''Le Snav est un syndicat de distributeurs qui ne reconnaît pas le poids économique des tour-opérateurs...''
Les membres du CETO sont on ne peut plus contrastés.
Certains opèrent dans le tourisme de masse, d'autres sont des petites structures spécialistes du tourisme de niche.
Les gros pourraient se suffire à eux mêmes, ils ont leurs services marketing, leurs juristes, leurs informaticiens...
Mais petits et gros ont un trait commun : ils parlent d'une même voix. et veulent en finir avec la "guéguerre", comme ils disent, qui a opposé SNAV et CETO.
Pour autant ils ne sont pas près d'y adhérer. "C'est un syndicat de distributeurs qui ne reconnaît pas le poids économique des tour-opérateurs", dit René-Marc Chikli, président du CETO.
Le CETO demande clairement la création d'une fédération. i["Nous avons toujours dit que nous voulions une fédération et dans ce cadre, avoir une représentativité en adéquation avec notre poids économique.
Certains opèrent dans le tourisme de masse, d'autres sont des petites structures spécialistes du tourisme de niche.
Les gros pourraient se suffire à eux mêmes, ils ont leurs services marketing, leurs juristes, leurs informaticiens...
Mais petits et gros ont un trait commun : ils parlent d'une même voix. et veulent en finir avec la "guéguerre", comme ils disent, qui a opposé SNAV et CETO.
Pour autant ils ne sont pas près d'y adhérer. "C'est un syndicat de distributeurs qui ne reconnaît pas le poids économique des tour-opérateurs", dit René-Marc Chikli, président du CETO.
Le CETO demande clairement la création d'une fédération. i["Nous avons toujours dit que nous voulions une fédération et dans ce cadre, avoir une représentativité en adéquation avec notre poids économique.
Le CETO veut la création d'une Fédération
Nous voulons être reconnus et respectés comme tels. Cette fédération parlerait d'une même voix et gagnerait en efficacité. Il faut aller très vite" ]i
Dans les faits le CETO est devenu un interlocuteur incontournable. Il est le premier interlocuteur sollicité quand il faut gérer une crise.
Il décide des fermetures et réouvertures de commercialisation de certaines destinations touchées par des épidémies; catastrophes naturelles et autres attentats terroristes.
Il n'a pas besoin du syndicat des agents de voyages pour se faire entendre des pouvoirs pouvoirs publics.
Il reconnaît toutefois son point faible : "Les pouvoirs publics s'intéressent peu aux tour-opérateurs qui sont des exportateurs de tourisme donc peu intéressants pour la France".
Dans cette fédération il y aurait le CETO, le SNAV, l'APS, les autocarises "tourisme", l'ensemble des futurs "immatriculés etc.
Dans les faits le CETO est devenu un interlocuteur incontournable. Il est le premier interlocuteur sollicité quand il faut gérer une crise.
Il décide des fermetures et réouvertures de commercialisation de certaines destinations touchées par des épidémies; catastrophes naturelles et autres attentats terroristes.
Il n'a pas besoin du syndicat des agents de voyages pour se faire entendre des pouvoirs pouvoirs publics.
Il reconnaît toutefois son point faible : "Les pouvoirs publics s'intéressent peu aux tour-opérateurs qui sont des exportateurs de tourisme donc peu intéressants pour la France".
Dans cette fédération il y aurait le CETO, le SNAV, l'APS, les autocarises "tourisme", l'ensemble des futurs "immatriculés etc.
A obligation de rémunération, obligation de performance
"Le modèle économique de sortie de crise ne permettra pas aux tour-opérateurs de surenchérir en matière de rémunération.
Financer la fusion des distributeurs n'est pas un modèle économique d'avenir. L'intérêt de tous doit aller vers un pilotage des ventes a déclaré René-Marc Chikli en ajoutant « personne n'est incontournable ».
L'idée même d'une négociation commune avec les distributeurs est à rejeter. En revanche chacun recherche un partenariat "gagnant-gagnant", l'obligation de rémunération devant faire écho à l'obligation de performance et de résultat
Le président du CETO qui, précisons au passage, quitte son statut de salarié pour un contrat de prestataire de services, a évoqué le réseau intégré Thomas Cook.
"Si les réseaux volontaires veulent se battre avec les mêmes armes que lui il faut que les fournisseurs référencés soient certains d'être vendus."
La stratégie de sortie de crise des tour-opérateurs irait-elle vers un développement des canaux B2C ? La question est en suspens...
In fine, l'objectif majeur des tour-opérateurs est de développer leurs parts de marché en se rapprochant des consommateurs.
Dans cet esprit ils travaillent entre autre sur une nouvelle charte. Elle prendra en considération les attentes de la clientèle et engagera ses membres en matière de tourisme durable, de sécurité, de services....
Financer la fusion des distributeurs n'est pas un modèle économique d'avenir. L'intérêt de tous doit aller vers un pilotage des ventes a déclaré René-Marc Chikli en ajoutant « personne n'est incontournable ».
L'idée même d'une négociation commune avec les distributeurs est à rejeter. En revanche chacun recherche un partenariat "gagnant-gagnant", l'obligation de rémunération devant faire écho à l'obligation de performance et de résultat
Le président du CETO qui, précisons au passage, quitte son statut de salarié pour un contrat de prestataire de services, a évoqué le réseau intégré Thomas Cook.
"Si les réseaux volontaires veulent se battre avec les mêmes armes que lui il faut que les fournisseurs référencés soient certains d'être vendus."
La stratégie de sortie de crise des tour-opérateurs irait-elle vers un développement des canaux B2C ? La question est en suspens...
In fine, l'objectif majeur des tour-opérateurs est de développer leurs parts de marché en se rapprochant des consommateurs.
Dans cet esprit ils travaillent entre autre sur une nouvelle charte. Elle prendra en considération les attentes de la clientèle et engagera ses membres en matière de tourisme durable, de sécurité, de services....
Une partie des participants à La Plagne - cliquer pour agrandir