Face à ses confrères européens Georges Colson a fait ressortir les spécificités lourdes de responsabilités et d’obligations réglementaires décidées par le législateur français. Un tour de table a rapidement démontré que la France, dans sa réglementation, était allée bien au-delà des directives européennes de 1990.
L’exemple britannique est probant. En Grande Bretagne aucune loi n’est inscrite au Parlement. C’est l’association des agences de voyages britanniques (ABTA) qui organise la réglementation et transpose les droits de l’Europe pour les adapter à son marché.
D’une façon générale, les professionnels européens se sentent incompris et peu reconnus par le droit communautaire et les décisions de Bruxelles essentiellement dictées par le souci permanent de protection du consommateur.
L’exemple britannique est probant. En Grande Bretagne aucune loi n’est inscrite au Parlement. C’est l’association des agences de voyages britanniques (ABTA) qui organise la réglementation et transpose les droits de l’Europe pour les adapter à son marché.
D’une façon générale, les professionnels européens se sentent incompris et peu reconnus par le droit communautaire et les décisions de Bruxelles essentiellement dictées par le souci permanent de protection du consommateur.
Autres articles
On reconnaît, autour de Georges Colson, président du SNAV, Jan Van Steen (président ECTAA et président des agences de Belgique) ; Walter Krombach (Allemagne) ; Roman Skrabanek (République tchèque) ; Gabrielle Molnar (Hongrie) ; Antonio Scipioni (Italie), Lars Thikier (Danemark) ; Gheorghe Fodoreanu (Roumanie), Susan Parsons (Royaume Uni).