Gilbert Cisnéros souhaite développer la production sur mesure. Cette dernière représente aujourd’hui 15 à 20 % des ventes et l’objectif est de doubler ce volume. Quant à la nouvelle production de l’hiver, elle s’enrichit d’une programmation de Sainte-Lucie à part entière avec un choix de 17 établissements.
Le cru 2011 sera une excellente année pour Exotismes si le TO marseillais continue sur sa lancée.
Au 31 août, le chiffre d’affaires affichait une progression de 35% par rapport à 2010 et tout laisse à penser que la tendance se maintiendra. Même les ventes sur 2012 sont en avance.
Une bouffée d'oxygène alors que 2010 avait été difficile avec un chiffre d’affaires en baisse à 73 millions d’euros, mais un résultat positif de 1,2 million.
« Ce fut le résultat le moins bon de ces cinq dernières années », commente Gilbert Cisnéros, le Pdg d’Exotismes.
Autrement dit, 2011 signale un retour à la normale. C’est qu’entre temps, Exotismes a diversifié son portefeuille de destinations.
« Les Antilles faisaient 60% de notre chiffre d’affaires jusqu’au moment de la crise en 2009. Aujourd’hui, la croissance est portée par les Maldives même si les Antilles reprennent petit à petit du poil de la bête. »
Parmi les autres destinations en progression, Didier Silvestre, le directeur commercial énumère la Réunion à +50%, Maurice à +35%. Même le partenariat avec le groupe hôtelier Sandals est un succès, avec un millier de clients d’ici à la fin de l’année, et les établissements de Sainte-Lucie et de la Jamaïque, en tête des demandes.
Seul bémol de l’année, la Polynésie, toujours en retrait....
Au 31 août, le chiffre d’affaires affichait une progression de 35% par rapport à 2010 et tout laisse à penser que la tendance se maintiendra. Même les ventes sur 2012 sont en avance.
Une bouffée d'oxygène alors que 2010 avait été difficile avec un chiffre d’affaires en baisse à 73 millions d’euros, mais un résultat positif de 1,2 million.
« Ce fut le résultat le moins bon de ces cinq dernières années », commente Gilbert Cisnéros, le Pdg d’Exotismes.
Autrement dit, 2011 signale un retour à la normale. C’est qu’entre temps, Exotismes a diversifié son portefeuille de destinations.
« Les Antilles faisaient 60% de notre chiffre d’affaires jusqu’au moment de la crise en 2009. Aujourd’hui, la croissance est portée par les Maldives même si les Antilles reprennent petit à petit du poil de la bête. »
Parmi les autres destinations en progression, Didier Silvestre, le directeur commercial énumère la Réunion à +50%, Maurice à +35%. Même le partenariat avec le groupe hôtelier Sandals est un succès, avec un millier de clients d’ici à la fin de l’année, et les établissements de Sainte-Lucie et de la Jamaïque, en tête des demandes.
Seul bémol de l’année, la Polynésie, toujours en retrait....
50% des ventes réalisées directement en ligne
Pour le duo marseillais, le succès tient en partie au système informatique « maison » qui permet aux distributeurs de réaliser 50% des ventes directement en ligne.
Un développement technologique apprécié également des agences en ligne qui réalisent aujourd’hui 20% des ventes d’Exotismes.
Autre explication apportée par Gilbert Cisnéros, les campagnes de publicité télévisée qui apportent crédibilité et notoriété à la marque.
Et puis il y a aussi le programme de fidélisation des vendeurs. La carte « Exotismes Club Fidelity »,détenue par 6 000 vendeurs est un redoutable outil de stimulation à la vente. Au top des cadeaux récompenses, la machine à café favorite de Georges Clooney…
Fort de cette performance à contre courant, Exotismes table donc sur un chiffre d’affaires 2011 autour de 90 millions d’euros sans pour autant « sacrifier la rentabilité à la croissance ». Le panier moyen s’établit actuellement à 1278 euros.
Gilbert Cisnéros souhaiterait le voir monter avec le développement de la production sur mesure. Cette dernière représente aujourd’hui 15 à 20 % des ventes et l’objectif est de doubler ce volume.
Quant à la nouvelle production de l’hiver, elle s’enrichit d’une programmation de Sainte-Lucie à part entière avec un choix de 17 établissements.
« Nous vendrons Sainte-Lucie en complément de la Martinique comme nous l’avons fait il y a longtemps pour le lancement de la Réunion, en complément de Maurice. Aujourd’hui la Réunion est devenue une destination à part entière et Sainte-Lucie le deviendra aussi ».
Un développement technologique apprécié également des agences en ligne qui réalisent aujourd’hui 20% des ventes d’Exotismes.
Autre explication apportée par Gilbert Cisnéros, les campagnes de publicité télévisée qui apportent crédibilité et notoriété à la marque.
Et puis il y a aussi le programme de fidélisation des vendeurs. La carte « Exotismes Club Fidelity »,détenue par 6 000 vendeurs est un redoutable outil de stimulation à la vente. Au top des cadeaux récompenses, la machine à café favorite de Georges Clooney…
Fort de cette performance à contre courant, Exotismes table donc sur un chiffre d’affaires 2011 autour de 90 millions d’euros sans pour autant « sacrifier la rentabilité à la croissance ». Le panier moyen s’établit actuellement à 1278 euros.
Gilbert Cisnéros souhaiterait le voir monter avec le développement de la production sur mesure. Cette dernière représente aujourd’hui 15 à 20 % des ventes et l’objectif est de doubler ce volume.
Quant à la nouvelle production de l’hiver, elle s’enrichit d’une programmation de Sainte-Lucie à part entière avec un choix de 17 établissements.
« Nous vendrons Sainte-Lucie en complément de la Martinique comme nous l’avons fait il y a longtemps pour le lancement de la Réunion, en complément de Maurice. Aujourd’hui la Réunion est devenue une destination à part entière et Sainte-Lucie le deviendra aussi ».