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Antilles : Tourinter refuse de participer au plan de relance d’Yves Jego

le TO ne participera pas à la campagne initié par le gouvernement


Passion des îles by Tourinter a pris la décision de ne pas participer à la campagne Internet de ventes de forfaits sur les Caraïbes françaises, initiée par le Secrétaire d’Etat au Tourisme Yves Jego, le Ministre du Tourisme Hervé Novelli et la Maison de la France, campagne qui sera lancée le 5 mai.


Rédigé par La rédaction le Mardi 28 Avril 2009

Antilles : Tourinter refuse de participer au plan de relance d’Yves Jego
"En effet, les autorités demandent aux TO de vendre en direct - via un site Internet d’une durée de vie de 10 jours spécialement créé par la Maison de France - des produits Martinique et Guadeloupe à prix cassés", indique le TO dans un communiqué de presse.

"Il y aura une campagne d’affichage avec la phrase « consultez votre agence de voyage », mais le but réel demandé aux TO est de vendre en direct via le site, excluant,de ce fait, les agences." insiste Tourinter

Christophe Pérot, PDG du TO explique son refus de participer à cette campagne : « Nous ne vendons nos produits qu’au travers du réseau des agences de voyages et il est hors de question pour nous de vendre « en direct », laissant ainsi de côté nos clients habituels que sont les agences de voyages.

Nous en faisons une question de principe. Il aurait été plus judicieux de la part des autorités d’associer pleinement les agences de voyages et les réseaux à cette opération, car eux aussi ont aussi beaucoup souffert de cette crise.

''Il nous a été demandé clairement de vendre à 100% sur Internet''

Or, il nous a été demandé clairement de vendre à 100% sur Internet, donc en direct. Nous ne pouvons accepter cette façon de faire qui va léser fortement les agences qui nous accordent quotidiennement leur confiance. »

Monique Crusot, directrice du Marketing du TO précise : « Les autorités nous demandent de vendre des voyages « à prix cassés ». Mais, qui va gagner sa vie dans cette affaire ? … Personne ! Sachant que le coût de l’aérien en promo actuellement se situe entre 360 et 400 TTC…

Comment vendre des produits de qualité à moins de 550 € avec moins de 200 € pour la partie terrestre (7 nuits) et les transferts ? … Ceci est impossible sauf à vendre du très bas de gamme et ces magnifiques îles méritent bien autre chose qu’une image uniquement d’entrée de gamme.
» ]i

Selon le TO, la relance des Caraïbes françaises ne peut pas passer par un plan monté « à la va-vite », plan basé sur des produits exclusivement d’entrée de gamme, qui ignore donc une grande partie de l’offre hôtelière et qui exclut les agences de voyages.]i

Nous lançons cette semaine nos propres promotions

"Cela n’est pas admissible et ce n’est pas ce plan qui va donner une image positive de ces destinations de rêve. Quid des lourdes pertes subies par le monde du voyage français dans cette crise ?

Les Ministres ont demandé des comptes à tous les intervenants touchés (TO, compagnies aériennes, hôtelières, réceptives…), mais aucune mesure n’a été prise depuis et l’urgence – dans un premier temps – se situe bien là !"


« Nous lançons cette semaine - auprès du réseau des agences - nos propres promotions à tarifs raisonnables dans toutes les gammes de produits (du 2 au 5 étoiles), car il est normal d’associer les agences à cette relance Antilles et d’y associer également toutes les gammes d’hôtels »

Comme l’indique Michel Rigaud, DG de Passion des îles by Tourinter « Nous n’avons pas attendu les autorités pour travailler sur la relance des Caraïbes françaises. Nous revenons d’une tournée sur place de 4 jours avec Christophe Pérot (PDG) et Fabrice Bouillot (Directeur de la production) pour rencontrer tous les acteurs du tourisme sur place (Offices du Tourisme, hôteliers…), discuter avec eux, les rassurer quant à nos intentions pour l’avenir, et, en particulier, préparer la production de l’été prochain et de toute la saison prochaine.

