Comment les internautes Français perçoivent-ils la Tunisie et l'Egypte ?
L'étude Omnibus de GfK – G.O.T réalisée auprès de 1000 internautes Français interrogés du 9 au 16 février 2011 a tenté de répondre à cette question.
9% des répondants ont l’intention de partir dans les 12 prochains mois, en Tunisie, et 4% en Égypte.
42% préfèrent partir d’ici quelques années en Tunisie et 52% en Égypte. Le solde soit respectivement 49% et 44%, n'est pas du tout intéressé par ces destinations.
Parmi les Français interrogés ayant prévu de partir en Tunisie dans les 12 prochains mois. 54% sont prêts à y aller dès que le Quai d’Orsay donnera son feu vert (effectif le 14/02, pendant la période des interviews)
L'étude Omnibus de GfK – G.O.T réalisée auprès de 1000 internautes Français interrogés du 9 au 16 février 2011 a tenté de répondre à cette question.
9% des répondants ont l’intention de partir dans les 12 prochains mois, en Tunisie, et 4% en Égypte.
42% préfèrent partir d’ici quelques années en Tunisie et 52% en Égypte. Le solde soit respectivement 49% et 44%, n'est pas du tout intéressé par ces destinations.
Parmi les Français interrogés ayant prévu de partir en Tunisie dans les 12 prochains mois. 54% sont prêts à y aller dès que le Quai d’Orsay donnera son feu vert (effectif le 14/02, pendant la période des interviews)
41% n'envisagent de repartir que dans plusieurs mois, témoin d'un report encore hypothétique et des reports potentiels vers d'autres destinations.
5% ne souhaitent plus y aller en vacances avant plusieurs années. Pour l'Egypte les taux atteignent, respectivement pour ces mêmes items : 43%, 49% et 8%.
Dans le cas de l'Egypte, lors de la vague d'interviews qui a eu lieu entre le 9 et le 16 février, le Ministère des Affaires étrangères français n'avait pas encore levé ses restrictions.
5% ne souhaitent plus y aller en vacances avant plusieurs années. Pour l'Egypte les taux atteignent, respectivement pour ces mêmes items : 43%, 49% et 8%.
Dans le cas de l'Egypte, lors de la vague d'interviews qui a eu lieu entre le 9 et le 16 février, le Ministère des Affaires étrangères français n'avait pas encore levé ses restrictions.