Georges Azouze, le Pdg de Costa Croisières France et Pascal Maigniez Directeur de l'OT de Dubai / photo DR
On ne change pas une équipe qui gagne.
D’un côté Dubaï, 8ème ville touristique du monde, a vu sa fréquentation multipliée par 2,5 en 10 ans et termine l’année 2011 sur 9 millions de visiteurs, dont 152 400 Français contre 46 500 en 2001.
Dans le même temps, le nombre de croisiéristes internationaux n’a pas cessé de croitre en passant de 9 000 en 2001 à 400 000 en 2012 (estimation).
Au premier semestre, avec les 15 premières compagnies internationales et leurs 71 bateaux en escale ou en tête de ligne, la destination a déjà accueilli 275 000 passagers.
Parmi eux, le nombre de Français a été multiplié par 24 sur les dix dernières années.
Ils étaient 320 en 2001, 7 600 en 2011 et pour le premier semestre 2012, on en compte déjà 4 900, soit une hausse de 25 % par rapport à 2011.
D’un côté Dubaï, 8ème ville touristique du monde, a vu sa fréquentation multipliée par 2,5 en 10 ans et termine l’année 2011 sur 9 millions de visiteurs, dont 152 400 Français contre 46 500 en 2001.
Dans le même temps, le nombre de croisiéristes internationaux n’a pas cessé de croitre en passant de 9 000 en 2001 à 400 000 en 2012 (estimation).
Au premier semestre, avec les 15 premières compagnies internationales et leurs 71 bateaux en escale ou en tête de ligne, la destination a déjà accueilli 275 000 passagers.
Parmi eux, le nombre de Français a été multiplié par 24 sur les dix dernières années.
Ils étaient 320 en 2001, 7 600 en 2011 et pour le premier semestre 2012, on en compte déjà 4 900, soit une hausse de 25 % par rapport à 2011.
Les passagers Costa ont représenté 14 M € de dépenses
Les recettes de la croisière, qui ont représenté 88 M€ en 2011, devraient atteindre les 110 M € en 2012.
Et les seuls passagers de Costa Croisières ont représenté 14 M € de dépenses en excursions et transferts ou encore en restaurants et bars.
Dubaï apprécie beaucoup, évidemment ; d’autant plus que c’est une offre produit parfaitement complémentaire à la sienne.
Mais, depuis 2006, date à laquelle la compagnie a lancé sa première croisière dans la région, une 9J/7N à bord du Classica, un navire de 1 680 passagers, Costa y trouve également son compte.
En pionnier, la compagnie a démarré avec un bateau, puis elle est passé à 2, voire à 3 navires, tandis que ses mouvements passagers, embarquements et débarquements confondus, en escale ou en tête de ligne, grimpaient de 40 000 en 2007 à 150 000 en 2011.
Et les seuls passagers de Costa Croisières ont représenté 14 M € de dépenses en excursions et transferts ou encore en restaurants et bars.
Dubaï apprécie beaucoup, évidemment ; d’autant plus que c’est une offre produit parfaitement complémentaire à la sienne.
Mais, depuis 2006, date à laquelle la compagnie a lancé sa première croisière dans la région, une 9J/7N à bord du Classica, un navire de 1 680 passagers, Costa y trouve également son compte.
En pionnier, la compagnie a démarré avec un bateau, puis elle est passé à 2, voire à 3 navires, tandis que ses mouvements passagers, embarquements et débarquements confondus, en escale ou en tête de ligne, grimpaient de 40 000 en 2007 à 150 000 en 2011.
Un accès aérien facile, un port idéalement placé
Sur 2012, Costa Croisières n’a aligné qu’un seul bâtiment, le Favolosa et ses 3 800 passagers, mais elle totalisera tout de même 140 000 mouvements passagers, un joli score compte tenu du contexte économique actuel.
Avec sa situation géographique, ses infrastructures hôtelières haut de gamme et son événementiel brillant tout au long de l’année, Dubaï est aussi un port d’attache idéal.
Il permet par exemple d’enrichir les itinéraires avec des escales d’une journée entière.
