Ethiopian a introduit 14 nouveaux appareils, soit plus d’un appareil par mois - © DR Ethiopian Airlines
Ethiopian Airlines a annoncé un résultat record pour son année fiscale 2017/18.
Au cours de son année fiscale 2017/18, le nombre de passagers transportés a augmenté de +21% atteignant 10.6 millions pour la première fois de son histoire.
Côté résultats financier, les recettes d’exploitation ont grimpé à +43% et culminent à 89,1 milliards de birr (ETB) soit 2,7 milliards €. Le bénéfice net s’établit à 6,8 milliards de ETB soit 210 millions €.
Au cours de son année fiscale 2017/18, le nombre de passagers transportés a augmenté de +21% atteignant 10.6 millions pour la première fois de son histoire.
Côté résultats financier, les recettes d’exploitation ont grimpé à +43% et culminent à 89,1 milliards de birr (ETB) soit 2,7 milliards €. Le bénéfice net s’établit à 6,8 milliards de ETB soit 210 millions €.
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M. Tewolde GebreMariam, PDG du groupe Ethiopian Airlines, a déclaré : "Ethiopian a connu une année exceptionnelle avec des performances record dans les domaines financier, opérationnel, commercial et service à la clientèle. Cette performance historique est due avant tout à l’engagement, au travail acharné et à la compétence de mes 16 000 collègues, chacun d’entre eux jouant un rôle essentiel dans ce succès.
Cette performance est d'autant plus exceptionnelle compte tenu de l'environnement opérationnel et concurrentiel très difficile en Afrique, où le prix du carburant, notre principal facteur de coût, a grimpé en flèche et est en moyenne 30% plus cher en Afrique, notre marché domestique que dans le reste du monde, désavantageant fortement les transporteurs du continent. Ce résultat remarquable a également été obtenu dans le contexte de la pénétration agressive des transporteurs étrangers sur le marché africain, l’industrie aérienne africaine devant collectivement perdre de l’argent."
Cette performance est d'autant plus exceptionnelle compte tenu de l'environnement opérationnel et concurrentiel très difficile en Afrique, où le prix du carburant, notre principal facteur de coût, a grimpé en flèche et est en moyenne 30% plus cher en Afrique, notre marché domestique que dans le reste du monde, désavantageant fortement les transporteurs du continent. Ce résultat remarquable a également été obtenu dans le contexte de la pénétration agressive des transporteurs étrangers sur le marché africain, l’industrie aérienne africaine devant collectivement perdre de l’argent."
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