L'investissement internet présente un interêt si il permet une rationnalisation des coûts (ex: Anyway). Le danger de l'internet c'est qu'il permet de se leurrer avec un développement rapide (zone de chalandise illimitée).
Si ce développement n'est pas accompagné de mesures financières draconiennes, on est porté par la trésorerie.
Au moindre ralentissement on est rattrapé et englouti par la vague de dépenses laissée derrière.
A la place de Boomerang, j'aurai communiqué sur la réduction des coûts, des salariés et des investissements. En ajoutant que j'ai déjà mis 800.000 euros dans la boite en décembre. (qui d'entre nous peut en faire autant sans sourciller ?)
C'eut été plus efficace qu'un hypothétique apporteur de capital, dont on sait qu'ils sont souvent versatiles (cf Air Littoral).
Merci pour votre excellente newsletter.
Bien cordialement
Michel-Yves LABBE
myl@directours.com
Si ce développement n'est pas accompagné de mesures financières draconiennes, on est porté par la trésorerie.
Au moindre ralentissement on est rattrapé et englouti par la vague de dépenses laissée derrière.
A la place de Boomerang, j'aurai communiqué sur la réduction des coûts, des salariés et des investissements. En ajoutant que j'ai déjà mis 800.000 euros dans la boite en décembre. (qui d'entre nous peut en faire autant sans sourciller ?)
C'eut été plus efficace qu'un hypothétique apporteur de capital, dont on sait qu'ils sont souvent versatiles (cf Air Littoral).
Merci pour votre excellente newsletter.
Bien cordialement
Michel-Yves LABBE
myl@directours.com