Ce qui autorise de véritables excursions, dans le désert ou sur les plages de d’Abou Dhabi et de Foujaïrha, ou encore de profiter des nombreuses activités inattendues proposées par les différents Émirats de la région ; les « 3 skis », nautique, neige et sable, par exemple, que l’on peut pratiquer à Dubaï.
De plus, l’accès aérien est particulièrement facile, surtout pour le marché français qui profite des 38 liaisons hebdomadaires opérées par Emirates (31, au départ de Paris, de Nice et, à compter du 5 décembre, au départ de Lyon), et Air France (7).
Dans ces conditions, on comprend aisément que les deux partenaires entendent poursuivre leurs efforts communs.
Avec sa situation géographique, ses infrastructures hôtelières haut de gamme et son événementiel brillant tout au long de l’année, Dubaï est aussi un port d’attache idéal.
Il permet par exemple d’enrichir les itinéraires avec des escales d’une journée entière.
Ce qui autorise de véritables excursions, dans le désert ou sur les plages de d’Abou Dhabi et de Foujaïrha, ou encore de profiter des nombreuses activités inattendues proposées par les différents Émirats de la région ; les « 3 skis », nautique, neige et sable, par exemple, que l’on peut pratiquer à Dubaï.
De plus, l’accès aérien est particulièrement facile, surtout pour le marché français qui profite des 38 liaisons hebdomadaires opérées par Emirates (31, au départ de Paris, de Nice et, à compter du 5 décembre, au départ de Lyon), et Air France (7).
Dans ces conditions, on comprend aisément que les deux partenaires entendent poursuivre leurs efforts communs.
Un ponton de 2km de long
Surtout que les perspectives d’avenir sont assez encourageantes, aussi bien pour Dubaï que pour Costa.
Déjà, devant le succès de leur politique de hub aérien entre l’Asie et l’Europe, voire l’Afrique également, les autorités préparent donc un nouvel aéroport international susceptible d’accueillir 120 millions de passagers, soit les capacités conjuguées d’Heathrow et de Chicago.
En 2015, ensuite, Dubaï vise les 625 000 passagers croisières et 180 navires en escale ou en tête de ligne.
L’Émirat prévoit donc un nouveau terminal de 20 000 m2 et un nouveau ponton de 1900 m de long, de quoi recevoir simultanément 5 navires de rang.
Et ce n’est pas Costa qui va les contredire, elle qui justement trouve que, parmi les différents marchés potentiels, la France est celui qui répond le mieux à ses sollicitations :
« Aujourd’hui, c’est notre 2ème marché derrière l’Italie, » précise Georges Azouze, le Pdg de Costa Croisières France, en détaillant le programme de promotion que les deux partenaires entament dès ce mois-ci : mailing, formation sur les nouveautés produits de la destination, publicité on line … sans oublier l’événementiel autour du golf pour la clientèle corporate.
On ne change pas une équipe qui gagne, surtout quand elle a du pain sur la planche…
Déjà, devant le succès de leur politique de hub aérien entre l’Asie et l’Europe, voire l’Afrique également, les autorités préparent donc un nouvel aéroport international susceptible d’accueillir 120 millions de passagers, soit les capacités conjuguées d’Heathrow et de Chicago.
En 2015, ensuite, Dubaï vise les 625 000 passagers croisières et 180 navires en escale ou en tête de ligne.
L’Émirat prévoit donc un nouveau terminal de 20 000 m2 et un nouveau ponton de 1900 m de long, de quoi recevoir simultanément 5 navires de rang.
Et ce n’est pas Costa qui va les contredire, elle qui justement trouve que, parmi les différents marchés potentiels, la France est celui qui répond le mieux à ses sollicitations :
« Aujourd’hui, c’est notre 2ème marché derrière l’Italie, » précise Georges Azouze, le Pdg de Costa Croisières France, en détaillant le programme de promotion que les deux partenaires entament dès ce mois-ci : mailing, formation sur les nouveautés produits de la destination, publicité on line … sans oublier l’événementiel autour du golf pour la clientèle corporate.
On ne change pas une équipe qui gagne, surtout quand elle a du pain sur la planche…