Filiale de Prestige Cruises Holding et sœur de Regen Seven Seas Cruises, Oceania a repris en 2002 le flambeau de Renaissance Cruises, pour proposer des croisières haut de gamme, d’un luxe élégant et décontracté à la fois, dont la gastronomie et les tarifs tout inclus sont les deux principaux piliers.
Peu connue sur le marché français, cette jeune compagnie américaine veut pourtant s’y faire une place en proposant un concept à mi-chemin du « yachting » de ses consœurs, comme Crystal ou Seabourn, et des clubs flottants proposés par les majors du marché international.
Alors qu’elle opère sur des bateaux de 625 cabines, pour le Marina et le Riviera, ou de 342 cabines, pour les trois sisterships, le Regatta, l’Insignia et le Nautica, le tonnage de ses navires reste imposant, avec 66 084 pour les plus grands et 30 277 pour les 3 plus modestes.
Peu connue sur le marché français, cette jeune compagnie américaine veut pourtant s’y faire une place en proposant un concept à mi-chemin du « yachting » de ses consœurs, comme Crystal ou Seabourn, et des clubs flottants proposés par les majors du marché international.
Alors qu’elle opère sur des bateaux de 625 cabines, pour le Marina et le Riviera, ou de 342 cabines, pour les trois sisterships, le Regatta, l’Insignia et le Nautica, le tonnage de ses navires reste imposant, avec 66 084 pour les plus grands et 30 277 pour les 3 plus modestes.
De grands espace publics et des longues escale
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De quoi donner beaucoup d’espace aux passagers et développer à bord une ambiance feutrée, intimiste et facilement personnalisable, y compris pour le Marina et ses 1 250 passagers.
« Ce que nos clients veulent avant tout, c’est le calme, » explique Riet Goetschalckx, la directrice commerciale Europe, en confiant au passage que rien n’a été prévu pour les enfants.
« Ceux que nous accueillons ne posent toutefois aucun problème, ils sont habitués à la discrétion requise dans les hôtels de luxe. »
De taille moyenne, les navires d’Oceania fréquentent évidemment des ports plus variés et permettent également des procédures d’embarquement/débarquement plus simples et rapides.
Ils peuvent donc offrir des itinéraires vers 350 destinations à travers le monde et des escales plus longues, au cours desquelles le passager peut vraiment prendre son temps.
« Ce que nos clients veulent avant tout, c’est le calme, » explique Riet Goetschalckx, la directrice commerciale Europe, en confiant au passage que rien n’a été prévu pour les enfants.
« Ceux que nous accueillons ne posent toutefois aucun problème, ils sont habitués à la discrétion requise dans les hôtels de luxe. »
De taille moyenne, les navires d’Oceania fréquentent évidemment des ports plus variés et permettent également des procédures d’embarquement/débarquement plus simples et rapides.
Ils peuvent donc offrir des itinéraires vers 350 destinations à travers le monde et des escales plus longues, au cours desquelles le passager peut vraiment prendre son temps.
Une baignoire dans toutes les salles de bain
Avec 96% de cabines balcon pour la classe Marina et 70% pour la classe Regatta, les navires d’Oceania répondent aux standards classiques de leur catégorie.
En revanche, parmi leurs confrères du luxe et du haut de gamme, ils sont les seuls à proposer baignoire et douche dans l’ensemble des cabines.
Ce détail, ajoutée à la décoration plutôt portée vers les bruns et l’art contemporain, donne aux salles de bain une allure d’hôtel 5* quand ailleurs le passager doit se contenter d’un cabinet de toilette bien plus exigu.
Pour la vie à bord, comme tous leurs concurrents, les bateaux d’Oceania disposent d’un casino, d’une salle de spectacle, de boutiques, de plusieurs bars, d’un court de tennis ou encore d’un minigolf et d’un Spa estampillé Bulgari et Grand Canyon, une célèbre marque US.
De même, la compagnie misant beaucoup sur la gastronomie, sa flotte propose dans chacun de ses bateaux un grand restaurant, un restaurant buffet, un snack, 2 à 4 restaurants à la carte, dont un pour la cuisine française et un restaurant exclusif, La Réserve, sur les 2 navires de la classe Marina.
En revanche, parmi leurs confrères du luxe et du haut de gamme, ils sont les seuls à proposer baignoire et douche dans l’ensemble des cabines.
