Comme le procès de AZF qui s'est tenu à Toulouse en 2009, celui du Crash du Concorde est qualifié par les observateurs de hors norme. 90 tomes et 534 pièces composent le dossier.
Deux ingénieurs d'EADS en retraite, un ingénieur de la direction générale de l'aviation civile (DGAC), deux techniciens de la compagnie aérienne américaine Continental Airlines et la compagnie en tant que personne morale, comparaitront du 2 février au 28 mai devant le tribunal correctionnel de Pontoise pour "homicides involontaires".
Le Concorde, affrété le 25 juillet 2000 par une TO allemand, avait décollé de l'aéroport de Roissy, avec 100 passagers allemands, et 9 personnels d'équipage de la compagnie Air France, propriétaire de l'appareil.
L'appareil s'est crashé, 2 minutes après son décollage, sur l'hôtel Hotelissimo, où quatre personnes ont été tuées, à Gonesse (Val-d'Oise)
Deux ingénieurs d'EADS en retraite, un ingénieur de la direction générale de l'aviation civile (DGAC), deux techniciens de la compagnie aérienne américaine Continental Airlines et la compagnie en tant que personne morale, comparaitront du 2 février au 28 mai devant le tribunal correctionnel de Pontoise pour "homicides involontaires".
Le Concorde, affrété le 25 juillet 2000 par une TO allemand, avait décollé de l'aéroport de Roissy, avec 100 passagers allemands, et 9 personnels d'équipage de la compagnie Air France, propriétaire de l'appareil.
L'appareil s'est crashé, 2 minutes après son décollage, sur l'hôtel Hotelissimo, où quatre personnes ont été tuées, à Gonesse (Val-d'Oise)