Selon l'Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières, ce n'est pas à la SNCF mais à l’État d'abonder le capital de la société créée pour la réalisation de la liaison CDG-Express.
Un chantier estimé à 1,6 milliard d'euros qui devrait conduire à l'ouverture de la ligne entre l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle et le centre de Paris pour 2023.
Dans un communiqué le « Gendarme du Rail » estime que "la participation de SNCF réseau au capital de la société de projet (…) doit être couverte par des financements publics".
Une position qu'il justifie en citant la réforme ferroviaire de 2014 qui a "introduit un strict encadrement des investissement de SNCF Réseau" en vue de "maîtriser l'évolution de sa dette."
L'Arafer ajoute qu'elle doit être consultée dans le cadre de tout projet d'investissement dont le montant dépasse 200 millions d'euros. C'est pourquoi elle demande d'être saisie "avant la finalisation du montage juridique et financier du projet, pour s'assurer du respect des dispositions prévues par la loi et vérifier le plan de financement de l'investissement."
Un chantier estimé à 1,6 milliard d'euros qui devrait conduire à l'ouverture de la ligne entre l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle et le centre de Paris pour 2023.
Dans un communiqué le « Gendarme du Rail » estime que "la participation de SNCF réseau au capital de la société de projet (…) doit être couverte par des financements publics".
Une position qu'il justifie en citant la réforme ferroviaire de 2014 qui a "introduit un strict encadrement des investissement de SNCF Réseau" en vue de "maîtriser l'évolution de sa dette."
L'Arafer ajoute qu'elle doit être consultée dans le cadre de tout projet d'investissement dont le montant dépasse 200 millions d'euros. C'est pourquoi elle demande d'être saisie "avant la finalisation du montage juridique et financier du projet, pour s'assurer du respect des dispositions prévues par la loi et vérifier le plan de financement de l'investissement."