Le temps où les entreprises dépensaient sans compter dans leur communication est révolu.
Telles sont les conclusions qui ressortent du troisième baromètre de l’Anaé, auquel une quarantaine d’agences ont répondu.
La crise est, encore et toujours au cœur des préoccupations. « Elle a entraîné une mutation bénéfique du secteur » estime Gérard Denis, administrateur de l’Anaé. Les agences doivent désormais prouver leur valeur ajoutée et justifier chaque euro dépensé.
73% d’entre elles estiment que la crise n’est pas terminée, contre 90% au mois de mars dernier. La moitié restent optimistes et espèrent une amélioration de la situation dans les 6 prochains mois. L’horizon semble donc s’éclaircir.
Telles sont les conclusions qui ressortent du troisième baromètre de l’Anaé, auquel une quarantaine d’agences ont répondu.
La crise est, encore et toujours au cœur des préoccupations. « Elle a entraîné une mutation bénéfique du secteur » estime Gérard Denis, administrateur de l’Anaé. Les agences doivent désormais prouver leur valeur ajoutée et justifier chaque euro dépensé.
73% d’entre elles estiment que la crise n’est pas terminée, contre 90% au mois de mars dernier. La moitié restent optimistes et espèrent une amélioration de la situation dans les 6 prochains mois. L’horizon semble donc s’éclaircir.
Les affaires reprennent doucement
Autres articles
Car les affaires reprennent timidement : 60% des agences ont noté une augmentation de 16% des appels d’offre par rapport à 2009.
Cependant, ces projets sont toujours plus concurrentiels avec des délais divisés par deux ou trois. «C’est la dictature du court terme qui prime désormais » estime Michel Bensadoun, administrateur de l’Anaé. « il y a de plus en plus d’agence en compétition sur la même étude, parfois pour un budget ridicule » poursuit-il.
Coté emploi, 12 agences ont recruté 106 collaborateurs en septembre dernier et 56% prévoient d’engager du personnel dans les 6 prochains mois. « Le marché reste dynamique sans être exceptionnel » commente Gérard Denis, également administrateur de l’Anaé.
Enfin dernière tendance détectée par le questionnaire, la fin des considérations écologiques, qui ne font plus parties des critères de sélection.
Cependant, ces projets sont toujours plus concurrentiels avec des délais divisés par deux ou trois. «C’est la dictature du court terme qui prime désormais » estime Michel Bensadoun, administrateur de l’Anaé. « il y a de plus en plus d’agence en compétition sur la même étude, parfois pour un budget ridicule » poursuit-il.
Coté emploi, 12 agences ont recruté 106 collaborateurs en septembre dernier et 56% prévoient d’engager du personnel dans les 6 prochains mois. « Le marché reste dynamique sans être exceptionnel » commente Gérard Denis, également administrateur de l’Anaé.
Enfin dernière tendance détectée par le questionnaire, la fin des considérations écologiques, qui ne font plus parties des critères de sélection.