Nous avons été reçus à bras ouverts et nos interlocuteurs ont été très sensibilisés par notre venue, car nous sommes le premier TO français à nous rendre sur place suite à la crise. Nous avons toujours été l’un des acteurs principaux du tourisme dans ces îles et nous tenons à les aider et les soutenir pour la relance.
»

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Commentaires

1.Posté par Elisa le 29/04/2009 09:55 | Alerter
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Bravo ! pour cette saine réaction. Il est effectivement temps que la déontologie réapparaisse dans notre métier.
Merci à Tourinter d'avoir toujours jouer le jeu avec les agences et de ne pas participer à ce plan de relance exclusif internet, initié par un gouvernement qui décidémment ne pense qu'au court terme, sans se soucier une fois de plus des petits commerces, sans se soucier du chômage que vont connaître les agences de voyages si le consommateur n'achète plus que sur Internet ...
Une fois de plus, nous pouvons constater l'absurdité de la politique de libéralisme de notre gouvernement, qui persiste et signe et n'a tiré aucune leçon des catastrophes économique et sociales que nous connaissons à cause de ce libéralisme ! Quelle tristesse !

2.Posté par Monsieur Marcel le 29/04/2009 10:25 | Alerter
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Bonjour,

Le raccourci entre plan de relance rapide via un outil internet, qui qu'on le veuille ou non reste à ce jour le moyen le plus rapide et le plus accessible pour communiquer et "les catastrophes economiques et sociales ...à cause du libéralisme" est un peu (c'est un euphémisme) tiré par les cheveux... Il ne faudrait pas tout mélanger non plus.

La position de Tourinter est honorable mais avant tout une figure de réthorique et un petit coup de pub facile dans ces circonstances.

Rien n'empêche d'un côté Tourinter de mettre la notoriété de sa marque comme d'autres au service de ce plan de comm' pour tenter d'influer un début de retour des voyageurs vers les Antilles, tout en mettant en place également en place un véritable plan plus en profondeur avec le soutien des agences pour communiquer sur le terrain. Aucun doute que leur poids sur la destination les aidera à trouver des partenaires pour cela.



3.Posté par Michel DALAIN le 29/04/2009 10:42 | Alerter
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De toutes façons, prix cassés ou pas ... le public ne VEUT PLUS ALLER aux Antilles françaises... une fois de plus cette opération ne servira à rien !

4.Posté par Pascal le 29/04/2009 13:14 | Alerter
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Elisa a tout à fait raison n'en déplaise à mr Marcel
Si, comme le dit Michel, le public ne veut plus y aller, c'est aussi en grande partie à cause de la gestion désastreuse par le gouvernement du dernier conflit.
Et ça continue! Bien sur Tourinter fait un joli coup de com, mais ils auraient tort de s en priver quand c'est servi sur un plateau d'argent!
Personne n'était à 15 jours pres pour associer le réseau de distribution à cette promo
Associer, Ecouter, Comprendre... des mots totalement inconnus de nos gouvernants...

5.Posté par Yves Brossard - Primea Hotels - Guadeloupe le 29/04/2009 14:06 | Alerter
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Campagne de promotion sur la Guadeloupe : faut-il tirer sur l'ambulance ? faut-il corriger le tir ?

A la veille du lancement de la campagne de promotion sur la Guadeloupe, plus précisément sur les Antilles, Tourinter manifeste sa désapprobation.

Inutile de se lancer dans une lapalissade en affirmant que la précipitation n'est pas toujours bonne conseillère. Et ce n'est pas Tourinter que je vise !

Mais est-il vraiment souhaitable, dans le même temps, de reprocher au gouvernement de tenter de réduire rapidement, si tant est que quiconque puisse le faire, le sinistre auquel nous sommes tous confrontés, relativement à la Guadeloupe, agents de voyages, tour-opérateurs comme hôteliers ?

En clair, faut-il critiquer les manifestations de bonne volonté, fussent-elles maladroites ou inappropriées ? Et comment corriger le tir ?

