Cathay Pacific a légèrement réduit ses capacités sur la France, un marché qui souffre du recul de la fréquentation asiatique - DR : Cathay Pacific
Depuis le 14 novembre 2016, Cathay Pacific dessert Hong-Kong depuis Paris trois fois par semaine en Airbus 350.
Cet appareil nouvelle génération est équipé de 280 sièges répartis en trois classes : 38 sièges en classe Affaires, 28 en Economie Premium et 214 en classe Economie.
Soit une capacité inférieure à celle du Boeing 777, qui opère aujourd’hui tous les jours avec 340 sièges, dont une première classe de six places.
La compagnie a donc légèrement réduit ses capacités sur la France, un marché qui souffre du recul de la fréquentation asiatique.
Cet appareil nouvelle génération est équipé de 280 sièges répartis en trois classes : 38 sièges en classe Affaires, 28 en Economie Premium et 214 en classe Economie.
Soit une capacité inférieure à celle du Boeing 777, qui opère aujourd’hui tous les jours avec 340 sièges, dont une première classe de six places.
La compagnie a donc légèrement réduit ses capacités sur la France, un marché qui souffre du recul de la fréquentation asiatique.
Cathay Pacific veut pousser sa Premium Economy
Selon les chiffres de la DGAC, Cathay Pacific a transporté 295 649 passagers en 2014, contre 272 704 en 2015. Un recul que le transporteur espère atténuer cette année pour finir à l’équilibre.
« Nous compensons la baisse de la clientèle asiatique grâce aux passagers au départ de France », explique Thierry Lhoyer, le nouveau directeur commercial & marketing France.
Il anime également le marché avec diverses promotions et assure être parfois aussi compétitif que les compagnies du Golfe.
« Les passagers ne regardent pas que le tarif. Ils comparent également la disponibilité, le temps de transport et surtout l’heure de l’escale, bien souvent au beau milieu de la nuit pour les compagnies du Golfe », signale Edward Coles-Gale, le nouveau directeur général France.
Pour lutter face à la concurrence, Cathay Pacific insiste surtout sur la qualité de son produit.
La compagnie veut notamment pousser sa Premium Economy, qu’elle est l’une des seules à proposer sur l’Australie notamment. De quoi séduire les hommes d’affaires qui ne peuvent plus prendre la classe affaires, notamment les PME.
« Nous compensons la baisse de la clientèle asiatique grâce aux passagers au départ de France », explique Thierry Lhoyer, le nouveau directeur commercial & marketing France.
Il anime également le marché avec diverses promotions et assure être parfois aussi compétitif que les compagnies du Golfe.
« Les passagers ne regardent pas que le tarif. Ils comparent également la disponibilité, le temps de transport et surtout l’heure de l’escale, bien souvent au beau milieu de la nuit pour les compagnies du Golfe », signale Edward Coles-Gale, le nouveau directeur général France.
Pour lutter face à la concurrence, Cathay Pacific insiste surtout sur la qualité de son produit.
La compagnie veut notamment pousser sa Premium Economy, qu’elle est l’une des seules à proposer sur l’Australie notamment. De quoi séduire les hommes d’affaires qui ne peuvent plus prendre la classe affaires, notamment les PME.
La nouvelle identité de sa filiale régionale Cathay Dragon
Sur l’Airbus A 350, la Premium est équipée d’un nouveau siège qui s’incline à 22 cm, avec plus d’espace entre les sièges (101 cm).
Si l’assise est légèrement inférieure (47 cm contre 49,5 cm en Boeing), le siège possède plus d’options, comme une lampe de lecture individuelle, des accoudoirs rétractables. Le repas est similaire à celui de la classe affaires, même si le service et la présentation sont différents (pas d’assiette en porcelaine par exemple).
Quant à la classe affaires de l’Airbus A350, le lit a perdu un peu en longueur : 1,90 m contre 2,06 m pour le Boeing 777. Mais le confort s’est amélioré, avec l’accoudoir amovible, un bouton « ne pas déranger » et des espaces de rangements supplémentaires.
Cathay Pacific souhaite également mieux faire connaître sa filiale régionale, Cathay Dragon, autrefois appelée Dragonair.
Ce changement de nom lui permettra de mieux marquer sa filiation avec la maison mère et d’insister sur la continuité du service, car Cathay Dragon n’est pas une compagnie low cost.
De quoi promouvoir son vaste réseau régional, notamment les villes secondaires d’Asie, comme ses 24 destinations en Chine.
Rappelons que la moitié des passagers qui voyagent avec Cathay Pacific poursuivent leur voyage après une escale à Hong-Kong.
Si l’assise est légèrement inférieure (47 cm contre 49,5 cm en Boeing), le siège possède plus d’options, comme une lampe de lecture individuelle, des accoudoirs rétractables. Le repas est similaire à celui de la classe affaires, même si le service et la présentation sont différents (pas d’assiette en porcelaine par exemple).
Quant à la classe affaires de l’Airbus A350, le lit a perdu un peu en longueur : 1,90 m contre 2,06 m pour le Boeing 777. Mais le confort s’est amélioré, avec l’accoudoir amovible, un bouton « ne pas déranger » et des espaces de rangements supplémentaires.
Cathay Pacific souhaite également mieux faire connaître sa filiale régionale, Cathay Dragon, autrefois appelée Dragonair.
Ce changement de nom lui permettra de mieux marquer sa filiation avec la maison mère et d’insister sur la continuité du service, car Cathay Dragon n’est pas une compagnie low cost.
De quoi promouvoir son vaste réseau régional, notamment les villes secondaires d’Asie, comme ses 24 destinations en Chine.
Rappelons que la moitié des passagers qui voyagent avec Cathay Pacific poursuivent leur voyage après une escale à Hong-Kong.