Guillaume Col, PDG France American Express Global Business Travel présente le baromètre EVP 2017 au Pavillon Cambon à Paris (c) AmexGBT
Le baromètre EVP prend de nouvelles couleurs.
Le nombre d'entreprises interrogées a été revu à la hausse : 1 000 sociétés issues de 11 pays européens.
Le thème de la sécurité des voyageurs reste le sujet le plus abordé au fur et à mesure des éditions.
Proposer des dispositifs de suivi et de traçabilité des employés fait partie de la tendance : 64% des entreprises interrogées seraient désormais équipées.
Le nombre d'entreprises interrogées a été revu à la hausse : 1 000 sociétés issues de 11 pays européens.
Le thème de la sécurité des voyageurs reste le sujet le plus abordé au fur et à mesure des éditions.
Proposer des dispositifs de suivi et de traçabilité des employés fait partie de la tendance : 64% des entreprises interrogées seraient désormais équipées.
L’efficacité et la productivité des voyageurs
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L’efficacité et la productivité des voyageurs avec le coût pour l’entreprise restent néanmoins un des sujets importants.
Le voyageur est aujourd'hui considéré comme « co-constructeur des politiques voyage ».
Les objectifs sont de réconcilier les besoins des entreprises et des voyageurs en baissant les coûts, en utilisant des moyens technologiques comme la visioconférence, limitant ainsi les déplacements.
Le voyageur, lui, attend une expérience simplifiée et fluide du début à la fin de son voyage.
« Les voyageurs vont jouer un rôle proactif dans les domaines de la sécurité, ainsi que sur l’ensemble de la chaîne de valeur : programmes de fidélité, nouveaux fournisseurs y compris ceux de l’économie collaborative, nouveaux outils de réservation… », indique Guillaume Col, président-directeur général France, BeNeLux et Europe du Sud d'American Express Global Business Travel (GBT).
Le voyageur est aujourd'hui considéré comme « co-constructeur des politiques voyage ».
Les objectifs sont de réconcilier les besoins des entreprises et des voyageurs en baissant les coûts, en utilisant des moyens technologiques comme la visioconférence, limitant ainsi les déplacements.
Le voyageur, lui, attend une expérience simplifiée et fluide du début à la fin de son voyage.
« Les voyageurs vont jouer un rôle proactif dans les domaines de la sécurité, ainsi que sur l’ensemble de la chaîne de valeur : programmes de fidélité, nouveaux fournisseurs y compris ceux de l’économie collaborative, nouveaux outils de réservation… », indique Guillaume Col, président-directeur général France, BeNeLux et Europe du Sud d'American Express Global Business Travel (GBT).
La légitimité des agences confirmée
Le baromètre démontre la légitimité du rôle de l’agence de voyages d’affaires.
80% des entreprises déclarent travailler avec au moins une agence. Dans 57% des cas, elles collaborent avec une seule TMC.
Les chiffres sont stables par rapport à 2015, démontrant ainsi que l’agence de voyages occupe un poids important dans la gestion du voyage d’affaires.
« L’agence de voyages intervient comme un véritable partenaire, plus qu’un simple fournisseur » ajoute Guillaume Col.
80% des entreprises déclarent travailler avec au moins une agence. Dans 57% des cas, elles collaborent avec une seule TMC.
Les chiffres sont stables par rapport à 2015, démontrant ainsi que l’agence de voyages occupe un poids important dans la gestion du voyage d’affaires.
« L’agence de voyages intervient comme un véritable partenaire, plus qu’un simple fournisseur » ajoute Guillaume Col.
Quid de l'économie collaborative ?
Guillaume Col explique vouloir "aller vers le BtoBtoC", penser à l'expérience du voyageur et parle aussi d'un début de consumérisation du voyage d’affaires.
L’économie collaborative n’est pourtant pas encore plébiscitée d'après le baromètre : « les voyageurs en demandent plus, mais les entreprises ne leur en donnent pas. Nous n'observons pas de boum », souligne le PDG.
Nous pouvons lister 4 freins : la sécurité, le reporting, le prix et la méthode paiement.
L’économie collaborative n’est pourtant pas encore plébiscitée d'après le baromètre : « les voyageurs en demandent plus, mais les entreprises ne leur en donnent pas. Nous n'observons pas de boum », souligne le PDG.
Nous pouvons lister 4 freins : la sécurité, le reporting, le prix et la méthode paiement.