Plusieurs observations sur la position exprimée par Tourinter :

- Internet : la critique sur la mise à l'écart des agents de voyages en raison d'une vente directe sur internet : il y aurait une solution : faire en sorte que les liens internet qui figureront sur le site associé à la campagne puissent renvoyer aussi bien vers les sites des tour-opérateurs concernés que vers les sites internet des agences de voyages ; voire même vers les sites des hôteliers. Rien n'interdit, non plus, aux tour-opérateurs de rémunérer, indirectement, les agents de voyages, en "indemnisant" les agents de voyages pour les ventes directes réalisées par les TO en relation avec des clients dont le domicile est dans le périmètre de chalandise des agents de voyages.

- Participation et préjudices : la critique sur le plan de l'absence de compensation aux préjudices subis par les agences de voyages, je cite Tourinter : "Il aurait été plus judicieux de la part des autorités d’associer pleinement les agences de voyages et les réseaux à cette opération, car eux aussi ont aussi beaucoup souffert de cette crise." : oui, je suis tout à fait d'accord. En effet, les préjudices subis par les agents de voyages, tour-opérateurs comme hôteliers, ont été très importants et n'ont toujours pas été indemnisés. Et la question restera en suspens tant qu'elle n'aura pas été traitée par le gouvernement.
Or souvenez-vous que les préjudices liés au chikungunya, à la Réunion, l'ont été en leur temps.
Et l'indemnisation par l'Etat est d'autant plus justifiée que la cause du préjudice est liée au fait que l'Etat a manqué à son devoir de police, de maintien de l'ordre, en Guadeloupe. Chacun sait que si nos clients n'ont pas pu bénéficier de séjours normaux à la Guadeloupe, c'est parce que les routes étaient entravées. Nos hôtels, quant à eux, fonctionnaient normalement.
L'Etat avait ses raisons de ne pas assumer son devoir de police, et je peux les comprendre, mais le choix de la politique du moindre mal doit aussi être assumé par l'Etat ; car le mot mal est là ; et le mal, ce sont nos clients, vos clients, les agents de voyages, tour-opérateurs et hôteliers guadeloupéens qui l'ont subi. Mal, donc préjudice, donc indemnisation à prévoir, et à venir - j'espère - par l'auteur du préjudice, l'Etat.
Je comprends donc parfaitement la critique de Tourinter, car une solution eut été que l'Etat propose aux agents de voyages et tour-opérateurs de les indemniser en mettant à leur disposition une enveloppe financière, correspondant à leur préjudice, et dont l'usage aurait pu être de financer une campagne de promotion en faveur de la Guadeloupe, mais avec la liberté accordée aux agents de voyages et tour-opérateurs d'employer les fonds de promotion comme il l'entendaient.

- Image de la destination : la critique sur le fait que, je cite : " la relance des Caraïbes françaises ne peut pas passer par un ... plan basé sur des produits exclusivement d’entrée de gamme, qui ignore donc une grande partie de l’offre hôtelière" : c'est effectivement là que l'on comprends qu'il y a sans doute un déficit d'écoute de certains professionnels par le gouvernement ; la communication étant un art difficile, je me doute bien que certains professionnels souhaitaient, à l'inverse de Tourinter, faire une relance par le prix (politique adoptée par les compagnies aériennes), et que d'autres, comme Tourinter, auraient souhaité véhiculer une autre image ; et enfin, pour certains choisir une autre date. La conclusion que j'en tire, c'est que ce n'est pas au gouvernement de définir la politique de promotion, mais aux professionnels eux-mêmes de la définir, à charge, pour ces derniers de s'entendre sur une politique adoptée collectivement, approuvée ultérieurement par le gouvernement. Les "consultations" des professionnels, sur des plans élaborés à l'avance par des non professionnels, ou des structures prétendument représentatives, sont symptomatiques de méthodes qui manifestement ne donnent pas satisfaction aux professionnels, et surtout risquent de générer une inefficacité.

