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Les nouvelles installations du centre Dolce vont comprendre 264 chambres, plusieurs restaurants et bars, 40 salles de réunion, des salles polyvalentes ainsi que des infrastructures sportives. Pour Dolce, La Hulpe Brussels devrait devenir l'un des sites de réunions et conférences parmi les plus prisés en Belgique. Ce que nous a confirmé Sam Van der Kerckhof, le président de BAPCO, l'association belge des organisateurs de congrès.
Comme dans toutes les destinations gérées par Dolce International, tous les outils, des plus indispensables aux plus sophistiqués, seront rassemblés en un seul et même lieu. C’est ainsi notamment que Dolce La Hulpe Brussels implémentera dans ses installations une toute nouvelle infrastructure TIC (Technologies de l'Information et de la Communication).
Accéder à grande vitesse au web
En faisant appel à la technologie Cisco, dont l’investissement va tourner aux alentours de 330.000 EUR, l'objectif de Dolce est de permettre aux résidents de La Hulpe d'accéder à grande vitesse au web, quelle que soit leur localisation dans le centre.
L'efficacité opérationnelle de cette infrastructure sera encore renforcée par le recours à la téléphonie IP qui permet d’intégrer voix, data et image en un seul média.
Une première en Belgique
Ce projet est une première en Belgique dans la mesure où le progiciel hôtelier Nevotek V/IP sera intégré au système de téléphonie IP. C'est ainsi que sur les nouveaux postes téléphoniques, il sera possible d’accéder via un écran couleur tactile, à des services tant internes au complexe hôtelier (horaires des activités, facilités disponibles, menus des repas, fonction réveil-matin), …, qu’externes (réservation de spectacles, recherche d’un restaurant, prévision météo, …).
Le système permettra également de créer rapidement des services personnalisés tels une messagerie vocale ou la réception et l’envoi d’email / fax.
Et toujours pas de Palais des Congrès dans la capitale européenne
L’ouverture prochaine du Dolce fait contraste avec le chantier du Palais des Congrès de Bruxelles. Pour rappel à la fin des années 90, il avait été décidé de profiter du désamiantage de la structure bruxelloise pour rénover le palais.
Passons sur l’imbroglio politique que représente ce dossier, simplement pour dire qu’à l’heure d’aujourd’hui, on est toujours nulle part. Le dossier est tellement avancé qu’il ne faudrait pas s’étonner de ne toujours pas avoir de centre de congrès à Bruxelles avant 2010, voire 2.015.
Et ici, il ne faut pas stigmatiser la droite ou la gauche, puisque les ministres de tutelle du Palais des Congrès de Bruxelles ont été soit socialistes, soit libéraux. Ce qui fait dire à certains, que la gestion de la rénovation du Palais des Congrès de Bruxelles est la preuve de l’incompétence totale des pouvoirs publics lorsqu’il s’agit de prendre une décision simple et facile.
Il nous est ainsi revenu que l’un des tous grands patrons belge avait interpellé, à ce sujet, les ministres l’an passé. Il leur avait dit, en quelque sorte : « Lorsque mon groupe décidé de construire une usine il ne faut pas deux, trois ans pour que celle-ci soit opérationnelle ! »
Ce à quoi il lui a été répondu : « Vous oubliez que nous sommes en démocratie et qu’il existe des règles, des procédures que nous devons respecter ». Ce qui revient à dire qu’au nom de la démocratie la capitale de l’Europe ne dispose toujours pas de centre de congrès digne de ce nom.
A propos, c’est en janvier 1955 que le projet de l’Atomium a vu le jour. Trois années plus tard, l’édifice était terminé alors que pour le construire il a fallu faire preuve d’imagination et créer des techniques nouvelles. La différence entre le palais et l’Atomium ? La volonté d’aboutir…
Infos : http://lahulpe.dolce.com
Comme dans toutes les destinations gérées par Dolce International, tous les outils, des plus indispensables aux plus sophistiqués, seront rassemblés en un seul et même lieu. C’est ainsi notamment que Dolce La Hulpe Brussels implémentera dans ses installations une toute nouvelle infrastructure TIC (Technologies de l'Information et de la Communication).
Accéder à grande vitesse au web
En faisant appel à la technologie Cisco, dont l’investissement va tourner aux alentours de 330.000 EUR, l'objectif de Dolce est de permettre aux résidents de La Hulpe d'accéder à grande vitesse au web, quelle que soit leur localisation dans le centre.
L'efficacité opérationnelle de cette infrastructure sera encore renforcée par le recours à la téléphonie IP qui permet d’intégrer voix, data et image en un seul média.
Une première en Belgique
Ce projet est une première en Belgique dans la mesure où le progiciel hôtelier Nevotek V/IP sera intégré au système de téléphonie IP. C'est ainsi que sur les nouveaux postes téléphoniques, il sera possible d’accéder via un écran couleur tactile, à des services tant internes au complexe hôtelier (horaires des activités, facilités disponibles, menus des repas, fonction réveil-matin), …, qu’externes (réservation de spectacles, recherche d’un restaurant, prévision météo, …).
Le système permettra également de créer rapidement des services personnalisés tels une messagerie vocale ou la réception et l’envoi d’email / fax.
Et toujours pas de Palais des Congrès dans la capitale européenne
L’ouverture prochaine du Dolce fait contraste avec le chantier du Palais des Congrès de Bruxelles. Pour rappel à la fin des années 90, il avait été décidé de profiter du désamiantage de la structure bruxelloise pour rénover le palais.
Passons sur l’imbroglio politique que représente ce dossier, simplement pour dire qu’à l’heure d’aujourd’hui, on est toujours nulle part. Le dossier est tellement avancé qu’il ne faudrait pas s’étonner de ne toujours pas avoir de centre de congrès à Bruxelles avant 2010, voire 2.015.
Et ici, il ne faut pas stigmatiser la droite ou la gauche, puisque les ministres de tutelle du Palais des Congrès de Bruxelles ont été soit socialistes, soit libéraux. Ce qui fait dire à certains, que la gestion de la rénovation du Palais des Congrès de Bruxelles est la preuve de l’incompétence totale des pouvoirs publics lorsqu’il s’agit de prendre une décision simple et facile.
Il nous est ainsi revenu que l’un des tous grands patrons belge avait interpellé, à ce sujet, les ministres l’an passé. Il leur avait dit, en quelque sorte : « Lorsque mon groupe décidé de construire une usine il ne faut pas deux, trois ans pour que celle-ci soit opérationnelle ! »
Ce à quoi il lui a été répondu : « Vous oubliez que nous sommes en démocratie et qu’il existe des règles, des procédures que nous devons respecter ». Ce qui revient à dire qu’au nom de la démocratie la capitale de l’Europe ne dispose toujours pas de centre de congrès digne de ce nom.
A propos, c’est en janvier 1955 que le projet de l’Atomium a vu le jour. Trois années plus tard, l’édifice était terminé alors que pour le construire il a fallu faire preuve d’imagination et créer des techniques nouvelles. La différence entre le palais et l’Atomium ? La volonté d’aboutir…
Infos : http://lahulpe.dolce.com