En réaction à l'annonce de l'abandon de la refonte du calendrier scolaire, les professionnels du tourisme et de la montagne français diffusent un communiqué daté du 15 octobre 2014 pour demander "un examen interministériel du dossier".
Ils y qualifient la décision de Najat Vallaud-Belkacem de "surprenante". Surtout que les deux ministres de l’Éducation Nationale précédents s'étaient "engagés à plusieurs reprises devant la représentation nationale à repenser dans sa globalité le calendrier scolaire qui impacte fortement le secteur touristique français."
Selon DSF (Domaines Skiables Français), le SNRT (Syndicat National des Résidences de Tourisme), l'Umih, le SETO, le CNPA et le SNAV, la détermination des vacances scolaires a également des effets importants sur l'emploi touristique français.
Ils demandent une rencontre avec la ministre de l’Éducation nationale et d'autres ministres concernés par le tourisme pour leur rappeler leur attachement à positionner les vacances d'hiver en février et les vacances de printemps en avril. Mais aussi d'accompagner l'éventuelle réduction des vacances estivales par la mise en place d'un zonage pour accueillir et recevoir les touristes dans les meilleures conditions.
Des mesures qui permettraient ainsi à plus de Français de partir en vacances en bénéficiant d'une plus grande souplesse dans les prix, d'éviter les pics d'activité en assurant une meilleure répartition de l'offre hôtelière, de faciliter les transports, de réduire les nuisances environnementales et de maintenir les activités touristiques et des emplois sur l'ensemble du territoire national.
Ils y qualifient la décision de Najat Vallaud-Belkacem de "surprenante". Surtout que les deux ministres de l’Éducation Nationale précédents s'étaient "engagés à plusieurs reprises devant la représentation nationale à repenser dans sa globalité le calendrier scolaire qui impacte fortement le secteur touristique français."
Selon DSF (Domaines Skiables Français), le SNRT (Syndicat National des Résidences de Tourisme), l'Umih, le SETO, le CNPA et le SNAV, la détermination des vacances scolaires a également des effets importants sur l'emploi touristique français.
Ils demandent une rencontre avec la ministre de l’Éducation nationale et d'autres ministres concernés par le tourisme pour leur rappeler leur attachement à positionner les vacances d'hiver en février et les vacances de printemps en avril. Mais aussi d'accompagner l'éventuelle réduction des vacances estivales par la mise en place d'un zonage pour accueillir et recevoir les touristes dans les meilleures conditions.
Des mesures qui permettraient ainsi à plus de Français de partir en vacances en bénéficiant d'une plus grande souplesse dans les prix, d'éviter les pics d'activité en assurant une meilleure répartition de l'offre hôtelière, de faciliter les transports, de réduire les nuisances environnementales et de maintenir les activités touristiques et des emplois sur l'ensemble du territoire national.
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