Samedi 18 août 2012, le capitaine d’un bateau-mouche qui transportait une vingtaine de touristes sur la boucle du Doubs, autour de Besançon, a été contrôlé par la police avec un taux d’alcoolémie de près de 1,70 gramme d’alcool par litre de sang.
Inquiets de son comportement, ce sont les passagers qui ont donné l’alerte à l’office de tourisme (OT) de la ville, indique l’Agence France Presse (AFP).
Ils ont expliqué "que le capitaine faisait des commentaires déplacés au lieu de donner des explications sur le patrimoine historique de la ville et qu’il sentait l’alcool", explique Gilles Dreydemy, directeur de l’OT.
Interpellé par les forces de l’ordre, l’homme a reconnu, lundi 20 août 2012, au cours d’une audition avoir consommé trop d’alcool. Il risque un an de prison et 7 500 euros d’amende. Il devrait être jugé en janvier 2013, dans le cadre d’une procédure de plaider couple, précise le parquet de Besançon.
Côté professionnel, Gilles Dreydemy affirme que "si le permis du capitaine est maintenu nous travaillerons avec lui pour les groupes de touristes qui ont déjà réservé. En revanche, nous lui avons demandé des explications sur ces faits et jusqu’à ce qu’il nous les fournisse, nous ne ferons plus appel à lui pour les nouveaux groupes."
C’est désormais à l’autorité administrative de la navigation du bassin du Rhône de décider du maintien ou non du permis de navigation de l’individu.
Inquiets de son comportement, ce sont les passagers qui ont donné l’alerte à l’office de tourisme (OT) de la ville, indique l’Agence France Presse (AFP).
Ils ont expliqué "que le capitaine faisait des commentaires déplacés au lieu de donner des explications sur le patrimoine historique de la ville et qu’il sentait l’alcool", explique Gilles Dreydemy, directeur de l’OT.
Interpellé par les forces de l’ordre, l’homme a reconnu, lundi 20 août 2012, au cours d’une audition avoir consommé trop d’alcool. Il risque un an de prison et 7 500 euros d’amende. Il devrait être jugé en janvier 2013, dans le cadre d’une procédure de plaider couple, précise le parquet de Besançon.
Côté professionnel, Gilles Dreydemy affirme que "si le permis du capitaine est maintenu nous travaillerons avec lui pour les groupes de touristes qui ont déjà réservé. En revanche, nous lui avons demandé des explications sur ces faits et jusqu’à ce qu’il nous les fournisse, nous ne ferons plus appel à lui pour les nouveaux groupes."
C’est désormais à l’autorité administrative de la navigation du bassin du Rhône de décider du maintien ou non du permis de navigation de l’individu.
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