American Airlines veut faire connaître son réseau sur l'Amérique Latine. DR-American Airlines.
American Airlines veut se positionner sur l'Amérique Latine.
La compagnie est venue présenter jeudi 12 mai 2016 son offre aux membres de la COTAL, l'association des professionnels du tourisme d'Amérique Latine.
"Nous souhaitons mieux faire connaître notre service de bagages enregistrés jusqu'à la destination finale", explique Isabelle Proust, la responsable commerciale de la compagnie.
En effet, en cas de correspondance dans l'un de ses deux hubs de Miami ou Dallas, les passagers n'ont pas besoin de ré-enregistrer leurs bagages, qui suivront automatiquement jusqu'à leur destination finale, si celle-ci se trouve hors des États-Unis.
La compagnie rappelle également la mise en place de kiosques qui scannent les passeports biométriques et permettent de réduire le temps d'attente à la douane.
La compagnie est venue présenter jeudi 12 mai 2016 son offre aux membres de la COTAL, l'association des professionnels du tourisme d'Amérique Latine.
"Nous souhaitons mieux faire connaître notre service de bagages enregistrés jusqu'à la destination finale", explique Isabelle Proust, la responsable commerciale de la compagnie.
En effet, en cas de correspondance dans l'un de ses deux hubs de Miami ou Dallas, les passagers n'ont pas besoin de ré-enregistrer leurs bagages, qui suivront automatiquement jusqu'à leur destination finale, si celle-ci se trouve hors des États-Unis.
La compagnie rappelle également la mise en place de kiosques qui scannent les passeports biométriques et permettent de réduire le temps d'attente à la douane.
Une vaste commande d'avions
Isabelle Proust souligne enfin l'importante commande d'avions réalisée par la compagnie : près de 500 nouveaux appareils devraient rejoindre la flotte d'ici 2018.
"Un renouvellement qui était plus que nécessaire", glisse mon voisin pendant la conférence.
Pour ne pas faire de jaloux, American a commandé autant d'Airbus que de Boeing.
Mais la date de leur positionnement sur l'axe transatlantique n'est pas encore déterminée.
Depuis Charles de Gaulle, la compagnie propose cet été jusqu'à huit vols par jour vers les Etats-Unis.
Certains bénéficient d'avions reconfigurés. C'est le cas notamment sur la ligne Paris Chicago, opérée par un B767 avec une nouvelle cabine business. Sur Philadelphia et Charlotte c'est un Airbus A330 également équipé d'une nouvelle classe affaires.
En 2015 la compagnie a transporté 691 846 passagers contre 652 515 en 2014, sur le marché français. "L'année 2015 a été excellente pour nous, notamment grâce au prix du carburant. Pour 2016, sur le marché français, nous avons été touchés par les attentats. Mais nous avons réussi à conserver notre yield", note Isabelle Proust.
La compagnie doit toutefois animer le marché grâce à des promotions au mois de mai. Une opération assez inhabituelle pour la saison. "Les Français sont de plus en plus attentistes", remarque-t-elle, en restant toutefois très optimiste sur la reprise de l'activité.
"Un renouvellement qui était plus que nécessaire", glisse mon voisin pendant la conférence.
Pour ne pas faire de jaloux, American a commandé autant d'Airbus que de Boeing.
Mais la date de leur positionnement sur l'axe transatlantique n'est pas encore déterminée.
Depuis Charles de Gaulle, la compagnie propose cet été jusqu'à huit vols par jour vers les Etats-Unis.
Certains bénéficient d'avions reconfigurés. C'est le cas notamment sur la ligne Paris Chicago, opérée par un B767 avec une nouvelle cabine business. Sur Philadelphia et Charlotte c'est un Airbus A330 également équipé d'une nouvelle classe affaires.
En 2015 la compagnie a transporté 691 846 passagers contre 652 515 en 2014, sur le marché français. "L'année 2015 a été excellente pour nous, notamment grâce au prix du carburant. Pour 2016, sur le marché français, nous avons été touchés par les attentats. Mais nous avons réussi à conserver notre yield", note Isabelle Proust.
La compagnie doit toutefois animer le marché grâce à des promotions au mois de mai. Une opération assez inhabituelle pour la saison. "Les Français sont de plus en plus attentistes", remarque-t-elle, en restant toutefois très optimiste sur la reprise de l'activité.