Les deux tiers des Européens prévoient de partir cet été, soit 67% d'entre-eux contre 61% il y a quatre ans...
Où les Européens vont-ils partir en vacances, combien de temps vont-ils partir, combien vont-ils dépenser, le prix du pétrole a-t-il un impact ?
Le 8ème Baromètre Ipsos-Europ Assistance sur les intentions des Européens pour les vacances d'été 2008 a apporté des éléments de réponses à ces questions.
Premier constat de l’étude réalisée auprès d’un échantillon de 3 506 personnes résidant sur le Vieux Continent (*), les Européens sont plus nombreux que l’an dernier (67% contre 66% en 2007 et 61% en 2005) à déclarer vouloir partir en vacances cet été.
Les Français arrivent en deuxième position des intentions de départs (derrière l’Italie) avec 74% (+ 9 points sur 2007 et + 11 sur 2005). L’étude note de nouveau une diminution des courts séjours au profit des séjours plus longs, notamment chez les Français.
Côté destination de vacances, l’Europe enregistre 76% des intentions de départ (- 4 points). Les Français restent en tête des pays pour l’importance de ceux qui prévoient de rester dans leur propre pays (63%).
Le 8ème Baromètre Ipsos-Europ Assistance sur les intentions des Européens pour les vacances d'été 2008 a apporté des éléments de réponses à ces questions.
Premier constat de l’étude réalisée auprès d’un échantillon de 3 506 personnes résidant sur le Vieux Continent (*), les Européens sont plus nombreux que l’an dernier (67% contre 66% en 2007 et 61% en 2005) à déclarer vouloir partir en vacances cet été.
Les Français arrivent en deuxième position des intentions de départs (derrière l’Italie) avec 74% (+ 9 points sur 2007 et + 11 sur 2005). L’étude note de nouveau une diminution des courts séjours au profit des séjours plus longs, notamment chez les Français.
Côté destination de vacances, l’Europe enregistre 76% des intentions de départ (- 4 points). Les Français restent en tête des pays pour l’importance de ceux qui prévoient de rester dans leur propre pays (63%).
Le recours au crédit pour financer ses vacances reste très faible
La hiérarchie des facteurs de choix des destinations reste stable, avec toutefois un ordre de priorité souvent différent selon les nationalités ; les Français privilégient ainsi le climat (le triste été 2007 n’y est peut-être pas étranger) devant le budget que l’on compte allouer aux vacances, et en troisième facteur les risques sanitaires.
Plus bas que le «budget prévisionnel» moyen des Européens pour 2008, le budget vacances des Français atteint 1 934 € ; il est le seul à diminuer (- 72€), avec celui de l’Espagne.
L’étude a mis l’accent cette année sur l’influence de la hausse du prix du pétrole. Cette augmentation impacte le «budget vacances» de plus d’un tiers (38%) des vacanciers européens (même pourcentage pour les Français), modifiant la répartition des postes de dépenses.
Autre spécificité de l’édition 2008 du baromètre, la mesure du recours au crédit pour financer ses vacances ; il reste très faible : 93% des Européens (96% des Français) n’ont jamais souscrit un crédit financier et n’envisagent pas de le faire.
Plus bas que le «budget prévisionnel» moyen des Européens pour 2008, le budget vacances des Français atteint 1 934 € ; il est le seul à diminuer (- 72€), avec celui de l’Espagne.
L’étude a mis l’accent cette année sur l’influence de la hausse du prix du pétrole. Cette augmentation impacte le «budget vacances» de plus d’un tiers (38%) des vacanciers européens (même pourcentage pour les Français), modifiant la répartition des postes de dépenses.
Autre spécificité de l’édition 2008 du baromètre, la mesure du recours au crédit pour financer ses vacances ; il reste très faible : 93% des Européens (96% des Français) n’ont jamais souscrit un crédit financier et n’envisagent pas de le faire.
Près de la moitié des vacanciers utilisent internet pour réserver
En ce qui concerne l’organisation des séjours, la tendance va vers une plus grande autonomie des vacances ; 65% des Européens (et 73% des Français…) organisent ainsi eux-même leur voyage.
Près de la moitié (47%) des vacanciers européens déclarent qu’ils utiliseront internet pour effectuer leurs réservations. 27% vont sur le site d’un prestataire (transporteur, hôtel) et 17% visitent le site d’un TO ou d’une agence de voyages et 16% en se rendant sur un site d’un pure player (Expedia, Opodo, etc).
Les Britanniques restent les plus adeptes de la réservation électronique (pour 63% d’entre eux, + 12 points en un an), devant les Français (49%, + 8 points).
(*) Interviews de 500 personnes de 18 ans et plus réalisées par téléphone ou au domicile, selon la méthode des quotas, dans sept pays (France, Royaume-Uni, Allemagne, Espagne, Italie, Belgique et Autriche), du 11 février au 18 mars.
Près de la moitié (47%) des vacanciers européens déclarent qu’ils utiliseront internet pour effectuer leurs réservations. 27% vont sur le site d’un prestataire (transporteur, hôtel) et 17% visitent le site d’un TO ou d’une agence de voyages et 16% en se rendant sur un site d’un pure player (Expedia, Opodo, etc).
Les Britanniques restent les plus adeptes de la réservation électronique (pour 63% d’entre eux, + 12 points en un an), devant les Français (49%, + 8 points).
(*) Interviews de 500 personnes de 18 ans et plus réalisées par téléphone ou au domicile, selon la méthode des quotas, dans sept pays (France, Royaume-Uni, Allemagne, Espagne, Italie, Belgique et Autriche), du 11 février au 18 mars.