Pour la première fois depuis 1997, l’association affiche un exercice déficitaire de 189 330 euros. Le coût des sinistres s’élève à 3,47 millions d'euros dont 65 % sont imputables à trois adhérents : HB voyages, Mond Event et Nuances du monde.
Mais globalement l’année dernière est clairement un mauvais cru pour la profession qui a vu 107 cessations d’activité, dont 42 concernaient les adhérents de l’Aps. Un chiffre positif toutefois, celui du nombre d’adhérents qui enregistre une progression de 3 % par rapport à 2002.
Ces difficultés n’entravent cependant pas les initiatives au sein de l’association et l’année 2003 a été marquée par la mise en place de nouveaux services : dont l’Observatoire des Litiges et Réclamations.
Festival Croisières : Olivier Delaire se dit confiant
Ce programme qui s’articule autour de trois réunions par an, dresse les tendances de consommation des clients à travers leurs réclamations, le tout appuyé par des conclusions et des recommandations d’un spécialiste en tendances comportementales. Ceci en plus des premiers programmes de formation en ligne, de la création d’une cellule de réflexion sur le développement durable et d’un service consommateur.
Mais l’actualité a vite pris le dessus, à commencer par la situation de Festival Croisières et les incidences d’un éventuel dépôt de bilan sur les adhérents de l’association. Olivier Délaire ne cache pas sa préoccupation “Car si dépôt de bilan il y avait, le croisiériste pourrait tirer dans sa chute les acomptes d’une vingtaine d’agences spécialisées dans les croisières “. Mais le président de l’Aps se dit plutôt confiant quant à une solution de sauvetage de la compagnie.
Autre sujet d’actualité, la polémique autour de la loi de 92, objet d’un débat houleux depuis quelques semaines. Olivier Delaire s’est dit favorable au maintien de la loi de 92 telle qu’elle existe “Notre position a toujours été claire sur cette question.
La licence est une marque de savoir-faire
La licence est la marque d’un savoir-faire et d’une garantie pour nos clients. Et les associations ne répondent pas à la même logique marchande et surtout à la même prise de risque financière que cela comporte ; c’est une façon de sauvegarder notre profession“.
Profession plus que jamais en crise de confiance et de reconnaissance auprès du grand public. C’est dans cette optique que l’association sera présente lors prochain SMT afin d' "informer, rassurer et expliquer".
Seront abordées notamment les questions de responsabilités juridiques et médico-sanitaires, nerfs de la guerre du tourisme en ces temps de Sras et de grippe aviaire.
L’Aps espère ainsi contribuer à la réconciliation du consommateur avec son agence : Une autre façon de sortir de l’ombre et de rassurer les plus frileux. Et Oliver Delaire de conclure ainsi "Pour 2004, souhaitons que le pire soit derrière nous".
Mais globalement l’année dernière est clairement un mauvais cru pour la profession qui a vu 107 cessations d’activité, dont 42 concernaient les adhérents de l’Aps. Un chiffre positif toutefois, celui du nombre d’adhérents qui enregistre une progression de 3 % par rapport à 2002.
Ces difficultés n’entravent cependant pas les initiatives au sein de l’association et l’année 2003 a été marquée par la mise en place de nouveaux services : dont l’Observatoire des Litiges et Réclamations.
Festival Croisières : Olivier Delaire se dit confiant
Ce programme qui s’articule autour de trois réunions par an, dresse les tendances de consommation des clients à travers leurs réclamations, le tout appuyé par des conclusions et des recommandations d’un spécialiste en tendances comportementales. Ceci en plus des premiers programmes de formation en ligne, de la création d’une cellule de réflexion sur le développement durable et d’un service consommateur.
Mais l’actualité a vite pris le dessus, à commencer par la situation de Festival Croisières et les incidences d’un éventuel dépôt de bilan sur les adhérents de l’association. Olivier Délaire ne cache pas sa préoccupation “Car si dépôt de bilan il y avait, le croisiériste pourrait tirer dans sa chute les acomptes d’une vingtaine d’agences spécialisées dans les croisières “. Mais le président de l’Aps se dit plutôt confiant quant à une solution de sauvetage de la compagnie.
Autre sujet d’actualité, la polémique autour de la loi de 92, objet d’un débat houleux depuis quelques semaines. Olivier Delaire s’est dit favorable au maintien de la loi de 92 telle qu’elle existe “Notre position a toujours été claire sur cette question.
La licence est une marque de savoir-faire
La licence est la marque d’un savoir-faire et d’une garantie pour nos clients. Et les associations ne répondent pas à la même logique marchande et surtout à la même prise de risque financière que cela comporte ; c’est une façon de sauvegarder notre profession“.
Profession plus que jamais en crise de confiance et de reconnaissance auprès du grand public. C’est dans cette optique que l’association sera présente lors prochain SMT afin d' "informer, rassurer et expliquer".
Seront abordées notamment les questions de responsabilités juridiques et médico-sanitaires, nerfs de la guerre du tourisme en ces temps de Sras et de grippe aviaire.
L’Aps espère ainsi contribuer à la réconciliation du consommateur avec son agence : Une autre façon de sortir de l’ombre et de rassurer les plus frileux. Et Oliver Delaire de conclure ainsi "Pour 2004, souhaitons que le pire soit derrière nous".