En toile de fond de la reprise d'Alitalia, le bras de fer est amorcé entre Star Alliance et Skyteam
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La première, celle d’Air France-KLM donne à Alitalia la possibilité d’intégrer directement le groupe à travers un échange d’actions, prévoit d’injecter 750 me, de réduire l’activité du hub de Milan et les ressources humaines d’environ 1500 postes.
Cette proposition a l’appui de Maurizio Prato, l’actuel Pdg d’Alitalia mais est opposée par les milieux d’affaires lombards et les syndicats.
La deuxième, celle d’AP Holding prévoit d’injecter 5,3 milliard d’euros d’ici à 2010 avec un milliard immédiatement utilisé pour renouveller la flotte et procéder à un plan social d’environ 2 700 suppressions de postes.
Alitalia serait alors fondue avec Air One, la compagnie d’AP Holding pour former « la quatrième compagnie européenne ». Cette solution a l’appui de certains membres du gouvernement et des Italiens souhaitant garder une compagnie nationale.
Le report de la décision du conseil d’administration qui avait déjà été évoqué hier n’aurait pas, selon certaines sources, pour cause une quelconque indécision mais plutôt l’objectif d’éviter un mouvement de grève juste à la veille des grands départs de Noël.
La rencontre entre le président Sarkozy et le président du conseil italien Romano Prodi, prévue aujourd’hui, aura-t-elle un effet quelconque sur la suite du dossier ?
Difficile de faire des pronostics. Après tout, cela fait plus d’un an que le gouvernement italien tente de trouver une solution pour la compagnie nationale dont la dette s’élève à 1,3 milliard d’euros…
Cette proposition a l’appui de Maurizio Prato, l’actuel Pdg d’Alitalia mais est opposée par les milieux d’affaires lombards et les syndicats.
La deuxième, celle d’AP Holding prévoit d’injecter 5,3 milliard d’euros d’ici à 2010 avec un milliard immédiatement utilisé pour renouveller la flotte et procéder à un plan social d’environ 2 700 suppressions de postes.
Alitalia serait alors fondue avec Air One, la compagnie d’AP Holding pour former « la quatrième compagnie européenne ». Cette solution a l’appui de certains membres du gouvernement et des Italiens souhaitant garder une compagnie nationale.
Le report de la décision du conseil d’administration qui avait déjà été évoqué hier n’aurait pas, selon certaines sources, pour cause une quelconque indécision mais plutôt l’objectif d’éviter un mouvement de grève juste à la veille des grands départs de Noël.
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Difficile de faire des pronostics. Après tout, cela fait plus d’un an que le gouvernement italien tente de trouver une solution pour la compagnie nationale dont la dette s’élève à 1,3 milliard d’euros…