Le Honduras est un petit pays d'Amérique centrale encore peu ouvert au tourisme.
C'est probablement ce qui fait son charme, même si des précautions doivent être prises car certaines zones sont à éviter et des précautions sont à prendre.
Le taux de criminalité dans le pays diminue nettement et selon les autochtones, les améliorations sont notables et les avancées dans la lutte contre les trafiquants, significatives..
L'intérêt du pays pour une ouverture au tourisme est manifeste. Et force est de constater qu'il ne manque pas d'atouts, même si les chaînes hôtelières internationales se font encore timides dans les zones balnéaires.
Clairement, la destination est aujourd'hui plutôt "routard" et la fréquentation des touristes se fait principalement en extension avec le Guatemala voisin.
En effet, s'ils sont moins spectaculaires, les petits sites archéologiques non explorés (ou inconnus) dans cette région foisonnent : il y en aurait plus de 4 000. Mais le clou du voyage celui qui vaut le déplacement à lui tout seul, c'est Copàn.
La ville antique complète l'éblouissante série maya de sites Guatémaltèques qui s'achève avec la "symphonie" Tikal en point d'orgue.
C'est probablement ce qui fait son charme, même si des précautions doivent être prises car certaines zones sont à éviter et des précautions sont à prendre.
Le taux de criminalité dans le pays diminue nettement et selon les autochtones, les améliorations sont notables et les avancées dans la lutte contre les trafiquants, significatives..
L'intérêt du pays pour une ouverture au tourisme est manifeste. Et force est de constater qu'il ne manque pas d'atouts, même si les chaînes hôtelières internationales se font encore timides dans les zones balnéaires.
Clairement, la destination est aujourd'hui plutôt "routard" et la fréquentation des touristes se fait principalement en extension avec le Guatemala voisin.
En effet, s'ils sont moins spectaculaires, les petits sites archéologiques non explorés (ou inconnus) dans cette région foisonnent : il y en aurait plus de 4 000. Mais le clou du voyage celui qui vaut le déplacement à lui tout seul, c'est Copàn.
La ville antique complète l'éblouissante série maya de sites Guatémaltèques qui s'achève avec la "symphonie" Tikal en point d'orgue.
Copàn, inscrit au patrimoine de l'Unesco depuis 1980
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Copán est une ancienne ville maya qui a donné son nom à l'actuelle ville de Copán Ruinas, une petite bourgade aux maisons ocres et à larchitecture coloniale, dont les habitants coiffent fièrement le Stetson des cow boys. (Voir vidéo)
Le site archéologique de Copán, inscrit à l'UNESCO en 1980. est situé en pleine jungle, à 600 mètres d'altitude et à seulement 12km de la frontière du Guatemala.
La ville a connu son apogée au VIIe siècle ap. J.-C., avec plus de 20000 habitants puis a été abandonnée aux environs du xe siècle.
L'arrivée en 1570 du conquistador espagnol Diego García de Palacio, réveille la belle endormie.
Pour l'Unesco, "le Site maya de Copán est l’un des sites majeurs de la civilisation maya. Il constituait le centre politique, civil et religieux de la vallée de Copán. C’était aussi le centre politique et la référence culturelle d’un plus vaste territoire qui couvrait la partie sud-est de la zone où vivaient les Mayas, ainsi que sa périphérie..."
Le site archéologique de Copán, inscrit à l'UNESCO en 1980. est situé en pleine jungle, à 600 mètres d'altitude et à seulement 12km de la frontière du Guatemala.
La ville a connu son apogée au VIIe siècle ap. J.-C., avec plus de 20000 habitants puis a été abandonnée aux environs du xe siècle.
L'arrivée en 1570 du conquistador espagnol Diego García de Palacio, réveille la belle endormie.
Pour l'Unesco, "le Site maya de Copán est l’un des sites majeurs de la civilisation maya. Il constituait le centre politique, civil et religieux de la vallée de Copán. C’était aussi le centre politique et la référence culturelle d’un plus vaste territoire qui couvrait la partie sud-est de la zone où vivaient les Mayas, ainsi que sa périphérie..."