoncée pour la Compagnie italienne.
Le silence assourdissant d'AF-KLM concernant sa position dans la recapitalisation d'Alitalia augurait mal de la suite des évènements.
Désormais, les choses sont claires. Air France-KLM veut pouvoir contrôler Alitalia dans le cadre du plan de restructuration en cours.
Mais pour Alexandre de Juniac Alitalia a besoin de rejoindre un pôle de transport aérien de plus grande envergure.
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"Parmi les questions industrielles et financières, il nous semble indispensable qu'Alitalia soit intégré dans un groupe comme le nôtre et intégré cela veut dire que l'on soit sûr de le contrôler".
Selon lui, l'addition d'Alitalia à Air France-KLM permettrait de former un puissant groupe de transport aérien doté de trois grands hubs aux aéroports de Paris Charles de Gaulle, Amsterdam Schipol et Rome Fiumicino.
D'après le Pdg d'Air-France KLM, le gouvernement italien serait également favorable à la création d'un tel groupe.
Pour autant, pas question de faire n'importe quoi. Il plaide pour un plan de restructuration industrielle plus drastique pour s'assurer que le groupe puisse rester viable à long terme car "Nous n'avons pas les moyens de dépenser de l'argent sans compter", explique-t-il
Selon lui, l'addition d'Alitalia à Air France-KLM permettrait de former un puissant groupe de transport aérien doté de trois grands hubs aux aéroports de Paris Charles de Gaulle, Amsterdam Schipol et Rome Fiumicino.
D'après le Pdg d'Air-France KLM, le gouvernement italien serait également favorable à la création d'un tel groupe.
Pour autant, pas question de faire n'importe quoi. Il plaide pour un plan de restructuration industrielle plus drastique pour s'assurer que le groupe puisse rester viable à long terme car "Nous n'avons pas les moyens de dépenser de l'argent sans compter", explique-t-il