BAR France, l’association des compagnies aériennes qui regroupe actuellement plus de 80 compagnies aériennes françaises et étrangères, a tenu son assemblée générale annuelle du 17 janvier dernier. Son bureau a été reconduit pour une nouvelle année. Jean-Pierre Sauvage, directeur général d’Iberia reste président et le secrétariat général est assuré par Yves Ezanno.
Au cours du déjeuner qui suit traditionnellement l’assemblée, Jean-Pierre Sauvage a eu l’occasion de rappeler à ses invités, Michel Wachenheim, directeur général de l’aviation civile et Pierre Graff, président d’Aéroports de Paris, les grands traits de la politique de l'association. Elle est revenu sur le feu vert donné par le gouvernement français en faveur de la hausse de 5% des redevances aéroportuaires.
Le programme d’investissement d'ADP aurait pu être réalisé sans augmentation
Dans un communiqué de presse elle précise qu'elle prend " acte de la décision du ministre des transports d’accorder à Aéroports de Paris un plafond d’augmentation des redevances de 5% par an pendant cinq ans, mais rappelle les réserves exprimées au cours de la procédure de concertation."
Pour BAR France, "le programme d’investissement d’Aéroports de Paris aurait pu être réalisé sans augmentation des redevances. Une étude économique approfondie diligentée par l’association justifie cette position. Les compagnies regrettent que les objectifs financiers d’ADP aient prévalu sur les contraintes économiques de compagnies et sur les intérêts des passagers qui paieront ces augmentations dans le prix de leurs billets."
Contre la taxe dite de solidarité sur les billets d’avion
Ainsi Jean-Pierre Sauvage attend qu’en échange de ces augmentations, ADP "établisse enfin avec les compagnies aériennes une concertation véritable en matière de mise en œuvre des investissements et de qualité de service."
Par ailleurs, le Président de l'association s'est également exprimé contre la taxe dite de solidarité sur les billets d’avion qui ne peut avoir comme résultat selon lui "qu’un enchérissement des voyages, lesquels demeurent un des meilleurs vecteurs du développement des pays défavorisés.
La taxe aura un effet inverse de celui qui est annoncé. Enfin BAR France demande que le gouvernement prenne des des mesures d’urgence, concernant la crise administrative des passeports électroniques qui affecte les compagnies aériennes desservant les USA et la Polynésie française
Au cours du déjeuner qui suit traditionnellement l’assemblée, Jean-Pierre Sauvage a eu l’occasion de rappeler à ses invités, Michel Wachenheim, directeur général de l’aviation civile et Pierre Graff, président d’Aéroports de Paris, les grands traits de la politique de l'association. Elle est revenu sur le feu vert donné par le gouvernement français en faveur de la hausse de 5% des redevances aéroportuaires.
Le programme d’investissement d'ADP aurait pu être réalisé sans augmentation
Dans un communiqué de presse elle précise qu'elle prend " acte de la décision du ministre des transports d’accorder à Aéroports de Paris un plafond d’augmentation des redevances de 5% par an pendant cinq ans, mais rappelle les réserves exprimées au cours de la procédure de concertation."
Pour BAR France, "le programme d’investissement d’Aéroports de Paris aurait pu être réalisé sans augmentation des redevances. Une étude économique approfondie diligentée par l’association justifie cette position. Les compagnies regrettent que les objectifs financiers d’ADP aient prévalu sur les contraintes économiques de compagnies et sur les intérêts des passagers qui paieront ces augmentations dans le prix de leurs billets."
Contre la taxe dite de solidarité sur les billets d’avion
Ainsi Jean-Pierre Sauvage attend qu’en échange de ces augmentations, ADP "établisse enfin avec les compagnies aériennes une concertation véritable en matière de mise en œuvre des investissements et de qualité de service."
Par ailleurs, le Président de l'association s'est également exprimé contre la taxe dite de solidarité sur les billets d’avion qui ne peut avoir comme résultat selon lui "qu’un enchérissement des voyages, lesquels demeurent un des meilleurs vecteurs du développement des pays défavorisés.
La taxe aura un effet inverse de celui qui est annoncé. Enfin BAR France demande que le gouvernement prenne des des mesures d’urgence, concernant la crise administrative des passeports électroniques qui affecte les compagnies aériennes desservant les USA et la Polynésie française