Événement exceptionnel, prix exceptionnel… Les propriétaires de logements avec terrasses le long du parcours du circuit de Formule 1en Principauté, se permettent de les louer à des prix astronomiques. Certains d'entre eux réclament de 700 à 2200 € par personne pour les 2 jours du week-end du Grand Prix pour accéder à leur terrasse avec vue plongeante sur le circuit.
Un beau pactole... Si la terrasse supporte 30 privilégiés c’est 50 000 € le week-end (le prix d’achat d’un studio à Nice ! ) On estime à 15 000, les "laisser-passer" qui permettront aux fans fortunés d'assaillir les balcons de la Condamine.
Mais la surenchère à Monaco incite désormais les sociétés qui veulent louer les terrasses pour leurs relations clientèles à aller voir ailleurs sur d’autres circuits comme Singapour, comme en, témoignent les petites annonces encore disponibles dans les agences immobilières.
Car il semble que les sociétés ayant recours à ce type de produits relationnels dans le passé renoncent aujourd’hui en raison des prix atteints.
L’hôtellerie monégasque joue aussi la surenchère
Autre dérive monégasque l’intervention des sociétés étrangères sur ce type de prestations qui représentent 75 % du marché et qui n'ont pas l'obligation de déclarer leurs employés et ne reversent pas de TVA à Monaco.
Le Syndicat monégasque des entreprises de la communication (SYCOM) qui réunit une dizaine de professionnels locaux, a alerté Conseil national et gouvernement. Le gouvernement monégasque a déposé un projet de loi pour réglementer les activités occasionnelles afin qu'elles soient soumises à déclaration. C’est la fin d'un juteux filon pour certains.
Un beau pactole... Si la terrasse supporte 30 privilégiés c’est 50 000 € le week-end (le prix d’achat d’un studio à Nice ! ) On estime à 15 000, les "laisser-passer" qui permettront aux fans fortunés d'assaillir les balcons de la Condamine.
Mais la surenchère à Monaco incite désormais les sociétés qui veulent louer les terrasses pour leurs relations clientèles à aller voir ailleurs sur d’autres circuits comme Singapour, comme en, témoignent les petites annonces encore disponibles dans les agences immobilières.
Car il semble que les sociétés ayant recours à ce type de produits relationnels dans le passé renoncent aujourd’hui en raison des prix atteints.
L’hôtellerie monégasque joue aussi la surenchère
Autre dérive monégasque l’intervention des sociétés étrangères sur ce type de prestations qui représentent 75 % du marché et qui n'ont pas l'obligation de déclarer leurs employés et ne reversent pas de TVA à Monaco.
Le Syndicat monégasque des entreprises de la communication (SYCOM) qui réunit une dizaine de professionnels locaux, a alerté Conseil national et gouvernement. Le gouvernement monégasque a déposé un projet de loi pour réglementer les activités occasionnelles afin qu'elles soient soumises à déclaration. C’est la fin d'un juteux filon pour certains.
Autres articles
-
Curio Collection : Hilton s'implante à Monaco d'ici fin 2023
-
Royal Caribbean devient le sponsor de l'AS Monaco
-
Les Alpes-Maritimes se dotent d’un plan d’actions vers un tourisme durable
-
Monaco se positionne en destination responsable
-
Bus touristique : la RATP accueille 2 nouvelles destinations Monaco et Rome
Mais l’hôtellerie monégasque joue aussi la surenchère avec 12 000 euros une chambre double, avec un forfait « Grand Prix » incompressible de quatre nuits, Une inflation qui s’explique par le fait que le Principauté ne peut offrir que 2 500 chambres alors que le Grand Prix en attire 120 000 personnes.
Le syndrome du forfait Grand Prix contamine les communes limitrophes
Résultat : les prix explosent. Les établissements parfois loin du circuit affichent des tarifs impressionnants comme l’hôtel Marriott, à Cap d’Ail en limite de Monaco qui propose des forfaits trois nuits en chambre double pour 6 000 et 6 600 euros.
Forfait de trois nuits également au Vista Palace (La Turbie) entre 3 360 euros et 6 600 euros. Beaucoup se tournent vers la location d'appartements ou de villas avec 2 000 euros le forfait de quatre jours pour un studio de 30 m2, à Monaco.
Mais le syndrome du forfait Grand Prix contamine les communes limitrophes, comme Nice où l’hôtellerie affiche les tarifs haute saison durant le week-end de mai.
Le syndrome du forfait Grand Prix contamine les communes limitrophes
Résultat : les prix explosent. Les établissements parfois loin du circuit affichent des tarifs impressionnants comme l’hôtel Marriott, à Cap d’Ail en limite de Monaco qui propose des forfaits trois nuits en chambre double pour 6 000 et 6 600 euros.
Forfait de trois nuits également au Vista Palace (La Turbie) entre 3 360 euros et 6 600 euros. Beaucoup se tournent vers la location d'appartements ou de villas avec 2 000 euros le forfait de quatre jours pour un studio de 30 m2, à Monaco.
Mais le syndrome du forfait Grand Prix contamine les communes limitrophes, comme Nice où l’hôtellerie affiche les tarifs haute saison durant le week-end de mai.