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12 Egyptiens et six étrangers, dont un Suisse, un Russe, une Libanaise et un enfant allemand, ont été tués dans l'attentat qui visait un café, un restaurant et un supermarché de la station de Dahab située sur la mer Rouge. 83 personnes ont été blessées.
Dix Egyptiens ont été arrêtés. Trois des suspects, originaires du Caire, sont des informaticiens arrivés à Dahab à la veille des attentats et qui ont quitté la ville moins d'une heure plus tard. Ils ont été arrêtés à un barrage des forces de l'ordre, portant de faux papiers d'identité.
Attentats suicide ou pas ?
Un responsable de la sécurité a affirmé qu'au moins deux kamikazes y étaient impliqués. Alors que les autorités maintenaient la thèse de trois bombes de fabrication artisanale actionnées à distance, le ministre de l'information Anas al-Fekki s'est montré plus prudent. "Il y a un corps non identifié et nous ne savons pas encore" s'il s'agit d'attentats suicide, a-t-il dit.
Selon la presse gouvernementale, les premiers éléments de l'enquête montrent un lien possible entre les attaques de Dahab et celles de Taba (octobre 2004) et Charm el-Cheikh (juillet 2005). La justice égyptienne avait imputé ces attentats au groupe islamiste Al-Tawhid wal Jihad, qui se réclame d'Al-Qaïda.
Elvia a dépêché une équipe d'assistance de trois personnes, qui devait arriver sur place ce mardi soir.
Dix Egyptiens ont été arrêtés. Trois des suspects, originaires du Caire, sont des informaticiens arrivés à Dahab à la veille des attentats et qui ont quitté la ville moins d'une heure plus tard. Ils ont été arrêtés à un barrage des forces de l'ordre, portant de faux papiers d'identité.
Attentats suicide ou pas ?
Un responsable de la sécurité a affirmé qu'au moins deux kamikazes y étaient impliqués. Alors que les autorités maintenaient la thèse de trois bombes de fabrication artisanale actionnées à distance, le ministre de l'information Anas al-Fekki s'est montré plus prudent. "Il y a un corps non identifié et nous ne savons pas encore" s'il s'agit d'attentats suicide, a-t-il dit.
Selon la presse gouvernementale, les premiers éléments de l'enquête montrent un lien possible entre les attaques de Dahab et celles de Taba (octobre 2004) et Charm el-Cheikh (juillet 2005). La justice égyptienne avait imputé ces attentats au groupe islamiste Al-Tawhid wal Jihad, qui se réclame d'Al-Qaïda.
Elvia a dépêché une équipe d'assistance de trois personnes, qui devait arriver sur place ce mardi soir.