- Indemnisation : l'observation de Tourinter selon laquelle, je cite : "Les Ministres ont demandé des comptes à tous les intervenants touchés (TO, compagnies aériennes, hôtelières, réceptives…), mais aucune mesure n’a été prise depuis et l’urgence – dans un premier temps – se situe bien là !". Oui , Tourinter a 100% raison. On rejoint là une partie de mes remarques dans le paragraphe ci-dessus : participation et préjudices. Je voudrais tout d'abord faire observer, qu'en tant qu'hôtelier (et nous ne sommes plus si nombreux que cela à l'être en Guadeloupe, hélas !), je n'ai jamais été consulté. Et je le regrette vivement ! Donc Tourinter a au moins eu ce privilège de l'être. Pour autant, je confirme ce que je disais ci-dessus : agents de voyages, tour-opérateurs comme hôteliers doivent être indemnisés pour les préjudices subis ; et aucune campagne de promotion, même bienvenue, ne saurait tenir lieu d'indemnisation. Je vous rappelle que l'hôtelier que je suis, mesurant parfaitement le risque mortel que je prendrais à ne pas l'être, prend la précaution de s'assurer contre les risques de perte d'exploitation ; or justement, le cas présent du défaut de police par l'Etat, défaut qui a eu pour conséquence que nos clients n'ont pas pu accéder à nos établissements, n'est pas couvert pas notre police d'assurance. Or, dans ma police d'assurance, ce qui est prévu, en cas d'indemnisation liée à une perte d'exploitation, c'est une indemnisation financière, pas une campagne de promotion ; car les salaires des Personnels, et les charges, sont payés en numéraires. Refuser de parler d'indemnisation, refuser de traiter la question, ou l'esquiver, est la pire des politiques ! Les professionnels sont capables, tout autant que les politiques, de faire preuve d'esprit de responsabilité ! Et chacun gagnerait à débattre de ce sujet en suspens. Le plus rapidement possible.

- Relance des Antilles : je cite Tourinter : "Nous lançons cette semaine - auprès du réseau des agences - nos propres promotions à tarifs raisonnables dans toutes les gammes de produits (du 2 au 5 étoiles), car il est normal d’associer les agences à cette relance Antilles et d’y associer également toutes les gammes d’hôtels » : bravo, et merci à Tourinter, et aux agents de voyages qui s'associeront à l'initiative de Tourinter.

Je voudrais en conclusion remercier Tourinter de ses manifestations d'intérêt pour la destination "Iles de la Guadeloupe", mais aussi de porter le débat, par ses interventions sur Tourmag, sur la place publique.

Car au final, la critique de Tourinter n'aurait probablement pas eu lieu d'être si le débat sur les actions à mener, avait été plus "public", c'est à dire dire s'il avait associé un plus grand nombre de partenaires professionnels, et si l'on avait laissé aux professionnels le soin de bâtir - en amont - des propositions, et aux politiques le soin de décider parmi les solutions proposées par les professionnels.

Yves Brossard
Primea Hotels Guadeloupe
www.primeahotels.com

6.Posté par Monsieur Marcel le 29/04/2009 14:33 | Alerter
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Une fois encore, ne mélangeons pas tout...

Tout d'abord le problème n'est pas que les propos que les propos d'Elisa me plaisent ou me déplaisent, mais simplement qu'il vaut mieux éviter ce style de raccourci simpliste style discussion de comptoir.

Maison de la France est dans son rôle quand elle met en place une promo pour des destinations comme la Martinique et la Guadeloupe. C'est sa mission et elle le fait tout au long de l'année. Ne rien faire dans la situation actuelle aurait été au contraire "non assistance à destination en danger"... Qu'elle le fasse avec le relais des TO me semble une très bonne idée.

N'oubliez pas qu'il s'agit d'une opération ponctuelle de très courte durée censée donner un coup de booster aux ventes. Ensuite, une fois encore, rien n'empêche les TO de continuer sur cet élan en collaboration avec les prestataires locaux et via leur réseau de distribution afin de poursuivre cet effort. L'un n'empêche pas l'autre...

