Le coup de mer qui a ravagé la Côte d'Azur, de Menton à Théoule, est a exceptionnel. "On jamais vu cela depuis 1959", avoue René Colomban, président des plagistes de Nice. C'est une véritable machine à laver qui a broyé toutes les installations des 22 plages privées qui s’égrènent le long des 7 kilomètres de la promenade à Nice détruisant les cuisines, provoquant pour des millions d’euros de dégâts et mettant au chômage forcé 200 à 300 personnes.
Plus grave, certains exploitants ont tout perdu. Ils ne rouvriront pas. Une perte également pour le tourisme balnéaire sur la Côté.
A Nice du Castel Plage, plage à la mode, dont il ne reste rien au Beau Rivage du 5 étoiles à la fameuse Hi Beach tout a été réduit à néant à quelques jours de la saison.
Le Castel a vu partir à la mer ses 600.000 euros d’installations récemment mises à neuf. Les 22 salariés sont sans emploi. Beaucoup ne s’en relèveront pas d’autant qu’ils avaient déjà subi cet hiver des coups de mers destructeurs.
Plus grave, certains exploitants ont tout perdu. Ils ne rouvriront pas. Une perte également pour le tourisme balnéaire sur la Côté.
A Nice du Castel Plage, plage à la mode, dont il ne reste rien au Beau Rivage du 5 étoiles à la fameuse Hi Beach tout a été réduit à néant à quelques jours de la saison.
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Les vagues de 6 à 8 m ont déferlé
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Les vagues de 6 à 8 m ont déferlé grimpant même sur la Promenade pourtant à 4 m au dessus fermé à la circulation jusqu’à lécher les pieds des immeubles.
A Cannes, les plages de la Croisette n’ont pas résisté ni le vieux port où une partie de la digue finit par céder.
Le quai des Croisières a subi pour 100 000 euros de dégâts, « On va tout faire pour être prêt pour le festival, mais un tel coup de mer un 4 mai, c'est extraordinaire, on n'avait pas besoin de ça ! », constate Richard Schilling, directeur du Martinez.
A neuf jours du lancement du festival du film, la trentaine de plages ont été terriblement touchées.
À Nice comme à Cannes, les municipalités ont réclamé à la préfecture leur classement en état de « catastrophe naturelle».
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Le quai des Croisières a subi pour 100 000 euros de dégâts, « On va tout faire pour être prêt pour le festival, mais un tel coup de mer un 4 mai, c'est extraordinaire, on n'avait pas besoin de ça ! », constate Richard Schilling, directeur du Martinez.
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