Avec 641,5 M€ enregistrés pour l’exercice 2010/2011, le chiffre d'affaires de compagnie des Alpes connait une progression de 7,5% à périmètre réel, alors qu'il accuse un léger retrait de -0,6% à périmètre comparable, selon un communiqué.
Plus en détail, le chiffre d’affaires annuel des domaines skiables du groupe s’élève à 361 M€, en retrait de -1,1% à périmètre réel et de -1,2% à périmètre comparable (365,5 M€).
Ce léger tassement s’explique d’une part par la baisse des ventes foncières (0,7 M€ vs 2,6 M€ en 2009- 2010) et d’autre part par une légère diminution de l’activité remontées mécaniques, qui affiche un recul de -0,7% à périmètre comparable.
Le nombre de journées-skieurs est en recul de -3,6% sur l’ensemble de l’exercice. La recette moyenne par journée-skieur a, quant à elle, progressé de 2,9%.
L’activité des domaines skiables n’a pas été affectée au cours du 1er semestre, malgré le faible niveau d’enneigement naturel et un calendrier des vacances scolaires défavorable pour la période de Noël.
Le positionnement tardif des vacances de Pâques ainsi que les températures anormalement élevées sur cette période ont engendré en revanche une baisse importante de la fréquentation au 3e trimestre.
L’activité du 4e trimestre, qui ne représente que 2% de l’activité annuelle, n’a pas eu d’impact
significatif.
Plus en détail, le chiffre d’affaires annuel des domaines skiables du groupe s’élève à 361 M€, en retrait de -1,1% à périmètre réel et de -1,2% à périmètre comparable (365,5 M€).
Ce léger tassement s’explique d’une part par la baisse des ventes foncières (0,7 M€ vs 2,6 M€ en 2009- 2010) et d’autre part par une légère diminution de l’activité remontées mécaniques, qui affiche un recul de -0,7% à périmètre comparable.
Le nombre de journées-skieurs est en recul de -3,6% sur l’ensemble de l’exercice. La recette moyenne par journée-skieur a, quant à elle, progressé de 2,9%.
L’activité des domaines skiables n’a pas été affectée au cours du 1er semestre, malgré le faible niveau d’enneigement naturel et un calendrier des vacances scolaires défavorable pour la période de Noël.
Le positionnement tardif des vacances de Pâques ainsi que les températures anormalement élevées sur cette période ont engendré en revanche une baisse importante de la fréquentation au 3e trimestre.
L’activité du 4e trimestre, qui ne représente que 2% de l’activité annuelle, n’a pas eu d’impact
significatif.
Le chiffre d'affaires boosté par les parcs de loisirs
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Le chiffre d’affaires annuel de l’activité Parcs de loisirs s’établit à 279 M€, en progression de +20,6% à périmètre réel.
Cette activité a été marquée par des changements de périmètre importants (intégration du Futuroscope et cession du contrôle d’un groupe de 7 parcs de loisirs).
A périmètre comparable, le chiffre d’affaires est ainsi quasi stable à -0,2%. La fréquentation a progressé de + 0,9% sur l’ensemble de l’exercice. La dépense moyenne par visiteur telle qu’elle ressort de la comptabilité affiche une baisse de -1,1% par rapport à l’exercice précédent.
Après un 1er semestre peu significatif, le 3e trimestre a été de très bonne facture : tous les parcs du Groupe, hors musée Grévin, ont contribué à l’augmentation du chiffre d’affaires de 8,6% à périmètre comparable (+3,6% à périmètre comparable sur les 9 premiers mois de l’exercice).
Le 4e trimestre a été marqué par un tassement de l’activité plus prononcé pour les sites les plus dépendants du climat. Au global, le chiffre d’affaires des Parcs de loisirs baisse de 4% à périmètre comparable sur cette période.
Cette activité a été marquée par des changements de périmètre importants (intégration du Futuroscope et cession du contrôle d’un groupe de 7 parcs de loisirs).
A périmètre comparable, le chiffre d’affaires est ainsi quasi stable à -0,2%. La fréquentation a progressé de + 0,9% sur l’ensemble de l’exercice. La dépense moyenne par visiteur telle qu’elle ressort de la comptabilité affiche une baisse de -1,1% par rapport à l’exercice précédent.
Après un 1er semestre peu significatif, le 3e trimestre a été de très bonne facture : tous les parcs du Groupe, hors musée Grévin, ont contribué à l’augmentation du chiffre d’affaires de 8,6% à périmètre comparable (+3,6% à périmètre comparable sur les 9 premiers mois de l’exercice).
Le 4e trimestre a été marqué par un tassement de l’activité plus prononcé pour les sites les plus dépendants du climat. Au global, le chiffre d’affaires des Parcs de loisirs baisse de 4% à périmètre comparable sur cette période.
Perspectives : des résultats opérationnels limités selon CDA
Dans les domaines skiables, les mesures conjoncturelles mises en place et la prise en compte de l’indemnité reçue suite au dénouement du litige Vanoise Express permettent d’envisager une évolution limitée des résultats opérationnels.
Les performances en deçà des attentes des Parcs de loisirs en termes de chiffre d’affaires ne permettront pas d’absorber les charges liées à la relance de la marque Walibi et à certains projets de développement, qui porteront leurs fruits ultérieurement.
Les résultats opérationnels de l’activité Parcs de loisirs, dont l’évolution devrait être limitée à périmètre réel, seront ainsi négativement impactés, à périmètre comparable, par l’effet cumulé d’un moindre dynamisme de l’activité qu’attendu et de la prise en compte de ces coûts spécifiques.
Les résultats du Groupe enregistreront en revanche les premiers effets favorables de la montée en charge de l’activité de conseil et d’assistance sur les projets internationaux.
Les performances en deçà des attentes des Parcs de loisirs en termes de chiffre d’affaires ne permettront pas d’absorber les charges liées à la relance de la marque Walibi et à certains projets de développement, qui porteront leurs fruits ultérieurement.
Les résultats opérationnels de l’activité Parcs de loisirs, dont l’évolution devrait être limitée à périmètre réel, seront ainsi négativement impactés, à périmètre comparable, par l’effet cumulé d’un moindre dynamisme de l’activité qu’attendu et de la prise en compte de ces coûts spécifiques.
Les résultats du Groupe enregistreront en revanche les premiers effets favorables de la montée en charge de l’activité de conseil et d’assistance sur les projets internationaux.