L'été a été satisfaisant et le processus de sauvegarde des entreprises a été approuvé par le gouvernement italien. Les fonds gouvernementaux et européens devraient bientôt arriver et permettre à la Cit deprésenter début octobre son (dernier ?)
Cet été, la CIT a rythmé l’actualité aussi sûrement qu’un feuilleton TV. Mais dans ses épisodes, les rebondissement se font attendre. Et c’est tant mieux pour la société et ses salariés. Rappel des épisodes précedents.
Le 12 juillet, le Tribunal de Commerce de Paris donnait un mois de sursis supplémentaire à la société pour présenter son plan de route soulignant la bonne volonté affichée en France et en Italie.
Le 16 août, rebelote jusqu’à hier et toujours les mêmes raisons invoquées : « le tribunal a tenu compte des efforts de restructuration du groupe mené en Italie avec l’appui des banques et du gouvernement », précise Maurice Benzaquen, le dg pour la France.
Et hier, pas de coups de théâtre. La décision du tribunal a été à identique à celles des 2 précédentes audiences.
Un fait nouveau quand même, c’est une rallonge de 4 mois supplémentaires qui a été de nouveau accordée à la Compagnie Italienne de Tourisme et non un seul comme auparavant. Quatre mois pour présenter un nouveau mais ultime plan de continuation de l’entreprise.
« Nous avions adressé au tribunal toutes les preuves dans les avancées des processus actuellement en cours en Italie », explique Maurice Benzaquen, le dg France. « Les nouvelles sont bonnes. Le plan de sauvegarde des entreprises a pris beaucoup de temps dans son processus d’élaboration mais les accords des banques, des fonds gouvernementaux associés à des fonds européens sont maintenant enclenchés. »
Selon le directeur général, le dispositif qui a marqué une pause estivale en août devrait s’accélérer dans les jours à venir. « Tout est en voie d’approbation et nous devrions pouvoir présenter début octobre un plan de continuation au tribunal de commerce. »
Un été satisfaisant
Les efforts de restructuration du Groupe en Italie appuyés par les banques et le gouvernement ont encore convaincu les magistrats malgré un passif de CIT France s'élevant à 12 millions d’euros.
Un solde dont le remboursement devrait s’échelonner sur dix ans. Si le plan de continuation est présenté début octobre comme le prétend le directeur général, la CIT aura alors 2 mois pour le réaliser. Et malgré un avenir toujours en pointillé, le TO gagne chaque jour un peu plus de terrain.
Sur cette saison qui s’achève, l’été est jugé « satisfaisant » par la directeur général qui table également sur une bonne arrière saison. « Nous avons été revendus en agence et il n’y a eu aucun problème pour les clients avec le système de pré-paiement que nous avons instauré avec nos fournisseurs. »
Le référencement chez Wasteels adossé à l’activité de ses 11 points de vente sont autant de raisons d’espérer en un redémarrage de la CIT. « Nous en attendons d’autres et espérons bien avoir convaincu. » Et plus que jamais, Maurice Benzaquen croit en l’avenir de la Cit
Pour en convaincre la profession, il lui donne rendez au prochain salon Top Résa de Deauville où le TO sera présent. « Nous y présenterons une pré-brochure ainsi qu’un nouveau concept que nous dévoilerons à l’occasion. » Autant d’arguments que le dg souhaite convaincant pour ouvrir les portes des agences des réseaux. Sera-t-il enfin entendu ?
Le 12 juillet, le Tribunal de Commerce de Paris donnait un mois de sursis supplémentaire à la société pour présenter son plan de route soulignant la bonne volonté affichée en France et en Italie.
Le 16 août, rebelote jusqu’à hier et toujours les mêmes raisons invoquées : « le tribunal a tenu compte des efforts de restructuration du groupe mené en Italie avec l’appui des banques et du gouvernement », précise Maurice Benzaquen, le dg pour la France.
Et hier, pas de coups de théâtre. La décision du tribunal a été à identique à celles des 2 précédentes audiences.
Un fait nouveau quand même, c’est une rallonge de 4 mois supplémentaires qui a été de nouveau accordée à la Compagnie Italienne de Tourisme et non un seul comme auparavant. Quatre mois pour présenter un nouveau mais ultime plan de continuation de l’entreprise.
« Nous avions adressé au tribunal toutes les preuves dans les avancées des processus actuellement en cours en Italie », explique Maurice Benzaquen, le dg France. « Les nouvelles sont bonnes. Le plan de sauvegarde des entreprises a pris beaucoup de temps dans son processus d’élaboration mais les accords des banques, des fonds gouvernementaux associés à des fonds européens sont maintenant enclenchés. »
Selon le directeur général, le dispositif qui a marqué une pause estivale en août devrait s’accélérer dans les jours à venir. « Tout est en voie d’approbation et nous devrions pouvoir présenter début octobre un plan de continuation au tribunal de commerce. »
Un été satisfaisant
Les efforts de restructuration du Groupe en Italie appuyés par les banques et le gouvernement ont encore convaincu les magistrats malgré un passif de CIT France s'élevant à 12 millions d’euros.
Un solde dont le remboursement devrait s’échelonner sur dix ans. Si le plan de continuation est présenté début octobre comme le prétend le directeur général, la CIT aura alors 2 mois pour le réaliser. Et malgré un avenir toujours en pointillé, le TO gagne chaque jour un peu plus de terrain.
Sur cette saison qui s’achève, l’été est jugé « satisfaisant » par la directeur général qui table également sur une bonne arrière saison. « Nous avons été revendus en agence et il n’y a eu aucun problème pour les clients avec le système de pré-paiement que nous avons instauré avec nos fournisseurs. »
Le référencement chez Wasteels adossé à l’activité de ses 11 points de vente sont autant de raisons d’espérer en un redémarrage de la CIT. « Nous en attendons d’autres et espérons bien avoir convaincu. » Et plus que jamais, Maurice Benzaquen croit en l’avenir de la Cit
Pour en convaincre la profession, il lui donne rendez au prochain salon Top Résa de Deauville où le TO sera présent. « Nous y présenterons une pré-brochure ainsi qu’un nouveau concept que nous dévoilerons à l’occasion. » Autant d’arguments que le dg souhaite convaincant pour ouvrir les portes des agences des réseaux. Sera-t-il enfin entendu ?