Visibilité sur les site de e-commerce versus référencement en agence de voyages : qui va gagner ?
Les ventes en ligne augmentent d’année en année. Mais les enseignes physiques savent profiter du digital pour accroître leur business.
Les agences de voyages traditionnelles, certes un peu tardivement, se sont quand même lancées à l’assaut du web, dont certaines avec succès. L’idée pour les magasins physiques n’est évidemment pas de concurrencer les majors du net.
La barre serait trop haute, mais de savoir orienter une partie des internautes vers leurs enseignes. C’est le fameux web to store. Et ça marche : « Nos agences concrétisent 10% des devis issus du web. C’est énorme », nous confie Jean Christophe Plancke, responsable e-commerce chez Salaün Holiday.
D’où volonté stratégique des agences et des réseaux de bien remonter dans les moteurs de recherche. Sachant que 30% des requêtes sur Google concernent des recherches locales, il n’est pas impossible, loin s’en faut, de capter une partie de cette audience pour les orienter vers le point de vente. La Fevad a relayé à ce sujet une étude riche d’enseignement : celle de l’IFM, l’institut Français de la Mode.
Les ventes en ligne augmentent d’année en année. Mais les enseignes physiques savent profiter du digital pour accroître leur business.
Les agences de voyages traditionnelles, certes un peu tardivement, se sont quand même lancées à l’assaut du web, dont certaines avec succès. L’idée pour les magasins physiques n’est évidemment pas de concurrencer les majors du net.
La barre serait trop haute, mais de savoir orienter une partie des internautes vers leurs enseignes. C’est le fameux web to store. Et ça marche : « Nos agences concrétisent 10% des devis issus du web. C’est énorme », nous confie Jean Christophe Plancke, responsable e-commerce chez Salaün Holiday.
D’où volonté stratégique des agences et des réseaux de bien remonter dans les moteurs de recherche. Sachant que 30% des requêtes sur Google concernent des recherches locales, il n’est pas impossible, loin s’en faut, de capter une partie de cette audience pour les orienter vers le point de vente. La Fevad a relayé à ce sujet une étude riche d’enseignement : celle de l’IFM, l’institut Français de la Mode.
Thomas Cook, Agences Havas Voyages et Leclerc Voyages trio de tête
On apprend que la part des ventes en ligne des magasins dans l’habillement ne cesse de progresser.
En 2008 elle ne pesait pas plus que 1,5%. En 2016 c’est plus de 7%. Plus intéressant encore, aux US, pays annonciateur de tendance, cette part s’élève à 20% dans les magasins spécialisés.
Le parallèle avec les agences de voyages est tentant, car après tout, les problématiques se ressemblent.
Comment utiliser le web pour augmenter les ventes et le trafic en magasin ?
En partenariat avec VRDCI*, agence spécialisée dans le SEO, nous publierons tous les mois un baromètre pour connaitre la position des agences de voyages sur Google.
C’est Thomas Cook qui arrive en tête en novembre, devant Agences Havas Voyages et Leclerc Voyages. C’est dire que le web exige un effort permanent. Et pour décembre : qui va gagner ? Réponse début 2018.
En 2008 elle ne pesait pas plus que 1,5%. En 2016 c’est plus de 7%. Plus intéressant encore, aux US, pays annonciateur de tendance, cette part s’élève à 20% dans les magasins spécialisés.
Le parallèle avec les agences de voyages est tentant, car après tout, les problématiques se ressemblent.
Comment utiliser le web pour augmenter les ventes et le trafic en magasin ?
En partenariat avec VRDCI*, agence spécialisée dans le SEO, nous publierons tous les mois un baromètre pour connaitre la position des agences de voyages sur Google.
C’est Thomas Cook qui arrive en tête en novembre, devant Agences Havas Voyages et Leclerc Voyages. C’est dire que le web exige un effort permanent. Et pour décembre : qui va gagner ? Réponse début 2018.
* VRDCI est la seule agence qui propose du paiement aux résultats