Lors de cette édition du salon professionnel belge du tourisme, BTExpo, il a été frappant de constater qu'aucun des voyagistes leaders du secteur en Belgique ne disposaient de stands. En effet, Jetair (TUI), Thomas Cook, Club Med ou Best Tours brillaient par leur absence.
Pour l'un de ces opérateurs: « Il est important que notre budget communication vers les AGV soit le plus productif possible. Nous avons préféré privilégier une action directe envers les intermédiaires comme des worshops ou des contacts personalisés ».
Il n'empêche que malgré ces absences, au soir de la première journée du BTExpo 2007, le succès était total. Pour Bernard Philippart de Foy, l'un des organisateurs.
« En fait, le nombre de visiteurs AGV démontre que les AGV souhaitent des contacts directs et informels avec les responsables des TO et compagnies aériennes. A preuve, 95 % des stands étaient réservés et occupés et le nombre d'AGV en nette augmentation par rapport aux années précédentes.»
Et de démentir un bruit récurrent que BTExpo ne serait plus reconduit les années prochaines: « Tout démontre que ce salon occupe une niche fondamentale dans le secteur. Il compense largement l'impossibilité budgétaire des petits et moyens opérateurs de proposer de grandes manifestations telles que les grands proposent. »
Pour l'un de ces opérateurs: « Il est important que notre budget communication vers les AGV soit le plus productif possible. Nous avons préféré privilégier une action directe envers les intermédiaires comme des worshops ou des contacts personalisés ».
Il n'empêche que malgré ces absences, au soir de la première journée du BTExpo 2007, le succès était total. Pour Bernard Philippart de Foy, l'un des organisateurs.
« En fait, le nombre de visiteurs AGV démontre que les AGV souhaitent des contacts directs et informels avec les responsables des TO et compagnies aériennes. A preuve, 95 % des stands étaient réservés et occupés et le nombre d'AGV en nette augmentation par rapport aux années précédentes.»
Et de démentir un bruit récurrent que BTExpo ne serait plus reconduit les années prochaines: « Tout démontre que ce salon occupe une niche fondamentale dans le secteur. Il compense largement l'impossibilité budgétaire des petits et moyens opérateurs de proposer de grandes manifestations telles que les grands proposent. »
Transport : ''Nous demandons une réelle transparence des prix !''
Parmi les faits saillants : prise de position nette de l'UPAV contre les compagnies aériennes et les grands TO. Alain Varenne de Flash Travel, le plus important réseau belge d'AGV franchisées et administrateur de l'Unuion Professionelle des AGV francophones rappelle : « Nous en avons plus que marre de la politique tarifaire et commerciale des compagnies aériennes.
Nous demandons une réelle transparence des prix. Les compagnies aériennes, non seulement, pratiquent des ventes directes et nous concurrencent, mais en plus ne nous rémunèrent pas pour le travail fournit à chaque augmentation supplément fuel. »
Et Jean Philippe Cuvelier, vice-président, de renchérir : « Nonobsant que depuis le pic de 98 US$ de fin novembre qui a été répercuté quasi immédiatement, le fuel a diminué. Or aucune compagnie n'a réajusté ses prix à la baisse.
Comment expliquer aux clients qu'ils doivent payer toujours plus alors que dans les médias on annoce un fléchissement du prix du pétrole ? »
Conclusion logique, l'UPAV demande aux autorités européennes comme belge d'obliger les compagnies aérienens et les TO de ne plus pratiquer le petit jeu des suppléments fuel.
« Nous demandons que lorsque le contrat est fait, le prix soit définitif et ferme. Nous demandons donc qu'aucune modification tarifaire n’ait plus lieu.
L'analyse démontre en effet la dérive pratiquée par les compagnies aériennes et les TO. Ces entreprises annoncent un prix qui n'est plus disponible compte tenu des suppléments. A preuve, dans de nombreux cas, les seuls suppléments couvent largement la dépense fuel du voyage. »
Nous demandons une réelle transparence des prix. Les compagnies aériennes, non seulement, pratiquent des ventes directes et nous concurrencent, mais en plus ne nous rémunèrent pas pour le travail fournit à chaque augmentation supplément fuel. »
Et Jean Philippe Cuvelier, vice-président, de renchérir : « Nonobsant que depuis le pic de 98 US$ de fin novembre qui a été répercuté quasi immédiatement, le fuel a diminué. Or aucune compagnie n'a réajusté ses prix à la baisse.
Comment expliquer aux clients qu'ils doivent payer toujours plus alors que dans les médias on annoce un fléchissement du prix du pétrole ? »
Conclusion logique, l'UPAV demande aux autorités européennes comme belge d'obliger les compagnies aérienens et les TO de ne plus pratiquer le petit jeu des suppléments fuel.
« Nous demandons que lorsque le contrat est fait, le prix soit définitif et ferme. Nous demandons donc qu'aucune modification tarifaire n’ait plus lieu.
L'analyse démontre en effet la dérive pratiquée par les compagnies aériennes et les TO. Ces entreprises annoncent un prix qui n'est plus disponible compte tenu des suppléments. A preuve, dans de nombreux cas, les seuls suppléments couvent largement la dépense fuel du voyage. »