Prendre une posture indignée sur le dos de cette initiative ponctuelle sous pretexte qu'elle ne serait pas pas relayée en agence pour se valoriser auprès du réseau n'est donc ni plus ni moins qu'un coup de comm... qui fonctionne peut-être mais il ne faut pas être dupe !

Maintenant on peut effectivement adopter l'idée que "le public ne veut plus y aller" et rayer ces destinations de la carte touristique... c'est vrai après tout, il y a plein autres endroits à promouvoir et tellement de clients qui se précipitent en ce moment dans les agences et sur les sites qu'on peut se passer des Antilles Françaises...


7.Posté par florence le 29/04/2009 15:48 | Alerter
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je remercie TOURINTER qui a bien réagit face à la distribution par contre il est clair que je ne vendrai plus les ANTILLES FRANCAISES car vu la pratique de ce site internet que ces 2 iles qui pensent pouvoir se couper du reseau de distribution se débrouillent pour reconquérir leurs clients

8.Posté par theodore le 29/04/2009 15:57 | Alerter
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Le soucis avec la Guadeloupe, c'est que les grèves sont récurents.
Régulièrement, mais avec tous les 10 ans des crises de paroxismes, qui détruisent le travail de reconquète de part de marché .
La Guadeloupe doit prendre conscience que le TOURISME est sa seule richesse (comme pour Maurice), et que son développement doit être axé vers cette industrie exclusivement.
La Guadeloupe doit comprendre qu'elle n'est pas la seule ile des caraibes, et que toutes les autres ont eu ou connu la même Histoire d'esclavage etc...
Seulement, toutes les autres ont tournées la page ...
Naturellement celà passe aussi par un changement de certaine mentalité et d'éducation (pour quelques uns , mais qui crient trés forts... et on n'entend qu'eux).




9.Posté par laurence le 29/04/2009 18:41 | Alerter
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Nous avons en vitrine , ce jour, les promos de TOURINTER ! elles sont bien présentées,
efficaces ( prix barrés) et bien que nous entrions dans la basse saison sur cette destination, nous espérons que ces prix pourront relancer ces iles ) le malheur des uns ( Mexique !) leur profitera peut être.
Mais je crains que , comme le souligne Théodore, les métro (politains) aient été un peu effrayés de certains propos extrèmistes et violents : d'ailleurs, depuis ces évènements, nous n'avons personne qui mentionne les Antilles dans un projet de voyages !

10.Posté par guiguess le 29/04/2009 23:03 | Alerter
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Ne vous leurrer pas , Tourinter n'est pas plus vertueux que les autres TO , il profite de cette occasion rêvée pour faire sa pub gratuitement et surtout ne pas prendre de risques en vendant en direct , on ne sait jamais si des fois cela repartait aux Antilles , charge aux agences de se dém........... a bon entendeur salut moi les Antilles ( Françaises sic !)c'est fini

11.Posté par Elisa le 30/04/2009 00:39 | Alerter
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Que vaut-il mieux ? Un coup de comm de Tourinter pour la vente via les agences de voyages, ou la vente directe sur Internet sans les agences ?
Même s'il s'agit d'une opération ponctuelle, quel est l'agent de voyages qui peut approuver que les voyages sur Internet puissent être moins chers qu'en agences ?
De plus, le voyageur ne verra pas forcément le "côté ponctuel" de l'opération ...
Enfin, Mr Marcel et moi ne partageons visiblement pas les mêmes idées politiques et je n'entrerai pas dans "des discussions de comptoir".
Toutefois, nous sommes d'accord sur le fait qu'en ce mois d'Avril, les clients se font plus rares et que l'on ne peut pas se passer des Antilles Françaises. Alors Mr Marcel, pourquoi cette incohérence ? pourquoi soutenir cette vente directe internet qui va vous priver d'une certaine clientèle Antilles Françaises alors que vous dites ne pas pouvoir vous passer de cette même clientèle?
Etes vous agent de voyages ou Tour Operator ?

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