La compagnie low cost polonaise, Air Polonia, doit lancer fin mars deux liaisons Varsovie/Charleroi et Katowice/Charleroi, à raison de trois vols par semaine, selon le ministre wallon de l'Economie, Serge Kubla.
Axis Airways doit pour sa part lancer trois vols par semaine entre Pescara (Italie) et Charleroi, entre avril et octobre.
Enfin une autre compagnie low cost polonaise, Wizz Air, est en négociation pour établir des liaisons quotidiennes Katowice-Charleroi et Budapest-Charleroi, à partir de mai, selon M. Kubla. "La décision de la Commission européenne semble avoir permis de débloquer des négociations entamées depuis plusieurs mois", se félicite M. Kubla.
3 nouvelles compagnies à Charleroi
Air Polonia va assurer 5 rotations entre la Belgique, au départ et à l’arrivée de l’aéroport de Charleroi, et la Pologne (3X Varsovie et 2X Katowice) avec des B 737. Quant à Wizzair, compagnie hungaro-polonaise elle sera également basée à Katowice en Slovaquie et en Hongrie. Le directeur de la compagnie n'est qu'autre que, Jozsef Varadi, l'ancien directeur de la compagnie nationale hongroise MALEV.
Ryanairport, le surnom souvent donné à l’aéroport de Brussesl South Charleroi Airport, va devoir changer de dénomination. Logiquement, son nouveau nom devrait être une variation autour du thème Belgian Low cost airport. En effet, les trois nouvelles compagnies qui vont débarquer sont toutes des opérateurs low fare.
Charleroi, futur low cost airport ?
En ce qui concerne les conditions financières demandées, il nous a été confirmé que celles-ci étaient identiques à celles de Ryanair (après les ajustements réglementaires nécessaires suite à l’arrêt de la Commission européenne).
Les seules différences provenant du niveau d’importance de trafic. En d’autres mots, avec son million de passagers carolingiens, Ryanair bénéficiera d’un tarif plus favorable.
Quant aux redevances, elles seront calculées de manière traditionnelle et non pas en fonction des passagers transportés. Cette dernière méthode restant le privilège des aéroports privés.
Reste la question de savoir si les installations actuelles de l’aéroport pourront facilement traiter une augmentation aussi rapide du nombre de passagers. Et sans oublier le problème des slots... Mais il est vrai que le boss de Ryanair a annoncé qu’il se pourrait que certaines lignes au départ de Charleroi puissent fermer.
Comme quoi, le malheur des uns...
Axis Airways doit pour sa part lancer trois vols par semaine entre Pescara (Italie) et Charleroi, entre avril et octobre.
Enfin une autre compagnie low cost polonaise, Wizz Air, est en négociation pour établir des liaisons quotidiennes Katowice-Charleroi et Budapest-Charleroi, à partir de mai, selon M. Kubla. "La décision de la Commission européenne semble avoir permis de débloquer des négociations entamées depuis plusieurs mois", se félicite M. Kubla.
3 nouvelles compagnies à Charleroi
Air Polonia va assurer 5 rotations entre la Belgique, au départ et à l’arrivée de l’aéroport de Charleroi, et la Pologne (3X Varsovie et 2X Katowice) avec des B 737. Quant à Wizzair, compagnie hungaro-polonaise elle sera également basée à Katowice en Slovaquie et en Hongrie. Le directeur de la compagnie n'est qu'autre que, Jozsef Varadi, l'ancien directeur de la compagnie nationale hongroise MALEV.
Ryanairport, le surnom souvent donné à l’aéroport de Brussesl South Charleroi Airport, va devoir changer de dénomination. Logiquement, son nouveau nom devrait être une variation autour du thème Belgian Low cost airport. En effet, les trois nouvelles compagnies qui vont débarquer sont toutes des opérateurs low fare.
Charleroi, futur low cost airport ?
En ce qui concerne les conditions financières demandées, il nous a été confirmé que celles-ci étaient identiques à celles de Ryanair (après les ajustements réglementaires nécessaires suite à l’arrêt de la Commission européenne).
Les seules différences provenant du niveau d’importance de trafic. En d’autres mots, avec son million de passagers carolingiens, Ryanair bénéficiera d’un tarif plus favorable.
Quant aux redevances, elles seront calculées de manière traditionnelle et non pas en fonction des passagers transportés. Cette dernière méthode restant le privilège des aéroports privés.
Reste la question de savoir si les installations actuelles de l’aéroport pourront facilement traiter une augmentation aussi rapide du nombre de passagers. Et sans oublier le problème des slots... Mais il est vrai que le boss de Ryanair a annoncé qu’il se pourrait que certaines lignes au départ de Charleroi puissent fermer.
Comme quoi, le malheur des uns...