Ce détail, ajoutée à la décoration plutôt portée vers les bruns et l’art contemporain, donne aux salles de bain une allure d’hôtel 5* quand ailleurs le passager doit se contenter d’un cabinet de toilette bien plus exigu.
Pour la vie à bord, comme tous leurs concurrents, les bateaux d’Oceania disposent d’un casino, d’une salle de spectacle, de boutiques, de plusieurs bars, d’un court de tennis ou encore d’un minigolf et d’un Spa estampillé Bulgari et Grand Canyon, une célèbre marque US.
De même, la compagnie misant beaucoup sur la gastronomie, sa flotte propose dans chacun de ses bateaux un grand restaurant, un restaurant buffet, un snack, 2 à 4 restaurants à la carte, dont un pour la cuisine française et un restaurant exclusif, La Réserve, sur les 2 navires de la classe Marina.
Les restaurants à la carte sont inclus dans le tarif
Chaque restaurant a sa cave spécifique et sa propre cuisine, même si certains plats peuvent se retrouver au buffet.
Mais on peut quand même organiser un repas plus intime, soit dans sa cabine, à partir des penthouse suites, soit dans la salle à manger « privée » du Marina et du Riviera qui peut accueillir jusqu’à 12 personnes.
« Dès leur réservation, sauf pour La Réserve, les clients peuvent réserver n’importe quel restaurant sur notre site internet, » précise au passage la directrice commerciale.
« Quelque soit l’endroit choisi, comme ils sont en formule tout inclus, ils n’auront aucun supplément à débourser en dehors du vin et de l’alcool. »
Pour aller plus loin, les clients vraiment passionnés de gastronomie pourront suivre les cours de l’école de cuisine.
Si c’est l’art moderne qui les fascine, ils pourront alors passer la journée dans l’atelier d’art et s’y perfectionner à leur guise.
Commercialisée depuis Monaco par TMG, la compagnie américaine ne vend rien en direct, y compris sur son site web, surtout prévu pour l’information des clients et le suivi de leur résa.
Mais on peut quand même organiser un repas plus intime, soit dans sa cabine, à partir des penthouse suites, soit dans la salle à manger « privée » du Marina et du Riviera qui peut accueillir jusqu’à 12 personnes.
« Dès leur réservation, sauf pour La Réserve, les clients peuvent réserver n’importe quel restaurant sur notre site internet, » précise au passage la directrice commerciale.
« Quelque soit l’endroit choisi, comme ils sont en formule tout inclus, ils n’auront aucun supplément à débourser en dehors du vin et de l’alcool. »
Pour aller plus loin, les clients vraiment passionnés de gastronomie pourront suivre les cours de l’école de cuisine.
Si c’est l’art moderne qui les fascine, ils pourront alors passer la journée dans l’atelier d’art et s’y perfectionner à leur guise.
Commercialisée depuis Monaco par TMG, la compagnie américaine ne vend rien en direct, y compris sur son site web, surtout prévu pour l’information des clients et le suivi de leur résa.
36% d’early bookers et 50% de repeaters
« Oceania s’appuie donc avant tout sur les agences de voyages, » insiste Riet Goetschalckx, qui met en avant le dynamisme de sa politique de promotions.
« Avec 50% de repeaters et 36% d’early bookers, nous pouvons les prévoir très longtemps à l’avance et les faire porter tantôt sur le tarif, tantôt sur les services optionnels, comme Internet ou les navettes, ou encore en accordant un crédit de consommation à bord ».
Depuis le mois de janvier dernier, la compagnie américaine « la plus européenne » n’a enregistré que 200 clients français, mais elle espère en séduire beaucoup plus en 2014 avec ses futurs départs de Marseille et de Monaco.
Pourquoi pas, après tout ? En France comme ailleurs, le haut de gamme ne connaît pas la crise à ce qu’on voit.
« Avec 50% de repeaters et 36% d’early bookers, nous pouvons les prévoir très longtemps à l’avance et les faire porter tantôt sur le tarif, tantôt sur les services optionnels, comme Internet ou les navettes, ou encore en accordant un crédit de consommation à bord ».
Depuis le mois de janvier dernier, la compagnie américaine « la plus européenne » n’a enregistré que 200 clients français, mais elle espère en séduire beaucoup plus en 2014 avec ses futurs départs de Marseille et de Monaco.
Pourquoi pas, après tout ? En France comme ailleurs, le haut de gamme ne connaît pas la crise à ce qu’on voit.